-> Validation du devis de l’avocat à la prochaine réunion coeur
3 ateliers à l'école de Cunlhat

Voici le processus que nous avons testé :
- 10min de présentation de la résidence et de tour des prénoms
- 10min de dessin sur un post-it de l'endroit qu'ils aiment à Cunlhat (1 post-it par enfant).
- 10min : les enfants se lèvent chacun leur tour pour aller déposer son post-it sur la carte de Cunlhat et explique à toute la classe pourquoi iel a choisi ce lieu.
- 20min : on met les enfants par groupe de 4 ou 5. Ensemble, ils doivent réfléchir à un projet qui plairait à tout le monde sur Cunlhat (aménagements, événements, etc). Ils dessinent ce projet à plusieurs mains sur une feuille A3.
- 10min : on fait une restitution commune pour expliquer les différents projets aux autres.
- dans les sous-groupes : amenez les enfants à trouver un projet en commun. Ce n'est pas facile mais c'est l'occasion de leur partager l'importance d'écouter l'idée de l'autre et de trouver un projet qui rend tout le monde content plutôt que de garder son idée coûte que coûte
- les enfants adorent dessiner et ont plein d'idées. Ils pensent à des détails très pratiques (vestiaires de la piscine pour les groupes et pour les familles, parking des bus, mangeoires à hérisson, ...)
- Utiliser d'autres matériaux pour faire des versions 3D des affiches (coton, papier d'alu, cure-dents...)
A 2 vitesses
Cette histoire est très récente. J'ai été appelée au printemps dernier par un représentant d'organisations actives dans le social. Elles ont mutualisé des formations qui fonctionnent très bien et dont les effets dans les pratiques pro sont vraiment constatées.
Mon profil correspond, semble-t-il à leur projet commun qui demande passablement de coopération. Tout le projet est écrit, cette 1ere démarche a pris près de 2 ans.
Afin de m'imprégner de ce milieu nouveau pour moi, je passe mon 1er mois à aller d'organisation en organisation pour comprendre les enjeux et les spécificités de chacun des partenaires.
Un fois le diagnostique fait, un groupe de travail est créé pour avancer sur projet consacré à l'hybridation de la formation. Ce groupe comprenant des responsables formation et DRH se réunit 1 fois par mois pendant 2 heures, les gens apprennent à se connaître. En parallèle, une réunion avec les directeur a lieu tous les mois. Le décalage entre les besoins apparus d'un côté et la vision de l'autre est flagrant. Il semble que le dialogue entre les parties au sein de chacune des entités est très réduit (en tous les cas sur ce projet). Ca m'interroge, mais je comprends assez vite qu'une partie de mon rôle va être d'assurer ce rôle de transmetteur d'information.
Le groupe de travail avance (très)vite. La montée en compétences sur le fonctionnement en coopération, le "faire ensemble" est sensible. Niveau Direction, un coup de frein clair est mis en décembre. La décision tombe, le projet ne concernera que l'organisme chargé des formations pour l'ensemble des organisations... Souhaitant informer le groupe de travail de ce tournant, je devrai attendre un mois pour envoyer un compte rendu validé et réaliser que ces personnes n'avaient pas été informées en interne.
Parallèlement, je suis sollicité sur un autre truc, qui réunit plusieurs personnes du groupe de travail. La déception est palpable.
Pour qu'un projet de coopération fonctionne, il faut de la diversité et là on a que 5 hommes de plus de 50 ans, blancs dans la direction. Le résultat est sans surprise, avec un effet de cohorte n'encourageant pas l'innovation.
Aujourd'hui je sais que le groupe projet continue à coopérer ensemble mais ce n'est pas formalisé.
Initalement, les réunions du groupe projet devaient avoir un représentant par organisation. Finalement les RH et les formateurs venaient à chaque fois.
Ca a permis de développer un langage commun quand chacun repartait dans son entité.
Avoir un espace de capitalisation, des résultats tangibles, concrets.
L'humour : c'était détendu, on avançait, mais de manière joyeuse.
Avoir vieilli : Il y a quinze ans, je n'aurais jamais osé prendre un mandat pareil, je ne savais pas ou on allait. Les organisations étaient tellement différentes = complexité. Mais quoiqu'on fasse, j'étais convaincue que nous ne reviendrions pas à 0. Nous avons construit ce qui était possible en fonction du contexte.
Pour moi, on est venu me chercher sur les éléments de coopération et j'ai réussi mon mandat.
Deux fois ils m'ont dit : "C'est incroyable, ici quand on ne comprend pas ou qu'on est pas d'accord, on ose le dire. Il y a plein de milieux où c'est très compliqué.""
Ils venaient tous malgré le fait qu'ils aient un boulot d'enfer. Le fait qu'ils souhaitent tous se connecter à quelque chose.
Qu'ils soient tous allés sur le wiki ou je capitalisais les choses.
Partager des outils au fur et à mesure, et quoiqu'il arrive, même si ça s'arrêtait demain, ils avaient un espace pour tout retrouver.
Je continue à garder la communauté active pour loguer ce qui continue d'être fait : si une personne fait un cahier des charges, etc... les outils de productions sont partagés et la communauté est informée à chaque fois.
Garder du lien (de l'information), éviter les silences trop longs, quand il y a des occasions à la marge, oser poser les questions aux uns et aux autres. Donner des prétextes, montrer que même si ce n'est pas officiel que c'est une unité de coopération, ça devient un réseau vivant.
Les gens savaient se rassurer et s'encourager mutuellement.
-Avoir des directions marquées par la diversité
-Qu'il y ait un dialogue inter organisations, que le travail en équipe soit une réalité dans chacune des organisations, qu'ils se tiennent au courant de ce qui se passe dans leurs équipes.
Accompagner le dérapage
En milieu carcéral, on s'est retrouvé avec mon collègue Guillaume à 2 minutes d'une intervention pour commencer le développement des compétences de tutorat quand le directeur a déboulé en disant "il y a rien qui fonctionne, ce groupe n'est pas capable de sortir les documents que j'attends... J'hésite beaucoup à faire une demande de budget pour continuer vos services sur 2024".
Les stagiaires sont arrivés à ce moment. Il les a apostrophé sur le fait qu'ils avaient mis des fourmis sur leur blason.
Pour amener un peu de détente dans la session j'ai rappelé que "Mr de La fontaine avait une grande estime pour les fourmis." Le Directeur a dit : La fourmi n'est pas prêteuse" et s'est assis dans le cercle.
A partir de là, on l'a encouragé à exprimer ce dont il avait besoin, on a listé tout ce qu'il disait et on a fait tourné un baton de parole.
Il était rassurée qu'il pouvait être entendu. On lui a confirmé ensuite qu'on allait animer la matinée comme prévu et que nous discuterions avec les stagiaires comment modifier l'après-midi pour prendre ses demandes en compte. Dans la matinée, on a retravaillé les fondamentaux de la communication non violente et animé des espaces de pratique. On a posé au milieu les demandes du directeur et on a encouragé les participants à identifier les endroits pas clairs ainsi que les endroits où ils se sentaient en sécurité ou pas en tant que groupe.
A 11h45, on leur a dit que c'était eux qui allaient aborder les questions avec le directeur à 14h. Ce qu'ils ont fait.
On a eu à la fin un accord collectif sur ce qui devait être fait, quand et comment. La difficulté en prison est que les équipes différentes n'ont pas les mêmes plannings, donc du mal à se retrouver ensemble sur le même créneau.
Le Directeur est reparti à 15h : on a fait un débrief et on les a fait réfléchir sur la place qu'ils avaient pu prendre en temps que groupe.
En fin de journée, ils ont travaillé sur les 4 objectifs qualitatifs et quantitatifs pour s'organiser et savoir comment chacun pouvait contribuer.
On a transformé cette contrainte de début de journée en expérience d'apprentissage, et ça a énormément soudé le groupe de pouvoir vivre cela ensemble.
La fois suivante, ils ont pu faire un cercle pour réguler eux mêmes leurs tensions sans qu'on intervienne, aussi parce qu'ils avaient pu trouver leur place par rapport à ces attendus qui n'avaient pas été clarifiés de prime abord.
On n'a pas essayé de transformer ce qui était, on a laissé partir dans le mur.
Ensuite, j'ai posé un trait d'humour qui a permis de prendre de la distance.
Toujours garder le point de vue haut, ne pas se prendre au sérieux, prendre de la distance, laisser à la personne ce qui lui appartient et prendre ce qui appartient à soi. Avoir une sorte de vigilance par rapport à ça.
Le groupe s'est senti sécurisé parce qu'on a su développer une vraie confiance. Capacité à créer une confiance grâce au non jugement, l'accueil inconditionnel. Ils n'ont jamais douté qu'on était de leur côté, et ça leur a permis de prendre leur place. Ce regard sur l'autre.
On a montré au directeur ce qu'on avait fait toute la matinée et comment on avait utilisé sa demande comme manière de faire travailler les surveillants. Les questions qu'ils posaient étaient les vraies questions qu'ils avaient. Remettre les choses dans un contexte qui a du sens pour la personne et toutes les parties prenantes, permet de sortir de son positionnement émotionnel, de revenir à une posture plus neutre. Il est redevenu directeur parce qu'on l'a remis dans le contexte de développement de compétences de tutorat dans le milieu carcéral. Passer du micro au macro.
- Que la hiérarchie prenne le temps de venir, un représentant a été nommé et est venu à la dernière journée, mais on aimerait une journée avec toutes les parties prenantes pour la suite du programme.
- Les gens sont rarement disponibles en même temps dans ce milieu là : voir comment leur organisation peut fonctionner de manière à laisser plus de temps au travail collectif. Peut-être définir des plages de rencontres longtemps à l'avance pour se rencontrer et continuer à grandir ensemble.
- Faire encore plus que ce qu'on a fait, qui était une 1ere partie d'expérimentation avec la CNV, et les 3 dernières parties : construire sur ce dont ils ont besoin. Faire plus de co-construction : partir des besoins évolutifs des stagiaires pour avancer et co-construire plus tôt dans le programme.
A coeur vaillant rien d'impossible
Moment ancien ou j'étais novice. En 2019, au moment du lancement du collectif inter hôpitaux, j'étais au CHU de Clermont Ferrand et j'ai fait partie des 2 leaders de ce mouvement à Clermont, construit beaucoup avec des médecins et des professeurs de médecine, donc hostiles : médecin, chercheur, politique, avec des conditions sociologique, sociologie de privilégié.
J'étais une femme jeune, médecin contractuelle. J’avais un allié de poids, professeur de médecine, une personne aux caractéristiques "homme blanc de plus de 50 ans" - plus rien à prouver, qui m'a soutenu et m'a fait confiance. Je n'avais pas mesuré à quel point c'était un des facteurs clés.
Il y a eu une journée de mobilisation en novembre 2019, très suivie, rare chez les médecins. Le CHU s'est mobilisé et j'ai proposé de se saisir de cette journée pour faire des ateliers de réflexion. Ça a été bien accueilli, nourri par les précédentes AGs que j'avais co animé, voire animées moi même avec le soutien de cet homme et le soutien d'une femme, soutien institutionnel, parole d'autorité forte.
2 ateliers en format Intelligence collective avec un qui a hyper bien marché, visiter les 4 postures : de très favorable et à très défavorables. Visiter des postures qui n'étaient pas notre avis.
Les retours étaient : c'est chouette de faire ça, ça faire vivre des choses.
Sur le 2ème, mon cadre a été complètement pété par une autre parole d'autorité, un autre professeur, je n'avais pas de soutien.
Un peu d'opportunisme, de se saisir d'un moment où il y a un peu de flottement, une brèche qui s'ouvre et de ne pas laisser trop de temps filer, avec un peu de légereté quand même. Ne pas mettre trop de sérieux là dessus. Equilibre entre légèreté et sérieux. Il ne faut faire peur dans ces milieux hostiles (trop new age, perché) mais quand même prendre la place. Mélange légitimité sérieux et légèreté déconnade.
Une capacité à fédérer et à inclure et concilier les différentes attentes. Don de traduction entre des langages différents et des attentes un peu différentes.
J'avais fait un peu mes preuves sur un côté rigueur, organisation, engagement, sérieux, et j'ai pu m'appuyer là dessus, je n'aurais pas pu débarquer de nulle part.
Avoir le diplôme, avoir fait preuve d'un certain engagement.
Avoir été chercher des alliés des 2 côtés : figures d'autorité, et des jeunes médecins pas tout à fait en phase avec ce qui se passe.
Un moment de crise où des interstices se sont ouverts
Je n'étais une menace pour personne, je n'allais prendre la place de personne.
Le travail et la préparation : J'avais beaucoup préparé les ateliers
- Je regrette qu'il y ait eu une sorte de déception derrière, des personnes qui sont venues et se sont engagées et les choses n'ont pas bougé plus vite et c'est retombé.
- A ce moment là, je n'avais pas une expérience incroyable des outils et des postures donc un peu plus de bagage personnel, d'outils et du soutien là dessus
- C'est resté très "entre médecins", je n'avais de contacts ni de soutien autre : j'aurais pu aller les chercher ? Plus de compétences, plus d'expérience et plus de soutien des personnes qui ont ces compétences et cette expérience. Peut-être une croyance fausse mais il aurait peut-être fallu qu'elles aient le bon CV, peut-être que dans les milieux hostiles, il faut le costume.
Acteurs Transition AURA
L'animation de la communauté elle même n'a pas duré par manque d'énergie
La liste de distribution n'est pas utilisée.
Adhésion de personnalités morales à Solucracy À DÉFINIR - en cours :Pas d’ouverture de droits à tous les membres de la structurePossibilité de faire une charte de coopération sereine ?
Adhésion de personnes physiques à Solucracy : OKPas d’adhésion de personnalités morales à Solucracy :Pas d’ouverture de droits à tous les membres de la structure.Privilégier partenariat et possibilité de faire une charte de coopération sereine.
Adhésion de Solucracy aux associations suivantes : Démocratie ouverte , BBZ, Bardane (100% des votants), Unadel, Poles en Pomme (85% des votants)
Adrien Solacroup

