Laure Ricard

Ville Athis de L'orne
Toi en quelques mots... qui est-tu ? D'ou viens-tu ? Déjà je suis métisse, de la Guadeloupe et de Picardie. J’ai toujours vécu à Paris avec qq incursions a l’étranger et depuis quelques années je me suis installée à la campagne en Normandie. Je suis de formation ingénieur informatique et me suis dirigée après une dizaine d'années vers l'accompagnement du changement et le coaching d'équipe au sein d'un cabinet de conseil interne où j’ai passé une dizaine d'années. Maintenant je suis indépendante et en même temps au chômage (jusque décembre). J'avais l'intention de proposer des stages de développement personnel mais en fait c'est la facilitation qui m'a rattrapée. Jai beaucoup investi à l'extérieur de mon activité pro sur l'intelligence collective avec la Theory U en suivant le MOOC et en co-animant le Hub parisien pendant 3 ans. D'ailleurs, c'est là que j'ai découvert et d'abord développé ma compétence de facilitation. J’ai une variété de compétences en lien avec mon parcours et des connaissances non encore appliquées (le travail qui relie, les constellations d'organisation et certainement d'autres)

Je dédie beaucoup de temps et d'énergie à mon développement personnel et spirituel depuis qq années. Je suis célibataire, sans enfant et j'ai 55 ans même si j'ai souvent l'impression d'être une ado. Surtout en ce moment où j'enlève toujours plus les couches qui me séparent de moi.

Je suis curieuse de la rencontre, j'aime la simplicité des échanges. Au début je suis souvent en observation avant de m'engager totalement. J'ai envie de participer à la (re)création du lien entre les humains, leur environnement et avec eux-mêmes, à créer des espaces d'échange et de création intégrant la diversité des points de vue.
Qu’est-ce qui est important pour toi ? De quoi as-tu besoin pour être bien dans un collectif ? Je crois que ce qui est important est que les personnes du collectif aient une connaissance d'eux même. Qu’il y ait une vrai écoute, rien d’excessivement « ampoulé », et en même temps que l'on ne soit pas dans un cadre où on ose plus se dire les choses car il faut être gentil. Humilité, engagement et rire . Parfois je trouve que dans certains cercles, a force de vouloir trop s'écouter on ne se dit plus ce qui dérange. Pour être bien avec un collectif, je dois les rencontrer physiquement, même si je n’ai pas besoin de rencontrer tout le monde tout de suite, ça peut se faire petit a petit.
J’ai aussi besoin de clarté, c’est important.
Membre ? Oui
Identifiant attribué LaureRicard

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