Je me rend compte que tout n’est jamais tout noir et tout blanc, qu’il est important de prendre du recul
Et la bonne humeur !
AG 2022 Proposition de Yannick de déroulé et partage de la préparation >> Judith et Hélène font une proposition de déroulé sur les rôles pour la réunion coeur du 7/11 >> Circé envoie un mail pour prolonger l’horaire de 30min
AG 2024
Esprit de l’AG :
On reste sérieux, mais dans la joie et la bonne humeur ! L'occasion de faire le point sur cette année passée, célébrer nos réussites, discuter de nos défis et définir un futur à notre image. Le tout avec une touche de fun et d’interconnaissance. Parce qu’être ensemble, c’est ça la vraie force de Solu ! 💪A vos agendas, à vos claviers, et à très vite pour cette grande rencontre !
🌟Et oui, il est temps de se lâcher un peu, tout en restant sérieux... ou pas
😎🔑 Au programme : Dans un souhait de coconstruction pensez à remplir votre part sur Miro
- Retour sur 2024 : vos réalisations, vos actus, et les moments marquants
- Nos projets pour 2025 : de quoi rêver et préparer l'avenir
- Questions importantes : ce que vous attendez de l'AG, les sujets qui vous préoccupent
- Suggestions pour une AG fun : comment faire de cette réunion un moment agréable ?!
- Volontaires pour faciliter un temps de l'AG ? Donnez de l’énergie ! 💥
🔗 Lien vers le questionnaire Miro}

AG :Judith s’organise avec Fred et Circé pour faire un temps complémentaire pour les intégrer dans la réflexion orale sur la gouvernanceLa prochaine réunion coeur sera en partie (au ¾) consacrée à la validation de la proposition faite par Hélène et Judith sur la gouvernance
AGENDA COMMUN SOLUCRACY

CLIQUE ICI
Ajouter une convention type + la place des élus
A l'écoute des jeunes
Le Territoire
Le Cadre du projet
Description du projet
L’intention de cette démarche est de renforcer les liens avec eux, de créer une liste de projets pour répondre à leurs besoins et de les connecter à la vie locale. Il est important pour vous que la dynamique créée soit pérenne et que vous puissiez être autonomes pour la faire vivre.
- questionnaire aux arrêts de bus pour les jeunes Comblorans
- Atelier au lycée privé HB de Saussure pour les jeunes en internat
- Un atelier en ligne pour le partage des résultats (COVID oblige)
- Temps de co-construction au pump track de Combloux pour la création de l'événement La Pump Track Party
Retour d'expérience

62 réponses pour 190 jeunes de l'internat
- L’accueil et les échanges directs avec nos différents interlocuteurs : Julie, Mme Ribas, les parents d’élèves, les enfants, office du tourisme, etc... Intéressés par la démarche, pas de défiance..
- Appeler les établissements scolaires beaucoup plus efficace que par mail
- Les élèves se sont plutôt bien prêtés au jeu de remplir le formulaire et le rendre en soirée
- Rythme relativement gérable pour être présents à tous les arrêts de bus
- Conditions météo plutôt bonnes = permet un temps d’échange un peu plus long
- Le fait d’avoir du temps a permis d’adapter nos interventions et de faire preuve de flexibilité : design atelier De Saussure, entretien Dauphiné, traitement des réponses production de ce document.
- Des infos très précises sur les arrêts de bus et leurs horaires, nombre d’élèves, etc fournies par Julie
- Les interactions avec le lycée De Saussure
- Motiver un peu plus les élèves à répondre en leur donnant quelques pistes un peu vagues
- Le flyer et le format (QR Code, etc…)
- Difficulté à joindre certains établissements : un échange en face à face aurait été plus efficace et les contacter plus en amont
- On aurait pu être plus clairs dès le début sur les différentes manières de rendre les réponses
- Pas beaucoup de temps avec les jeunes aux arrêts de bus ( pas pu poser les questions en live )
- Manque de visibilité en amont sur le nombre de jeunes aux arrêts ( COVID, etc…)
- Plus difficile d’attirer leur attention le soir quand ils sortent du bus
- Endroits pas faciles d’accès (peu de visibilité la nuit, etc... ), certains arrêts sont dangereux
- Ne pas savoir qui répond et qui ne répond pas, pas de relance ciblée possible
- Le fait d’avoir été que 2 sur une période longue avec beaucoup d’arrêts, pas très efficace, plutôt une équipe de 12 sur une journée ou des référents arrêt de bus parmi les élèves
- Un peu de flou sur le nombre d’élèves qu’on a réussi à toucher
- Nos compétences ont été sous utilisées, on aurait pu être plus ambitieux
- Aider à conscientiser ce qu’il pourrait y avoir en plus
- Demande du temps, en direct. Etre proches d’eux, la réponse ne vient pas forcément tout de suite après avoir posé la question.
- Plutôt s’axer sur des entretiens qualitatifs
- Créer des partenariats avec les associations
- Projet de coworking/coliving dans un village : On déjeune avec 2-3 jeunes et on prend 2 heures pour discuter et comprendre
- l’impulsion ne se fait pas
- Pas d’appropriation (ça ne nous concerne pas, pas trop pour nous)
- Beaucoup de freins psychologiques pour exprimer les besoins et envies, c’est important de travailler sur l’imaginaire (inspirer et ouvrir)
- Amener des gens d’ailleurs pour ouvrir le champ des possibles
- Prendre le temps de créer la relation confiance/sécurité avant de leur demander quelque chose
- S’intégrer un peu plus dans leurs activités existantes
- Voir si les structures relais peuvent devenir ambassadrices (petites activités pour qu'elles puissent s'investir dans la démarche)
- Faire un jouer un rôle aux parents, pour faire sortir leurs envies.
- Trouver les adultes modèles :quels adultes écoutent-ils ?
- Les sortir du "obligation et formel"
- Faire une 2eme vague d'enquête sur les lieux repérés maintenant qu'on sait où ils sont , voir si certains jeunes peuvent devenir ambassadeurs de la démarche
- Commencer avec ceux qui sont là pour faire grandir la dynamique, ne pas être trop strict sur la méthodo
- Commencer avec les jeunes du village, en gardant une conscience de ceux qui sont à l'internat, et demander à eux comment ils peuvent les inclure
- Faire réagir sur les premières réponses à l’enquête pour en générer d’autres
- Commencer par des temps pour libérer la parole
- Mode micro trottoir :s'exprimer sur des sujets un peu plus décalés
Julie Hodeau, Chargée de mission et de communication, Mairie de Combloux (74920)
Analyse des Besoins sociaux à Putanges Le Lac
Le Territoire
Le Cadre du projet
Description du projet
Retour d'expérience
Ça a commencé par la constitution d'une équipe de bénévoles qui aiderait sur l'une des 3 phases ou tout le long du projet : contact des structures locales ; distribution des questionnaires accroches-porte ; collecte des questionnaires et rencontre des voisins.
J'ai commencé par faire appel au réseau des bénévoles volontaires au tout début du projet en 2020. Je les ai sollicité individuellement et j'ai fait des appels collectifs. On a organisé des réunions d'information pour expliquer et sensibiliser les sociétaires de la SCIC K-Rabo également : la récompense était le label Espace de Vie Sociale et des aides techniques et financières de la CAF de l'Orne pour notamment embaucher une nouvelle personne au sein de l'équipe, aide non négligeable pour le K-Rabo à ce stade.
Nous avons aussi sollicité les structures locales directement afin de solliciter leur réseau en soutien. On a fini par rassembler 29 bénévoles, avec une échéance de la CAF de 2 mois au total pour travailler sur le projet, court à mon sens, ce qui nous a forcés à faire ça dans un rythme soutenu.
Le porte à porte
On a mis les questionnaires dans les boîtes aux lettres, pas sur les portes, certains sont passés inaperçus, comme des prospectus promotionnels.
C'était très intéressant, l’équipe se demandait pourquoi on avait fait la distribution car beaucoup n'avaient pas vu le petit papier où l'avait jeté.
A l’inverse, quelques personnes âgées nous ont dit : "On vous attendait !"
C'est super de découvrir le territoire à travers les boites aux lettres, la familiarisation des hameaux et des familles qui y habitent. Des membres de l’équipe ont dit qu'ils avaient rencontré des voisins qu’ils n’avaient jamais rencontrés.
D'autres ont trouvé dur de rentrer chez les gens comme ça.
Dans la globalité, ça a créé une joie incroyable. Beaucoup ont été touchés d'être invité à boire le café, dans une intimité inconnue et ont trouvé ça trop court. C'est assez indescriptible, et un honneur d'avoir pu participer à ça.
- 29 personnes recrutées pour le porte à porte
- 28h30 pour le porte à porte seulement, pour plus de 1000 accroches-porte, 164 réponses reçues sur papier, en direct ou en ligne tout en considérant qu'on n'a pu faire que 35 à 40% du territoire
Le projet dans le global a eu de l'écho, les temps collectifs ont très bien fonctionné. Aller rencontrer les gens directement a permis de mobiliser. Les retours ont remonté des frustrations de ne pas avoir pu rencontrer et aller parler à encore plus de gens !
Aussi, les documents modèles de Solucracy et le soutien du collectif ont été cruciaux. J'ai pu les utiliser, les ajuster, je savais où j'allais, tout ça aussi grâce au soutien de Yannick de Solucracy sur ce projet. Les réunions collectives de préparation m'ont carrément mâché le travail.
Porter la méthodo Solucracy sur le terrain m'a fait me sentir plus légitime et plus ancrée dans le collectif.
Le porte à porte
C'était fluide et convivial sur les phases de distribution et le porte à porte. On fait des choses qu'on sait déjà faire : parler aux gens et glisser des prospectus dans les boîtes aux lettres. en binôme, ce qui nous permet de rencontrer quelqu'un de nouveau.
La formation avant le porte à porte était apparemment utile, les débriefings ont permis l'expression des impressions et ressentis. Les retours ont fait remonter que les bénévoles en binôme ont passé un super moment à chaque fois.
Ca a été trop court comme délai pour prévenir et réunir les gens, j'aurais organisé les temps collectifs différemment, c'était sur des temps de vacances donc pas idéal.
On a pu joindre les structures mais on ne les a pas re-sollicitées parce qu'ils avaient l'air déjà bien occupés alors que ça aurait pu nous aider à créer un réseau plus resserré dans le projet.
Trois souhaits pour la prochaine fois :
Prendre le temps d'aller rencontrer les gens directement pour créer l'adhésion et le soutien car un email ne suffit pasLaisser plus de temps pour que les gens découvrent le projet : permanence, présentation pour se faire repérer, que le bouche à oreille ait le temps de faire son effet
Il est essentiel que le porte à porte émane de quelqu'un de local et de permettre les rencontres sur 2 mois pour que les gens aient le temps de se raccrocher au projet
Le porte à porte
La carte google pour trouver les maisons, j’ai dû m'adapter au dernier moment. Je me suis rendue compte que chaque personne a une appréhension des directions et des cartes différentes, je serais plus attentive à ce point la prochaine fois.
Trop court en temps et pas assez d'énergie pour couvrir la totalité du territoire.
Les questionnaires auraient mérité d'être un vrai accroche porte, ça aurait surement mieux marché !
Les questions posées en face à face étaient plus compréhensibles car 2 questions se ressemblaient sensiblement dans la lecture.
Trois souhaits pour la prochaine fois :
Préparer autrement les cartes pour faciliter leur lecturePrévoir un temps plus long pour permettre de rencontrer plus d'habitants dont des jeunes (arrêts de bus, écoles) tout en prévoyant un budget en conséquence
S'assurer d'un appui concret des élus et des collectivités afin d'avoir leurs retours sur chaque étape contrairement à avoir un soutien distant sur le projet
Un peu désespérée, c'était très dur de mobiliser des gens autour d'un tel projet, qui plus est, qu'ils n'ont pas initié. Les bénévoles étaient déjà sollicités par ailleurs, et le réseau dans lequel nous avons sollicité des gens sont tous connectés à des projets très actifs, les gens n'avaient plus le temps ou pas envie. Il y avait aussi une fatigue ambiante de fin d'année, on attendait et préparait les fêtes de Noël !
À refaire, je passerai plus de temps à informer et solliciter de l'aide personnellement, peut-être moins énergivore que de lancer une bouteille à la mer.
Le porte à porte
Hyper fière et informée. Très étonnée par les partages, j'ai l'impression d'avoir rencontré une partie du territoire que j'aurais jamais rencontrée autrement. Beaucoup de réponses d'agriculteurs, de retraités, de familles qui ne côtoient pas des tiers-lieux ou des marchés que je fréquente car ils manquent de temps ou n'ont pas de moyens de locomotion. Je suis curieuse d'en savoir plus, j'ai envie de faire plus de porte à porte. Je vois encore plus l'importance de la consultation publique et citoyenne et de leur implication dans les prises de décisions pour ceux qui le souhaitent. Je vois l'importance d'intégrer cette diversité d'intérêts et d'idées dans un tel processus certes plus long mais plus démocratiques.
Le porte à porte était une expérience inattendue, je recommanderais à toute personne de le faire une fois au sein de sa commune car dans le contexte social actuel, ça aide à casser des barrières, les préjugés, les peurs, les aprioris et les jugements qu'on peut avoir de loin parfois. On ne peut que créer des liens même si on rencontre des idées et des visions différentes des nôtres.
C'est une porte d'entrée pour entrevoir la vision des uns et des autres, créer de nouveaux ponts entre nous afin de créer des communs qui nous correspondent vraiment.
Les gens vous invitent à passer le pas de leur porte, à boire un café et s'entrouvre à ce moment une nouvelle manière de voir leur monde et donc le nôtre.
Je suis vraiment fière d'avoir pu l'organiser au sein du K-Rabo et sur ma commune
Annabelle Royer
Antoine PETER

Je suis originaire d'une petite ville de Normandie, Eu, puis j’ai migré à Lille, puis Amiens où je travaille à la mairie depuis plus de 10 ans : d’abord en tant que chargé de mission à la démocratie participative et à la vie associative sur des territoires prioritaires (pendant 5 ans) et depuis 2016 en tant que chef de projet animation territoriale sur le secteur de la santé.
Je donne aussi des formations au CNFPT : formation à l’entrée dans la fonction publique territoriale une fois qu’on devient titulaire (culture territoriale, valeurs commune, …) et au master 1 de sciences politiques à l’Université de Lille sur l'articulation des projets personnels et professionnels.
J’habite à Amiens mais me déplace souvent à Paris.
Je suis aussi engagé dans 2 projets associatifs : la ferme pédagogique de ma belle-famille où je pense bientôt rejoindre le bureau notamment pour reprendre la gestion de la gouvernance actuellement problématique. J’ai aussi co-fondé un tiers-lieu, mais maintenant je m’y investis beaucoup moins, mais toujours pour passer boire des coups ^^.
Après un voyage en 2016 à parcourir le monde rural en France et à l’étranger, j’ai réalisé que l’échelon local était l’échelon où l’on pouvait agir. Aujourd’hui, j’ai envie d’évoluer, de faire autre chose et notamment de m’investir dans le développement local et dans des projets de participation citoyenne en milieu rural pour mettre en lien les habitants – porteurs de solutions – avec les acteurs des autres échelles territoriales.
Pour ce faire, j’ai décidé d’ici la fin de l’année de prendre une mise en disponibilité pour développer des projets car je sens que j’ai envie de prendre plus d’engagements associatifs.
J’aime beaucoup l’investissement des membres à la carte, je trouve cela sain comme fonctionnement. Cela me permet d’avoir une liberté sur mon temps et de choisir de m’engager là où je le souhaite. Notamment je me vois bien m’investir sur les sujets de gouvernance pour nourrir ma réflexion sur mon autre projet de la ferme pédagogique.
Je suis habitué au collectif à la culture de coopération, d’être dans des pratiques de coopération, de se dire les choses, faire en sorte que ça avance, avoir des responsabilités clairement définies. J’ai d’ailleurs du mal à ne pas être en collectif.
Etant déjà engagé dans 2 projets par ailleurs et ayant une petite fille d’un an (ça prend du temps), j’aurai besoin de savoir quels sont les besoins de Solucracy pour exprimer sur quoi je peux m’engager et sur quelle quotité de temps.
A partir de janvier je serai en capacité de m’investir (de façon modulable) sur les actions de Solucracy
Application numérique
Permet de transmettre des documents
Notifications
peut intégrer la traduction automatique et la lecture à voix haute
- Je ne parle pas français
- Je suis malentendant
- Je suis non voyant
- J’habite dans une zone reculée
- Je travaille de nuit
- Je suis résident secondaire
- Je ne suis pas inscrit sur les listes électorales
- Je suis à l’école primaire
- Je suis au collège
- Je suis au lycée
- Je ne lis jamais mon courrier
- Je suis uniquement usager du territoire
- Mon ou ma conjointe gère tout pour moi
- Je suis commerçant
- Je ne sors jamais de chez moi
- Je suis sous tutelle
- Je ne fais pas confiance à l’administration
- Je suis sans papiers

Retour d'expériences sur cet outil
- Prendre en compte l’expérience d’usage des citoyens complémentaires de celles des experts
- Mieux répondre aux problèmes d'un territoire
- Assurer une décision plus juste et inclusive
- Garantir une connexion entre l’avis des citoyens et la décision politique
- Développer des projets utiles pour les habitantes et habitants d'un territoire
Associer un représentant du public visé dès le début du projet
Atelier en école primaire

- Faire émerger les besoins des habitants
Retour d'expériences sur cet outil
3 ateliers à l'école de Cunlhat

Voici le processus que nous avons testé :
- 10min de présentation de la résidence et de tour des prénoms
- 10min de dessin sur un post-it de l'endroit qu'ils aiment à Cunlhat (1 post-it par enfant).
- 10min : les enfants se lèvent chacun leur tour pour aller déposer son post-it sur la carte de Cunlhat et explique à toute la classe pourquoi iel a choisi ce lieu.
- 20min : on met les enfants par groupe de 4 ou 5. Ensemble, ils doivent réfléchir à un projet qui plairait à tout le monde sur Cunlhat (aménagements, événements, etc). Ils dessinent ce projet à plusieurs mains sur une feuille A3.
- 10min : on fait une restitution commune pour expliquer les différents projets aux autres.
- dans les sous-groupes : amenez les enfants à trouver un projet en commun. Ce n'est pas facile mais c'est l'occasion de leur partager l'importance d'écouter l'idée de l'autre et de trouver un projet qui rend tout le monde content plutôt que de garder son idée coûte que coûte
- les enfants adorent dessiner et ont plein d'idées. Ils pensent à des détails très pratiques (vestiaires de la piscine pour les groupes et pour les familles, parking des bus, mangeoires à hérisson, ...)
- Utiliser d'autres matériaux pour faire des versions 3D des affiches (coton, papier d'alu, cure-dents...)
Bertille Mazari
sciences sociales ess
stage open source politique plateforme DECIDIM
consultante dans entreprise depuis 1 an
j’accompagne des les localités à construire leur ??? en présentiel et en numérique
découvert une réelle appétence pour le contact, échange riche. contact humain beaucoup apprécié
je voudrais trouver une conjonction entre les 2modèles de participation numérique et en présence.
être en présence, voir les gens
bienveillance
communication et retour
pouvoir anticiper
Bienvenue !
Bleu Blanc Zèbre

La mission de BBZ : contribuer à une société qui repose sur le principe de confiance et pas sur le seul principe de précaution.
- Un label qui identifie et valorise des initiatives concrètes, impactantes et réplicables, partout en France.
- Une communauté d'acteurs engagés qui s’entraident pour faire vivre le bien commun sur tous types de territoires.
- Des projets concrets pour mobiliser des collectifs d’acteurs prêts à travailler ensemble dans un esprit de confiance.
Les valeurs : Action ; Solidarité ; Egalité ; Indépendance.
Qu’est-ce qu’un zèbre ?
Un zèbre est un acteur de la société civile qui porte une action concrète contre une fracture sociale ou environnementale. Les zèbres sont prêts à travailler conjointement dans un esprit de confiance.
Bulletin Municipal
Il se mélange parfois avec la pub
- Je suis malentendant
- J’habite dans une zone reculée
- Je travaille de nuit
- Je suis résident secondaire
- Je ne suis pas inscrit sur les listes électorales
- Je suis à l’école primaire
- Je suis au collège
- Je suis au lycée
- Je n’utilise pas d’outils numériques
- Mon ou ma conjointe gère tout pour moi
- Je ne sors jamais de chez moi
- Je ne fais pas confiance à l’administration
- Je ne me suis pas préalablement inscrit au service

Retour d'expériences sur cet outil
- elles ne sont pas affiliées à des partis politiques
- elles utilisent des méthodes horizontales d’organisation
- tout le monde est responsable de la vie de la commune
- les habitants sont légitimes à prendre directement les décisions qui les affectent et les élus sont davantage dans une posture d’animateurs de la démocratie locale
- elles souhaitent développer le pouvoir d’agir des citoyens et organiser l’implication directe d’un grand nombre d’habitants à la vie de la cité
- elles souhaitent éviter la corruption et les conflits d’intérêt
Attention à l’emploi du terme appel d’offre au lieu de marchés publics. Un appel d'offres est un type de marché public, parmi plusieurs autres.
Principes clefs des MP: distinction travaux/fournitures/services ; transparence des données ; concurrence et liberté d'accès aux infos ; candidatureoffre.
Les différentes procédures :
- 0 à 40000 €HT : demande de trois devis, procédures très souple.
- 40000 €HT à 139 000 €HT / 214 000 €HT (services - état / collectivités) : MAPA (procédure adaptée, le commanditaire à un cadre à respecter, assez peu contraignant)
- 139 000 €HT / 214 000 €HT et + : procédures formalisées comme appel d'offre ouvert/restreint ; procédure concurrentielle avec négociations ; dialogue compétitif ; concours.. Procédures cadrées et plus lourdes.
NB : ces seuils correspondent à l'évaluation du commanditaire, si le candidat évalue l'offre au delà du seuil, il peut toujours répondre en ce sens...(ex : marché évalué à moins de 40000 €HT par le commanditaire qui demande donc trois devis, et finalement estimé à plus par les candidats => reconsultation ou changement de procédure)
Différentes structures de marchés
- Marché "classique" : besoin identifié, demande d’une offre et d’un tarif/forfait.
- Marchés à bons de commande : un premier marché définissant la mission générale, donnant suite à des bons de commande plus précis. Tarifs basés sur un bordereau de prix définis. Prestations au coup par coup par des bons de commande.
- Accord cadre : lorsque le besoin du commanditaire est plus complexe. Élaboration d’un premier marché cadre (mission générale) donnant suite à d'autres marchés dits subséquents, définis par la suite avec un contenu précis. Possible remise en concurrence si plusieurs prestataires sont retenus.
- Spécificités possibles dans un marché :
- Tranches : découpage d'un marché en plusieurs parties à exécuter, pouvant être fermes ou conditionnelles.
- Variante : proposition alternative faite par le candidat pour répondre au besoin.
- Options et Prestations Supplémentaires Eventuelles (PSE) : proposition alternative demandée par le commanditaire pour répondre au besoin
Les pièces clefs de la consultation
- Dossier de consultation (DCE) : ensemble des pièces. Le dossier qu’il faut télécharger en premier car il contient tous les éléments de la consultation !
- Avis d'Appel Public à la Consultation (AAPC) : l’avis de publication de la consultation.
- Règlement de consultation (RC): définition du cadre et des éléments de la consultation - Bien lire et FAIRE/FOURNIR CE QUI EST DEMANDÉ. PAS PLUS.
- Cahier des charges Administratives Particulières (CCAP) : conditions administratives spécifiques à cette consultation.
- Cahier des charges Techniques Particulières (CCTP) : conditions techniques spécifiques à cette consultation, contient le détail des missions.
- Acte d'engagement (AE) : pour renseigner toutes les informations clefs du candidat et de son offre de prix.
- Décomposition du Prix Global et Forfaitaire (DPGF) : pièce financière
- ou Bordereau de prix Unitaire (BPU) : pièce financière
- ou Détail Quantitatif Estimatif (DQE) : pièce financière
- Documents de références pouvant être cités : Cahier des clauses Administratives Générales (CCAG), notamment en cas de dérogation par le CCAP.
- Certaines pièces sont contractuelles = elles engagent ( AE ; CCTP ; DPGF ) > elles priment sur les autres et d'autres non (AAPC ; RC ; DQE)
- Il y a une hiérarchie : l'AE prévaut sur tout (sauf mention spécifique du contraire) et les pièces particulières sur celles générales = important en cas d'incohérences dans les pièces.
Rôle des membres dans une candidature collective (groupement)
- Mandataire = coordinateur du marché et interlocuteur privilégié du commanditaire
- Cotraitant = partenaire
- Sous-traitant = tiers déclaré réalisant une partie de la prestation proposée par le mandataire/cotraitant ; généralement payé directement par le commanditaire public.
- Groupement conjoint : chacun des membres du groupement s'engage à exécuter la ou les prestations qui lui sont attribuées dans le marché ; paiement à chaque membre par le commanditaire (mais facturation coordonnée par le mandataire).
- Groupement solidaire : chacun des membres du groupement est engagé financièrement pour la totalité du marché ; paiement sur un compte unique ou réparti si spécifié.
- Groupement avec mandataire solidaire : le mandataire est engagé financièrement pour la totalité du marché, y compris sur les parts des cotraitants.
- Forme spécifique parfois exigée par le commanditaire.
Les pièces du dossier de candidature
Elles permettent au commanditaire de s’assurer que le candidat est apte à exercer l'activité professionnelle, tant sur le plan technique que financier. Nota : si la candidature n'est pas valide, l'offre peut être écartée sans être analysée. Elle peut aussi faire l'objet de compléments si le commanditaire donne cette possibilité.
Ne pas envoyer plus de documents qui ne seraient pas demandés. ça desservirait
- La base : fournir les pièces demandées dans le RC, ne pas en faire plus.
- Les Déclarations du Candidat (DC)
- DC1: Lettre de candidature - Déclaration sur l'honneur - Composition du groupement - Désignation du mandataire et des cotraitants - Répartition des prestations - Pouvoirs
- DC2 : Déclaration du candidat individuel ou du membre du groupement - chiffre d'affaire - capacités et moyens
- DC4 : Déclaration de sous-traitance
- Assurances : RC pour service
- Existence juridique : Kbis
- Certificats de signature électronique à anticiper > documents à avoir pour pouvoir signer électroniquement. C’est payant. Aussi possibilité de ce service en one shot (mais qui nécessite de payer à chaque fois qu’on répond si on n’a pas de signature).
https://www.marche-public.fr/Marches-publics/Definitions/Entrees/Dematerialisation/Gtpoe-certificat-cout-modalites-duree.htm
- Références : toujours bien de mettre un dossier de références/portfolio en complément des pièces demandées, en valorisant les prestations similaires au cadre de la consultation > feuille A4 avec un tableau et photos, avec références similaires.
- Autres pièces possibles : CV.
Les pièces clefs de l'offre
- La base : bien prendre connaissance des contraintes du RC (format de document ; éléments attendus ; critères d'analyse...)
- Offre technique : mémoire technique et méthodologie, à rédiger dans le respect des contraintes de la consultation.
- Offre financière : coût de la prestation, à rédiger dans le respect des contraintes de la consultation.
Les pièces clefs dans l'exécution du marché
- Acte d'engagement (AE)
- Notifications (NOTI) : https://www.economie.gouv.fr/daj/formulaires-notification-marches-2019
- Exécutions (EXE) : https://www.economie.gouv.fr/daj/formulaires-execution-des-marches-2019
- Ordre de Service (OS)
- Bon de commande (BC)
- Marchés subséquents (MS)
Autres notions importantes :
- Offre irrégulière : offre incomplète qui ne respecte pas les exigences formulées dans les documents consultés ou qui ne respecte pas la législation applicable en matière sociale et environnementale
- Offre inacceptable : offre dont le prix excède les crédits établis pour le marché avant le lancement de la procédure
- Offre inappropriée : offre qui répond à un besoin autre que celui exprimé par l'acheteur
- Offre anormalement basse : offre dont le prix est largement sous-évalué et de nature à compromettre la bonne exécution du marché (OAB).
- Régularisation des offres : le commanditaire peut se laisser la possibilité de faire régulariser les offres des candidats (sauf inappropriée et OAB)
Vos questions sur les Marchés Publics :
- Comment vous fonctionnez actuellement avec les prestations que vous faites ?
Plusieurs fonctionnements : Subventions, marchés, prestataires d’asso...
- Est-ce que c’est possible d’avoir des subventions avec un marché public ?
Les subventions sont données lors d’appels à projets à un porteur de projets.
Le commanditaire peut lui bénéficier de subventions dans ses budgets, et lancer un marché public ensuite.
- Qu’est-ce qui est compostable = qu’on peut préparer en amont ?
Certaines pièces peuvent être préparées en amont (assurance, Kbis, book complet de références,avoir un certificat de signature électronique, DUME..) mais la majorité sont fonction de la consultation et du groupement qui répond. A la louche 20% des pièces en amont du dossier de candidature peuvent être compostables.
- Assurance civile individuelle pro : souvent demandée ?
Oui, toujours demandée.
- Est-ce possible pour une collectivité de faire appel à un prestataire sans marché public ?
Un besoin de prestation par un organisme public implique un marché. En dessous de 40.000€ l’organisme doit consulter au moins 3 prestataires (pas de consultation large).
- Est-ce que les candidatures des autres sont visibles ?
Non, il est par contre possible de demander à recevoir des pièces produites par le prestataire titulaire si notre candidature n’est pas retenue.
- On peut être plusieurs personnes comme mandataire sous une même structure par exemple ?
Le mandataire correspond à la structure juridique pilote du marché (donc plusieurs personnes possibles) ; le référent projet, interlocuteur privilégié du commanditaire, est un individu à identifier.
- Quel rôle pour rédiger un marché public ?
Dans les structures rodées il y a en effet des personnes dédiées à ça : veille sur les consultations ; organisation des groupements ; construction du dossier de candidature ; construction du dossier d’offre...
- Pas possible d’enchainer 2 marchés publics?
Globalement possible. Juste sur un même projet, certains prestataires ayant participé à une phase amont ne peuvent en effet pas candidater sur d’autres phases car cela peut entraîner une inégalité vis-à-vis d’autres candidats. (ex : le programmiste retenu sur l’élaboration du programme d’un bâtiment ne pourra pas candidater sur les phases études de conception)
- Quand une seule réponse à un marché public ?
Fonction de la procédure, du montant... Possibilité d’attribution mais généralement nouvelle consultation pour une réelle mise en concurrence.
- Finalement la mission n'est pas effectuée par un sous traitant, mais par un co-traitant ou le mandataire, comment je fais ?
Le montant annoncé au départ pour chaque sous traitant est un montant plafond, le mandataire n'est pas engagé à sous-traiter la totalité. Il est préférable de demander au sous-traitant de faire un mail validant qu'il ne facturera pas le reste pour éviter qu'il revienne derrière en disant : Je n'ai pas été payé.
Canevas Stratégie communication Collectivités

Mettre les choses à plat pour confronter les visions
Organisez ensuite une session "qu'est-ce qu'on crée, cesse, continue" ou de l'étoile du changement pour produire une liste d'actions pour améliorer votre stratégie de communication
Retour d'expériences sur cet outil
Carte des facilitataires en intelligence collective
1.Recenser les facilitateurs et accompagnateurs qui maitrise les outils de collaboration pour qu'ils soient visibles pour les collectifs, entreprises, collectivités nécessitant un accompagnement.
2.Faciliter les interactions entre ces acteurs pour monter en compétence sur divers outils, échanger, partager, se réunir, relier, etc....
3.Donner la possibilité à chaque citoyen de vivre une expérience collective positive pour guérir notre tissu social
Encore un outil commun.
Florence Le Nulzec , Timothée Couchoud , Jean-Michel Cornu, Bruno Tison et beaucoup d'autres ont également contribué pour qu'elle réponde à un besoin plus large. Sa mission a maintenant largement dépassé le petit périmètre auquel on la destinait :-) .
Grâce aux membres du groupe Facilitateurs et Facilitatrices sur Facebook, nous avons pu constituer une liste plutôt complète des outils et méthodes existants que vous trouverez (et pourrez compléter) en suivant ce lien
Cette carte se veut contributive, beaucoup de choix discutables et à rediscuter ont été faits, elle n'est pas parfaite, mais on peut la bonifier tous ensemble maintenant qu'elle existe.
Elle constitue également un magnifique terrain d'expérimentation pour trouver une manière efficace de co-designer un outil commun. (y a-t-il un facilitateur dans la salle ? :-) )
Par exemple : Comment décider ensemble des outils et méthodes à ajouter ?
Comment bonifier l'outil de manière efficace sans subir une inertie de groupe trop importante ?
Pour la suite, étant donné qu'on va peu à peu enrichir la liste d'outils et méthodes, ça serait super que chacun donne un lien vers une fiche explicative détaillée, des pistes pour se former, etc...Donc comment on ferait ça ? Une option serait de poster des fiches sur https://jouer-collectif.com/ ou sur https://www.metacartes.cc/
Partage libre et sincère
Cet outil est ouvert, les données sont libres (CC-by-SA) et même la modération est contributive : Dès que 4 personnes ont validé un nouveau compte, il est accepté.
Plusieurs personnes de divers collectifs sont administratrices, il ne s'agit donc pas d'une carte Solucracy mais d'une carte commune.
Rêvons un peu
Imaginons un peu qu'une action d'envergure se lance en France. Qu'un besoin soudain pour travailler collectivement se fasse sentir et qu'on aie besoin de gens pour les animer, faire découvrir ces outils magnifiques qui permettent de construire ensemble dans la convivialité. Grâce à cette carte, chaque collectif local pourra trouver une personne ressource pour les accompagner dans cette aventure.
Il est important que les citoyens aient la possibilité de vivre une expérience collective inspirante et positive. Et les personnes recensées sur cette carte se sont donnée cette mission.
- Imaginer des solutions collectivement
Retour d'expériences sur cet outil
Carto acteurs locaux à Combloux
Catalogue d'outils de communication
Le lien vers le catalogue : CATALOGUE DES OUTILS DE COMMUNICATION
- Se connecter au territoire
Retour d'expériences sur cet outil
Chaque personne contribue au pot commun comme il le souhaite jusqu'à fin avril. Les 10% ne sont pas imposés aux projets déjà en cours.
Charlène MARIN

Aprés un parcours d'ingénieure-urbaniste, dans la gestion de projets opérationnels en maîtrise d'ouvrage publique (aménagements, réhabilitations tout ça...), j'ai eu le besoin et l'envie de me recentrer sur des enjeux de coopération, d'intelligence collective et de transition écologique et démocratique. En gros : comment faire autrement que ce que j'avais observé et fait jusqu'ici, et qui ne fonctionnait pas vraiment :p ?
Je me retrouve à Solucracy suite à une belle rencontre avec Judith fin 2020 <3
Je sais où sont mes valeurs, et aussi mes limites d’énergie, de motivation. J'ai besoin que les choses soient claires, transparentes, et aussi qu'elles se passent de façon souple et naturelle, sans se forcer.
Charlène synthétise les productions du Chaos Fertile et organise un temps collectif pour relancer la démarche.
Charlotte Danna

Par la suite, j’ai travaillé en cabinet d’urbanisme puis en Chambre d’agriculture. Cela m’a permis d’avoir une vision pragmatique de l’urbanisme et du jeu d’acteurs existant (Etat, collectivités territoriales, syndicats, associations environnementales…). Dans cette dernière mission, j’étais, en effet, chargée de préparer les avis de la chambre consulaire pour les commissions départementales (CDPENAF, CDNPS , CDAC…) et les consultations en tant que personne publique associée auxquelles j’assistais. Les enquêtes de terrain en amont éclairent d’ailleurs souvent les problématiques sous-jacentes.
En parallèle, j‘ai toujours travaillé dans l’événementiel (organisation et promotion de concerts dans les zéniths et grands lieux de plein air en PACA), qui croise notamment les aspects artistiques, organisationnels, touristiques et financiers.
J’ai donc naturellement un penchant pour l’attractivité territoriale, qui se décline sous de multiples formes ! J’aime l’associer, l’articuler, avec les problématiques urbanistiques, environnementales, agricoles, démocratiques…
Géographiquement j’ai longtemps habité en commune rurale et vis actuellement à Antibes Juan les pins (dans le 06), en milieu urbain mais très bien pensé ! Je me plais à naviguer entre ces deux dimensions urbain/rural !
J’ai besoin d’avancer, que les choses, projets aboutissent, d’échanges sincères et constructifs
Avancer sur un projet ensemble , à plusieurs c’est plus de dynamisme, de recherche de solutions efficaces, efficientes
Première fois que je suis dans un collectif, habituellement je suis seule et j'ai envie de vivre le travail collectivement. J’ai autour de moi des collectifs et je vois des dynamiques positives qui en sortent. Des blocages internes (à soi) peuvent faire perdre du temps et le fait d’être à plusieurs te permet de démêler plus facilement certains nœuds et de voir sous divers angles, ce qui est enrichissant. Je me suis aperçue en m’ouvrant à d’autres disciplines, design thinking par ex (pas mon schéma initialement plus écrit), que d'autres pensent vraiment autrement et ça peut apporter une réelle valeur ajoutée.
D’avoir des expériences à valoriser et des REX
Charte - Dijon Maladière 2022 - Yannick & Charlène
On aurait pas du associer les rôles à des budgets, ça a créé des incompréhensions. Le processus de définition des rôles/tâches est à revoir. On n'a pas eu une conversation qui aurait été nécessaire liée à la répartition de l'argent, c'est resté flou trop longtemps et a créé des tensions.
Je me souviens pas qu'on aie une vraie validation finale du document.
Définir clairement le mode de répartition du budget : diviser par le nb de gens, attribuer des lignes de budget dédiés, etc... Ne pas se baser uniquement sur la proposition initiale faite au commanditaire, qui ne reflète pas la réalité.
Nous avons identifié les pistes d'amélioration possibles :
○ Partir de qui a envie de faire quoi + répartition des rôles/postures en s’interrogeant sur nos besoins et l’équilibre collectif/individu.
○ Rendre visible nos modes de fonctionnement respectifs et le cadre relationnel nécessaire (= “Nos modes d’emploi et le cadre de sécurité” )
○ Rendre visible les coopérations passées et les éventuelles tensions/mécanismes existants au sein de l’équipe.
○ Poser le qui décide comment, et notamment clarifier le rôle de coordinateur / interlocuteur avec le commanditaire : Pour plus de clarté avec matrice RACI par exemple pour déterminer ce qui peut être arbitré par qui selon les niveaux d'enjeux.
○ Identifier nos canaux et moyens de communications
○ Identifier différents espaces de réunions : vision/stratégie ; opérationnel ;débrief/réflexivité ; régulation
○ S'assurer que la répartition budgétaire est bien claire au sein de l’équipe.
Charte - ferney - Yannick
Charte de coopération sereine

Offrir un modèle simple et prémâché à déployer pour porter son attention sur les points à définir dans une nouvelle coopération
- Accompagner les solutions
- Ouverture
- Envoyer un questionnaire aux acteurs(peuvent le remplir sur interview en binomes)
- Constitution du document grâce aux réponses
- Atelier ensemble pour bonifier et finaliser le document
Retour d'expériences sur cet outil
Charte - Dijon Maladière 2022 - Yannick & Charlène
On aurait pas du associer les rôles à des budgets, ça a créé des incompréhensions. Le processus de définition des rôles/tâches est à revoir. On n'a pas eu une conversation qui aurait été nécessaire liée à la répartition de l'argent, c'est resté flou trop longtemps et a créé des tensions.
Je me souviens pas qu'on aie une vraie validation finale du document.
Définir clairement le mode de répartition du budget : diviser par le nb de gens, attribuer des lignes de budget dédiés, etc... Ne pas se baser uniquement sur la proposition initiale faite au commanditaire, qui ne reflète pas la réalité.
Nous avons identifié les pistes d'amélioration possibles :
○ Partir de qui a envie de faire quoi + répartition des rôles/postures en s’interrogeant sur nos besoins et l’équilibre collectif/individu.
○ Rendre visible nos modes de fonctionnement respectifs et le cadre relationnel nécessaire (= “Nos modes d’emploi et le cadre de sécurité” )
○ Rendre visible les coopérations passées et les éventuelles tensions/mécanismes existants au sein de l’équipe.
○ Poser le qui décide comment, et notamment clarifier le rôle de coordinateur / interlocuteur avec le commanditaire : Pour plus de clarté avec matrice RACI par exemple pour déterminer ce qui peut être arbitré par qui selon les niveaux d'enjeux.
○ Identifier nos canaux et moyens de communications
○ Identifier différents espaces de réunions : vision/stratégie ; opérationnel ;débrief/réflexivité ; régulation
○ S'assurer que la répartition budgétaire est bien claire au sein de l’équipe.
Charte - ferney - Yannick
Charte de coopération sereine Solucracy x Bardane à Sauviat
Cela n'a pas été facile d'amener cela parce que je sentais que les personnes de prime abord, ne connaissant pas l'outil, ne voyait pas complètement l'intérêt de le faire. Une fois raconté, elles se sont plongées dans les différentes rubriques et m'ont remercié d'avoir amené ça (surtout sur la partie Prise de soin qui a été bcp apprécié).
Souhaitant être efficace par manque de temps et le cahier des charges du projet étant déjà très clair, j'ai pris les parties qui m'intéressaient et fait un document simple. Avant la réunion, les autres personnes n'avaient pas le temps en amont de remplir leur partie, je leur ai envoyé le document, elles l'avaient lu. Je suis revenue sur les parties qui me paraissaient importantes à décider ensemble et les parties où avoir des compléments de leur approche.
Temps passé : 1h30
- 1h de rédaction
- 30min de réunion
- 30 min de synthèse
- Rôles et engagements : si nous n'avions pas fait ça, des tensions auraient émergées par la non-clarté des redevabilités de chacune
- Budget : idem, ça a permis d'avoir un espace pour poser les règles de rétribution entre chaque accompagnatrice, on aurait sans doute traité le sujet après mais en faisant suite à des tensions... ici, c'était une belle anticipation
- Prise de soin et transmission : a vraiment permis de comprendre les besoins de chacune, hyper puissant car important pour les 4 personnes du projet
- Les parties Principes de fct + gestion des conflits n'a pas été complété après coup par les autres personnes
- Envie de faire évoluer le document dans le temps, notamment sur la partie "prise de soin"
- Création d'un fichier excel budget pour lire la complexité (pas possible sur le doc en tant que tel)
Convention du collectif GLOCAL LOW-TECH IDF, du PHARES et de HALAGE
Une personne a été nommée cheffe de projet, elle a proposé lors d'une première réunion d'utiliser ce format pour poser un cadre sécurisant pour le développement du projet. Afin de rendre flexible et adaptable le format, elle a proposé plusieurs scénarios :
1. Je rédige en amont une base puis vous complétez vos parties et bonifiez les parties rédigées
2. Nous rédigeons chacun la convention et on croise nos exemplaires pour en faire une commune
3. Nous rédigeons en direct lors d'une réunion les éléments de la convention
Limités par la disponibilité des acteurs, nous avons choisi l'option 1.
Le modèle de la charte de coopération sereine a été mixé avec la convention de réciprocité de la Myne.
Ce qui a été fait :
> Un gros travail initial de rédaction de 2h
> La rédaction des parties par les autres contributeurs
> Un travail de traitement des commentaires et de validation des contenus en amont de la réunion
> Une réunion de 3h a été organisée pour traiter les questions et évoquer les sujets essentiels à discuter ensemble (dans notre cas : la documentation en CC, l'organisation projet, gestion des conflits...)
> Un travail de finalisation des contenus et de signature de la version finale de 2h
Temps passé : 8h
> 4h de rédaction
> 1h de coordination (appels avec partenaires pour relancer et aider)
> 3h de réunion
- La rédaction initiale par une personne pour faciliter le travail
- Le travail collaboratif sur la plateforme HedgeDoc : pratique, lisible et esthétique
- L'ajout de certaines parties : engagements et attendus de chaque structure, calendrier de la coopération, les projets en commun et les pistes d'ouverture, modes de fonctionnement du projet (instances, prise de soin et transmission, principes de fct, gestion des conflits, points de vigilance- Le )
- Le fait d'avoir posés nos engagements à la base a amené bcp de clarté sur nos rôles
- Le fait de prendre le temps de discuter des éléments essentiels pour renforcer la compréhension (par ex : expliquer pq j'ai écrit la partie sur la gestion de conflits et expliciter son importance)
C'est vraiment un super moyen de rentrer dans le projet, de penser l'organisation interne et de faire le planning. Ca permet d'éviter les zones de flou.
- Les parties mesure d'impact et cadre de communauté contributive n'ont pas fonctionné
- La partie "modalités financières" n'était pas suffisamment précise, ce qui a amené des incompréhensions et des tensions pendant le projet
- Les nouvelles parties de la convention de réciprocité
- Le déroulé de la session de travail initial (proposition de scénarios)
Charte de coopération sereine Solucracy x Bardane à Sauviat
Cela n'a pas été facile d'amener cela parce que je sentais que les personnes de prime abord, ne connaissant pas l'outil, ne voyait pas complètement l'intérêt de le faire. Une fois raconté, elles se sont plongées dans les différentes rubriques et m'ont remercié d'avoir amené ça (surtout sur la partie Prise de soin qui a été bcp apprécié).
Souhaitant être efficace par manque de temps et le cahier des charges du projet étant déjà très clair, j'ai pris les parties qui m'intéressaient et fait un document simple. Avant la réunion, les autres personnes n'avaient pas le temps en amont de remplir leur partie, je leur ai envoyé le document, elles l'avaient lu. Je suis revenue sur les parties qui me paraissaient importantes à décider ensemble et les parties où avoir des compléments de leur approche.
Temps passé : 1h30
- 1h de rédaction
- 30min de réunion
- 30 min de synthèse
- Rôles et engagements : si nous n'avions pas fait ça, des tensions auraient émergées par la non-clarté des redevabilités de chacune
- Budget : idem, ça a permis d'avoir un espace pour poser les règles de rétribution entre chaque accompagnatrice, on aurait sans doute traité le sujet après mais en faisant suite à des tensions... ici, c'était une belle anticipation
- Prise de soin et transmission : a vraiment permis de comprendre les besoins de chacune, hyper puissant car important pour les 4 personnes du projet
- Les parties Principes de fct + gestion des conflits n'a pas été complété après coup par les autres personnes
- Envie de faire évoluer le document dans le temps, notamment sur la partie "prise de soin"
- Création d'un fichier excel budget pour lire la complexité (pas possible sur le doc en tant que tel)
Christine Sausse
D'abord Paris puis je suis partie à l’étranger pour travailler dans les ressources humaines.
En GB, j’ai rencontre mon mari. Je suis partie en Inde, ma plus belle mission, travailler en IC avec une structure basée sur les castes pour développer les fiches de postes, responsabilités.
Je suis rentrée en France, pour aller en Suisse, un grand écart mais intéressant.
Ça m’a permis de travailler mon adaptabilité, mon accueil de l'autre, cette ouverture avec des modes de fonctionnement très différents. Ça m’a passionne de comprendre comment comprendre l’humain.
Je suis rentrée en France pour rejoindre mon mari, pour fonder ma famille, mon ancre.
Je me suis passionnée à cette époque pour le développement - accompagner la personne pour qu'elle s'autonomise et qu'elle prenne sa place.
Quand j’ai quitté mon entreprise je suis devenue coach, je n’ai pas trouvé un endroit où j'étais bien comme coach individuel. Je suis aujourd'hui dans l'accompagnement des collectifs, écosystèmes dans leur transition : la manière dont psychologiquement on accueille ces transformations ; on passe par un temps de deuil, le U de la théorie U avec un travail par le corps. J'adopte une casquette interventionniste (coaching)ou non interventionniste (facilitation).
J’adore les pratiques narratives, la théorie U, la prospective au service de la transition écologique et sociétale.
> la parité
> l’humilité : le pouvoir pour, être au service de au bon niveau, faire les choses pas pour soi mais dans la justesse de l’autre ; on ne peut faire avancer les collectifs que si on a cette intention d'être dans l’humilité et je le ressens chez Solucracy et c’est extrêmement important pour moi.
> la coopération : travailler dans l’humilité en collectif de soutien à des collectifs pour aider chaque personne à prendre sa juste place. Si on est dans le co apprentissage, on va inspirer le collectif, les autres à prendre leur place. J’ai envie de vivre et de créer cela.
Dans ce que je fais : je fais des cercles de parole et d’écoute dans un contexte carcéral parfois (instant présent). Important pour moi à vivre et à faire vivre.
> la justesse : laisser pousser, travailler avec des intentions et pas des objectifs, accueillir ce qui est présent, se donner la permission d’etre en bas du U, accueillir ce qui emerge en tant que facilitateur.rice, verbaliser la vulnérabilité, accueillir le vivant, verbaliser ce qui n’est pas visible, c’est Alice au Pays des merveilles avant qu’elle ne saute dans le trou du lapin. Si on est juste, on est dans la compassion, l apprentissage, dans l’humilité.
> l’apprentissage
J’ai besoin de sentir que je ne suis pas jugée, que c’est ok pour moi d’exprimer mes ressentis, mes besoins et de faire des demandes afférentes à ces besoins. J’ai aussi besoin que cela soit réciproque.
Circé, Charlène, Hélène et Yannick ok pour organiser les prochaines soludays, un peu tôt pour se lancer dans l’orga, Yannick va lancer un sondage sur le lieu et la date pour réserver ça le plus tôt
Circé Debrix

Coeur : 3ème lundi du mois à partir du 18 Mars 2024 et remplace la plantation une fois par mois
Condenser l'expérience

Enquête qui se propage toute seule
Faire vivre un entretien appréciatif et valoriser l'expérience des personnes interrogées
- Se connecter au territoire
Retour d'expériences sur cet outil
Des transmissions d'expérience réussies
J'ai ajouté une question sur "dans quel état d'esprit étiez-vous" qui a donné des résultats intéressants, pareil pour une question sur la posture pour les interlocuteurs

Quelques histoires racontées ont tapé un peu à côté par rapport au sujet
Manuel de coopération en milieu hostile
Conditions d’utilisation de la marque Solucracy :Pour répondre à des opportunités et des marchés publics : ne pas identifier Solucracy comme un groupement mais comme une marque d’outils libres communs.Utilisation des outils en respectant les valeurs de Solucracy.Si volonté de contribution € à Solucracy : possibilités de dons en participation libre et consciente au regard de ce que l’association nous apporte et de notre implication dans celle-ci, dans le respect de nos moyens.Le montant des dons individuels n’a pas besoin d’être transparent au reste du groupe. Complément en AG 2023 : > Proposition d’anonymiser les entrées (Adhésions ; dons projets ; dons libres)
Contribution Solucracy possible pour les personnes en CAE en faisant un don via notes de frais.
Convention du collectif GLOCAL LOW-TECH IDF, du PHARES et de HALAGE
Une personne a été nommée cheffe de projet, elle a proposé lors d'une première réunion d'utiliser ce format pour poser un cadre sécurisant pour le développement du projet. Afin de rendre flexible et adaptable le format, elle a proposé plusieurs scénarios :
1. Je rédige en amont une base puis vous complétez vos parties et bonifiez les parties rédigées
2. Nous rédigeons chacun la convention et on croise nos exemplaires pour en faire une commune
3. Nous rédigeons en direct lors d'une réunion les éléments de la convention
Limités par la disponibilité des acteurs, nous avons choisi l'option 1.
Le modèle de la charte de coopération sereine a été mixé avec la convention de réciprocité de la Myne.
Ce qui a été fait :
> Un gros travail initial de rédaction de 2h
> La rédaction des parties par les autres contributeurs
> Un travail de traitement des commentaires et de validation des contenus en amont de la réunion
> Une réunion de 3h a été organisée pour traiter les questions et évoquer les sujets essentiels à discuter ensemble (dans notre cas : la documentation en CC, l'organisation projet, gestion des conflits...)
> Un travail de finalisation des contenus et de signature de la version finale de 2h
Temps passé : 8h
> 4h de rédaction
> 1h de coordination (appels avec partenaires pour relancer et aider)
> 3h de réunion
- La rédaction initiale par une personne pour faciliter le travail
- Le travail collaboratif sur la plateforme HedgeDoc : pratique, lisible et esthétique
- L'ajout de certaines parties : engagements et attendus de chaque structure, calendrier de la coopération, les projets en commun et les pistes d'ouverture, modes de fonctionnement du projet (instances, prise de soin et transmission, principes de fct, gestion des conflits, points de vigilance- Le )
- Le fait d'avoir posés nos engagements à la base a amené bcp de clarté sur nos rôles
- Le fait de prendre le temps de discuter des éléments essentiels pour renforcer la compréhension (par ex : expliquer pq j'ai écrit la partie sur la gestion de conflits et expliciter son importance)
C'est vraiment un super moyen de rentrer dans le projet, de penser l'organisation interne et de faire le planning. Ca permet d'éviter les zones de flou.
- Les parties mesure d'impact et cadre de communauté contributive n'ont pas fonctionné
- La partie "modalités financières" n'était pas suffisamment précise, ce qui a amené des incompréhensions et des tensions pendant le projet
- Les nouvelles parties de la convention de réciprocité
- Le déroulé de la session de travail initial (proposition de scénarios)
Coopération et collectivité
Dans un projet avec une grosse collectivité que je ne nommerais pas, on s'est retrouvés bousculés par un calendrier très tendu, des procédures rigides et une équipe commanditaire qui passait tout de suite à l'opérationnel sans prendre le temps de se coordonner. Du coup, tout ce qu'on proposait était mis en situation d'échec, morcelés en petits bouts qui ne voulaient plus rien dire plutôt qu'en un ensemble cohérent. Ca a généré de vraies tensions au sein de l'équipe. De mon côté, je poussais plutôt l'approche : on leur rentre dedans, tandis que d'autres argumentaient le : il faut prendre soin des gens avec qui on travaille, ils ont aussi une réalité. C'est comme si le conflit externe s'était invité à l'intérieur de notre groupe, pourtant bien soudé et habitué à travailler ensemble.
Le fait d'échanger entre nous et de clarifier nos positions et nos envies a permis d'arriver à une sorte de compromis : on a sollicité une réunion de coordination avec toute l'équipe, on a préparé en amont nos Zones à Défendre : chaque personne a dit ce qui était important pour elle de faire passer comme message, en se disant : quand une personne l'amène, on la soutient jusqu'à ce qu'on aie l'impression que le message aie été compris.
On s'est aussi demandé quelles étaient leurs motivations et contraintes pour agir comme ça, ce qui a permis de créer de l'empathie et de s'assurer qu'on ne les mettait pas en réactance par rapport à ce qu'on a amené. A la fin de la réunion, nos messages étaient passés, et on a pu planifier des réunions de coordination sur le reste du projet. L'équipe commanditaire a finalement très bien reçu tout ce qu'on a dit et a clarifié les contraintes qu'ils avaient, ce qui nous a permis de les soutenir pour faire face à ces contraintes.
Trouver le temps de faire tout ça.
L'équipe commanditaire qui a accepté la réunion, et a su écouter.
Le fait qu'on était prêts à abandonner le projet s'il perdait son sens
- Un safe word : On va tenir une certaine posture, si à un moment ou à un autre, on est en train de vous écraser contre votre propre système, dites ce mot et on lâchera notre posture pour vous soutenir face à cet obstacle
- Un temps après pour s'assurer que personne n'a été blessé dans l'histoire
- Une sorte de plateau de jeu pour poser tous les points de vue et les manipuler jusqu'à ce que tout le monde trouve la posture collective satisfaisante.
Courte Echelle
Créateur de déroulés
Un support pour co-construire des ateliers
Retour d'expériences sur cet outil
Crieur de rue
- Je ne sais pas lire/écrire
- Je suis non voyant
- Je ne suis pas inscrit sur les listes électorales
- Je suis à l’école primaire
- Je suis au collège
- Je suis au lycée
- Je n’utilise pas d’outils numériques
- Je ne lis jamais mon courrier
- Je suis uniquement usager du territoire
- Mon ou ma conjointe gère tout pour moi
- Je suis commerçant
- Je ne sors jamais de chez moi
- Je suis sous tutelle
- Je ne fais pas confiance à l’administration
- Je suis sans papiers
- Je ne me suis pas préalablement inscrit au service

Retour d'expériences sur cet outil
Damparis
La dépose pendant la journée en résidence, on aurait pu morceler mais on a tout fait d'un coup
Le faire avec les élus et les coacher sur la posture d'écoute par la même occasion
Une petite question "vous aimez vivre à Damparis: un peu, beaucoup, à la folie, pas du tout"
Le vent et la pluie sont les enemis de l'accroche porte
On en a mis beaucoup sur les boites aux lettres plutôt que sur les poignées de porte
Commencer les questions sur les accroches porte par du négatif (cesser)
Damparis - Démocratie Locale Ouverte
Le Territoire
Le Cadre du projet
Description du projet
La commune de Damparis bénéficie du programme Territoires d'Engagement de l'ANCT, et souhaite développer une démocratie locale ouverte (DLO).
Trois ingrédients sont identifiés pour favoriser la DLO :
> Faire un bilan mi-mandat et se projeter sur la suite du programme politique (accompagnement par Auxillia)
> Outiller les élu.es et agent.es de la mairie (accompagnement par Les Orageuses)
> Favoriser l'aller-vers les habitant.es (accompagnement par Solucracy)
Solucracy accompagne donc la commune pour favoriser la participation citoyenne et la coconstrution de projets avec les habitant.es, sur la thématique Cadre de vie et Environnement., avec
Nourrir le dialogue avec les citoyen.nes, pour qu’ils s’autorisent sur le long terme à participer au développement local, tout en augmentant le niveau d’interconnaissance et de convivialité au sein de la commune.
NOTRE APPROCHE
À travers nos actions, nous visons à faire naître des dynamiques de collaboration positives de manière “douce”, en déployant une méthode et des outils simples, inclusifs et efficaces.
NOTRE OBJECTIF
Nous mettons au centre les besoins des habitants/acteurs du territoire pour qu’ils s’en emparent et qu’ils y répondent eux-mêmes. C’est un moyen de redonner du pouvoir d’agir aux personnes pour qu’elles se réapproprient leur quartier et leur quotidien.
NOS VALEURS
Nous pensons que chaque habitant et chaque acteur du territoire peuvent apporter sa contribution et est responsable de l’amélioration de la qualité de vie et du bien vivre ensemble dans sa ville. Nous pensons qu’un travail collectif, entre élus, agents, acteurs locaux, associations et habitants est possible.
NOTRE ACCOMPAGNEMENT A DAMPARIS :
Notre intervention est menée à travers une méthode en 4 principes, favorisant la participation et l'émergence de solutions coconstruites au service du cadre de vie à Damparis.
Chacun des 4 principes s'appuie sur des intentions, des postures et des outils spécifiques, que nous proposons de développer et transmettre sur la commune avec et par les acteurs du territoire : habitant.e.s, élu.e.s, services municipaux.
- Se connecter au territoire, accompagnés par une équipe locale
- Faire émerger les besoins et les envies
- Imaginer des solutions et projets collectivement
- Impulser le lancement des projets
- Composter et capitaliser l'expérience
Notre mission s'articule autour de
- Un atelier vision et définition de la démarche DLO sur le cadre de vie et environnement
- Un atelier sur la communication
- Une résidence territoriale de 14 jours
- Un atelier "de la récolte aux solutions"
- Un atelier "des solutions projets au plan d'action"
- Un atelier "lancement de projets"
- Bilan de l'accompagnement par systématisation d'expérience et documentation
Retour d'expérience
- Durant la résidence, nous avons mis en place une page YesWiki dédiée aux actualités et activités de la résidence, pour la partager aux élu.es et agent.es de la mairie et faciliter leur implication. La newsletter de la résidence à Damparis !
- La démarche DLO à Damparis étant dense, avec plusieurs accompagnements au changement en parrallèle, et une charge de travail importante pour les équipes municipales, nous avons vraiment cherché à nous mettre en posture de soutien et à prendre soin des personnes impliquées. Nous avons par exemple mis en place de temps de "Et toi comment tu te sens ?" à destination des élu.es et des agent.es durant la résidence.
Page Infos pour les élu·es YesWiki - NewsletterDamparis
Données brutes porte à porte . ods (95.4kB) Et si vous aviez une baguette magique, Damparis ressemblerait à quoi ?
Document de restitution de la résidence (3.7MB)
Date des soludays fixée au 22 Aout, Yannick va envoyer un mail pour que les membres confirment
Date pour l’AG : 18h-20h le 10/11 1 date de réunion collective en amont : proposition en plantation le 3/10 ou le 10/10, ouverture de date le mercredi 12/10 après-midi pour session de rattrapage -> Yannick revient à la prochaine réunion coeur pour nous proposer une V2 des questions
Décision de basculer 2500€ du compte courant vers le livret bleu
Décision prise de ne pas travailler avec ESS Expertise (suite à proposition de Finacoop de nous réorienter vers eux)
Décisions de rester sur les dates définies, et de repasser l’information par mail (Charlène) + rappel au début du mois à faire sur télégram
DÉFI 1 = QUI SUIS-JE DANS UN GROUPE ?
DÉFI 1 = QUI SUIS-JE DANS UN GROUPE ?
- De quoi j'ai besoin pour me sentir bien dans un groupe ?
- Qu'est-ce que je prends plaisir à amener dans un groupe ?
- Comment je réagis quand je suis sur la défensive ?
DÉFI 1 = QUI SUIS-JE DANS UN GROUPE ?
- De quoi j'ai besoin pour me sentir bien dans un groupe ?
- Qu'est-ce que je prends plaisir à amener dans un groupe ?
- Comment je réagis quand je suis sur la défensive ?
Intention :Développer la conscience de soi pour améliorer l'efficacité et la cohésion du groupe.
La posture que l'on adopte au sein d'un groupe joue un rôle déterminant dans la dynamique collective. En fonction des contextes, et de la composition du groupe, on va parfois être ouvert aux propositions, parfois sur la défensive, avoir envie de mener ou de suivre, de tempérer ou de dynamiser. Il est important de trouver l'endroit où l'on est le plus confortable pour contribuer, et d'être clair sur nos besoins et ce qui nous motive. "Si vous laissez penser au groupe que vous adorez vous promener avec un sac de 100 kilos sur le dos, le groupe s'empressera de remplir votre sac"
Attitude défensive et manières d'y répondre (traduction automatique)
La facilitation en intelligence collective en quelques postures...
DÉFI 2 = HISTOIRE DE L'ERREUR

DÉFI 2 = HISTOIRE DE L'ERREUR
Questions à se poser :
Comment réagissez-vous lorsque vous remarquez que vous vous êtes trompé.e ? Admettez-vous facilement vos erreurs ?
Pourquoi ?
DÉFI 2 = HISTOIRE DE L'ERREUR
Questions à se poser :
Comment réagissez-vous lorsque vous remarquez que vous vous êtes trompé.e ? Admettez-vous facilement vos erreurs ?
Pourquoi ?
Intention : Encourager une culture de l'innovation et de l'amélioration continue, où les erreurs sont vues comme des étapes nécessaires.
L'erreur est une part naturelle du processus d'apprentissage. En adoptant cette vision, on se libère de la peur de l'échec, ce qui encourage la prise de risques et l'innovation. Dans un environnement où les erreurs sont acceptées et discutées sans jugement, les individus se sentent en sécurité pour partager leurs erreurs et les leçons apprises, ce qui enrichit l'expérience collective. Un rapport à l'erreur sain facilite le déploiement de processus d'amélioration continue. "Je ne perds jamais. Soit je gagne. Soit j'apprends" Nelson Mandela
DÉFI 3 = COMMENT ON ORGANISE L'INFORMATION

DÉFI 3 = COMMENT ON ORGANISE L'INFORMATION
Répondez aux questions clés : Quels outils pour communiquer ensemble ? Comment s'assurer qu'on aie toutes les infos ? Ou sont rangés nos documents ? Qui prend les notes ?
DÉFI 3 = COMMENT ON ORGANISE L'INFORMATION
Répondez aux questions clés : Quels outils pour communiquer ensemble ? Comment s'assurer qu'on aie toutes les infos ? Ou sont rangés nos documents ? Qui prend les notes ?
Structurer et organiser des informations importantes de manière claire et cohérente.
Proposer des solutions pratiques pour améliorer la gestion de l'information et la communication.
Intention du Défi :
Encourager une approche méthodique et réfléchie pour traiter et partager des informations essentielles.
Promouvoir l'engagement et la réflexion individuelle sur des questions clés pour une coopération efficace.Faciliter la prise de décision en s'assurant que tout le monde dispose des mêmes informations
Imaginez que l’information est comme un jeu de Lego. Si vous avez les bonnes pièces et que vous les assemblez correctement, vous pouvez construire n’importe quoi. Organiser l’information, c’est un peu comme jouer avec ces briques pour créer des structures solides et compréhensibles. "Avec un bon plan, même un meuble IKEA ne résiste pas à votre talent d’assembleur !"
Pour éviter les malentendus et faciliter la coopération, il est important que tous les membres du groupe aient des informations à jour. N'hésitez pas à prendre des notes et partager les comptes rendus de réunion. Un groupe de discussion comme Whatsapp ou Telegram permet que tout le monde soit au courant des échanges importants. Un endroit clair et connu de tout le monde pour partager les documents importants permet de s'y retrouver en cas de doute sur une décision ou autre. N'oubliez pas d'accueillir chaque nouvelle personne et de leur expliquer votre fonctionnement pour qu'elles ne soient pas perdues.
Article sur la communication professionnelle
DÉFI 4 = PRENDRE SOIN DE SOI
Intention : Créer un environnement de travail sain et équilibré, où chacun se sent respecté et soutenu.
Prendre soin de soi et des autres, c’est comme être un jardinier attentionné. Si vous arrosez vos plantes (et vous-même !) correctement, vous verrez un beau jardin fleurir. "Rappelez-vous : même les super-héros prennent des jours de congé pour recharger leurs super-pouvoirs."
Le groupe vit grâce à l'énergie de chacun de ses membres. Il arrive parfois qu'on se passionne sur un sujet, qu'on s'épuise à le déployer qui ne fonctionne pas. C'est à chaque personne de prendre soin d'elle-même, de donner ce qu'elle peut, veut et ainsi de poser un cadre et ses limites. Veillez à ce que votre engagement soit durable, vous êtes seul.e à connaitre vos besoins et limites.
DÉFI 5 = PRENDRE SOIN DE L'AUTRE

DÉFI 5 = PRENDRE SOIN DE L'AUTRE
Et/ou Appeler une personne pour lui dire qu'elle vous inspire
En partageant ça vous vous faites du bien et vous rendez heureuse la personne qui vous inspire ! Reste à oser ;-)
Questions à se poser :
Demander à l'autre de quoi elle / il a besoin ? Comment prendre soin des autres de manière juste ?
DÉFI 5 = PRENDRE SOIN DE L'AUTRE
Et/ou Appeler une personne pour lui dire qu'elle vous inspire
En partageant ça vous vous faites du bien et vous rendez heureuse la personne qui vous inspire ! Reste à oser ;-)
Questions à se poser :
Demander à l'autre de quoi elle / il a besoin ? Comment prendre soin des autres de manière juste ?
Intention : Créer un environnement de travail sain et équilibré, où chacun se sent respecté et soutenu.
Prendre soin de l'autre est un art subtil. Comment soutenir sans étouffer ? Comment protéger tout en laissant la place de grandir ? A force de tâtonnements et d'essais, on finit par trouver l'espace entre l'autre et nous : la relation. N'oubliez pas que vous n'êtes pas seul à la construire. Pour trouver les actions justes pour l'autre, il n'existe aucun autre moyen que de demander.
Conférence : Yann Le Bossé - développement du pouvoir d'agir
DÉFI 6 = PRENDRE SOIN DU GROUPE
Intention : Créer un environnement de travail sain et équilibré, où chacun se sent respecté et soutenu.
Parfois, portés par l'enthousiasme, on va se lancer dans de multiples projets en même temps, se disperser et utiliser notre énergie sans obtenir de résultats. Sachez tirer la sonnette d'alarme, signaler lorsque quelque chose ne semble pas juste. Parfois de petites attentions permettent de remonter en énergie, amener les croissants de temps en temps, laisser tomber la réunion cadrée pour se faire juste un apéro, ou faire un tour de gratitude pour valoriser ce qui a été déjà accompli.
DÉFI 7 TRAVAILLER LA CAPACITÉ D'ÉCOUTE : DE SOI

DÉFI 7 TRAVAILLER LA CAPACITÉ D'ÉCOUTE : DE SOI
Questions à se poser : De quoi j'ai besoin là maintenant ? Comment je me sens ? Qu'est-ce que j'ai envie d'exprimer ? ce peut être par la parole, le corps, le silence, le dessin...
DÉFI 7 TRAVAILLER LA CAPACITÉ D'ÉCOUTE : DE SOI
Questions à se poser : De quoi j'ai besoin là maintenant ? Comment je me sens ? Qu'est-ce que j'ai envie d'exprimer ? ce peut être par la parole, le corps, le silence, le dessin...
Intention : Favoriser une communication plus profonde et plus efficace, et assurer que chaque voix soit entendue.
L’écoute active, c’est comme avoir des antennes de super-espion. Plus vous écoutez attentivement, mieux vous comprenez les besoins et les idées des autres. "Si vous écoutez bien, vous découvrirez que même les silences ont beaucoup à dire... ou qu'ils cachent juste une envie de café !" Au sens large (pas qu'avec les oreilles, aussi les autres sens)
C’est bien plus que tendre l’oreille. C’est utiliser tous vos sens pour vraiment comprendre ce qui est dit... et ce qui ne l’est pas. "C’est comme devenir un détective des conversations, en captant chaque indice, qu’il soit sonore, visuel ou dans vos ressentis"
S’écouter soi-même, c’est reconnaître ses propres pensées et émotions pour mieux interagir avec les autres. "C’est un peu comme ajuster sa propre fréquence radio pour éviter les interférences et mieux capter ce qui se passe autour."
Au sens large, voici d'autres idées de petits défis :
Écoute en pleine conscience : Pendant une conversation, concentrez-vous entièrement sur l’autre personne sans préparer votre réponse à l’avance.
Marche silencieuse : Faites une courte promenade en silence avec quelqu’un, en observant votre environnement et en partageant vos impressions à la fin.
DÉFI 8 TRAVAILLER LA CAPACITÉ D' ÉCOUTE DE L'AUTRE

DÉFI 8 TRAVAILLER LA CAPACITÉ D' ÉCOUTE DE L'AUTRE
Comptez dans une journée le nombre de fois où vous êtes en écoute / en préparation de ce que vous allez dire?
Questions à se poser :
Si je reformule ce que j'ai compris, est-ce que la personne valide ?
DÉFI 8 TRAVAILLER LA CAPACITÉ D' ÉCOUTE DE L'AUTRE
Comptez dans une journée le nombre de fois où vous êtes en écoute / en préparation de ce que vous allez dire?
Questions à se poser :
Si je reformule ce que j'ai compris, est-ce que la personne valide ?
Intention : Favoriser une communication plus profonde et plus efficace, et assurer que chaque voix soit entendue.
L’écoute de l’autre passe aussi par l’observation de son langage corporel. Les gestes, les expressions faciales, et même les silences parlent autant que les mots. "C’est comme apprendre une deuxième langue, où chaque sourire, froncement de sourcils ou mouvement compte."
Outil : L'écoute active
DÉFI 9 TRAVAILLER CAPACITÉ D'ÉCOUTE DU GROUPE
DÉFI 9 TRAVAILLER CAPACITÉ D'ÉCOUTE DU GROUPE
Discutez des observations :
Y a-t-il une tendance générale ? Quels sont les extrêmes ? Comment cela pourrait-il affecter la dynamique et la communication du groupe aujourd'hui ?
DÉFI 9 TRAVAILLER CAPACITÉ D'ÉCOUTE DU GROUPE
Discutez des observations :
Y a-t-il une tendance générale ? Quels sont les extrêmes ? Comment cela pourrait-il affecter la dynamique et la communication du groupe aujourd'hui ?
Intention : Favoriser une communication plus profonde et plus efficace, et assurer que chaque voix soit entendue.
- Écouter un groupe, c’est capter la dynamique collective et comprendre les interactions entre les membres.
- "Imaginez que vous êtes le chef d’orchestre : vous devez entendre chaque instrument pour créer une symphonie harmonieuse."
Démarrer
- Aller dans l'onglet "Ajouter une carte"
- sous la carte Démarrer, cliquer sur l'icone "dupliquer" pour cloner une carte avant de la modifier.
Des ateliers casse gueule
Au tout début de Donativo en 2016, ma première mission. Le but était de travailler une nouvelle réorganisation des services d'une collectivité. Mon client était le DGs. J'ai proposé un processus avec 7 ateliers de 1 journée qui s'appuyaient sur des thématiques transversales. Repenser le projet de réorganisation avec la transversalité comme donne commune pour qu'il y ait un partage d'expérience.
Un préalable était que les personnes soient volontaires pour venir : personne ne devait être contrainte d'y aller.
Au premier atelier, je me suis rendu compte que ça n'avait pas du tout été respecté.
Il y avait aussi une feuille d'émargement qui indiquait les catégories des personnes (A, B, C) pour préparer la bouffe du midi.
Et 3eme truc : le syndic s'était donné le mot pour venir à chaque atelier pour le flinguer.
Je ne savais pas que j'allais pas être instrumentalisé à ce moment là, le voeu du DGS était de mettre tout le monde dans le rang pour que tout le monde s'embarque dans son projet.
Les ateliers étaient parfois espacés d'une nuit. J'ai dû gérer ma fatigue émotionnelle, mais ma grande fierté est d'avoir réussi à me débrouiller pour que chaque atelier aille jusqu'au bout, malgré les personnes difficiles et un client très manipulateur.
J'ai appelé mon client pour lui demander de m'expliquer pourquoi le cadre n'avait pas été respecté. Il m'a dit qu'il avait passé le mot. J'ai appelé un directeur qui m'a dit : le DGS m'a dit qu'il devait y avoir du monde, faites comme vous voulez.
J'avais entre 25 et 40 personnes à chaque atelier, quand tu rentre le matin et que tu sens l'énergie de merde, les gens qui sont tous seuls dans un coin à regarder leur téléphone, c'est dur.
Mon premier réflexe a été de rassurer mon regard et ma posture sur les gens en bonne énergie. Quand j'animais, je cherchais leur regard. C'était inconscient au début et je l'ai conscientisé au 5ème atelier. Il y a des gens qui donnent de l'énergie et d'autres qui en prennent c'est sur.
Le 2ème reflexe : C'est de dire : je sais ce qui se passe, je ne suis pas naif ni candide, je veux que tout le monde puisse à tout moment venir me dire si c'est trop ou pas assez. En tant qu'animateur, ma posture est de protéger le groupe et que la journée se passe bien. C'est peut-être le moment de faire passer des messages ou pas, mais en tant que garant, je vous demande de ne pas emmerder le groupe. Et à tout moment si une personne qui s'est mise de côté veut revenir dans le groupe, il n'y a pas de problème.
Je me suis rendu compte que vu que les 3 précédents ateliers s'étaient bien passés, d'autres personnes sont venus, conseillés par leurs collègues.
Un souvenir marquant : la gestion des cas (personnes), 3 étaient syndiquées, visages hyper fermées, il n'y en a qu'un que je n'ai pas pu dérider sur les 175. Cette personne n'a pas dit un mot mais il n'a pas dérangé le groupe. Je suis venu le voir 2 fois dans la journée, et je lui ai dit : tu viens quand tu veux, dès que t'as envie et si t'as envie de partir, il n'y a pas de souci non plus.
Un autre exemple : une dame aussi très fermée, et au milieu de l'après midi, elle vient me voir et son visage avait changé, elle me dit "Patrice Merci, vous m'avez autorisé et vous m'avez accordé une place que je ne m'attendais pas à trouver, et je me suis investi dans des choses qui me convenaient en sentant l'énergie du groupe derrière". D'autres personnes m'ont dit : "Ce qu'on a fait là, on ne le fait pas assez"
Tant qu'on peut tenir le process c'est cool, s'il faut arrêter l'atelier parce que ça ne marche pas, il faut le faire.
C'est ce que je posais : si à un moment je sens qu'il faut l'arrêter, je me permettrais de le faire et ce sera aussi un rapport d'expérience pour mon client. Tous les ateliers sont allés au bout.
Je tire beaucoup de fierté dans ma gestion du groupe et des personnes. J'allais questionner sans être intrusif, en voyant leur colère en leur disant je suis là, je vous vois, je sais. Et ces personnes se sont senties autorisées, avec une place à prendre.
Pour toutes ces personnes forcées et contraintes, elles ont apprécié l'expérience, parfois ce n'est pas tant le processus. Ces agents étaient et sont toujours en souffrance et ont besoin de ces moments là pour se rencontrer et faire un truc ensemble.
J'ai réussi ce coup d'être à la fois concentré sur le groupe et sa progression et sur des personnes. Je prenais de l'énergie sur des personnes positives qui venaient me rassurer pour pouvoir donner à d'autres.
Attention à ne pas surjouer, sur représenter, insister sur des points qui m'échappaient : rester à ma place.
Je n'ai pas hésité à me dire : si ça plante, c'est pas grave. Ne t'accroches pas à la réussite de ton process si tu sens que ça ne prend pas.
Ne pas forcer les personnes à coopérer si elles n'en ont pas envie.
Avoir cette invitation peut-être naive : le contexte est celui là, vous êtes peut-être forcé de venir, soit vous profitez de cette journée pour en faire quelque chose, soit ce n'est pas tenable pour vous et on arrête. C'est l'argument qui a facilité les choses.
Ce qui m'a permis de tenir bon c'est de me dire que je pouvais lâcher.
- Que mon DGS ne soit pas le seul interlocuteur, que ce soit l'ensemble du CODIR pour mettre les conditions de réussite d'équerre et collecter leurs attentes
- Espacer plus les ateliers = 1 par semaine et pas 7 en 15 jours : prendre soin de moi
- La coopération ne se construit pas que sur un atelier, il s'est passé des choses, et je suis triste pour ceux qui n'ont pas eu de continuation derrière. Plutôt vendre un parcours.
Désormais les nouveaux membres devront être cooptés par un membre (plus d'adhésion automatique. Processus à affiner par le cercle).
Des transmissions d'expérience réussies
J'ai ajouté une question sur "dans quel état d'esprit étiez-vous" qui a donné des résultats intéressants, pareil pour une question sur la posture pour les interlocuteurs

Quelques histoires racontées ont tapé un peu à côté par rapport au sujet
Distribution de Flyers
Coûte cher en impression
Impossible de prévoir la population touchée
- Je suis malentendant
- J’habite dans une zone reculée
- Je suis sans domicile fixe
- Je ne suis pas inscrit sur les listes électorales
- Je suis à l’école primaire
- Je suis au collège
- Je suis au lycée
- Je n’utilise pas d’outils numériques
- Je ne lis jamais mon courrier
- Je suis de passage sur le territoire
- Je suis uniquement usager du territoire
- Mon ou ma conjointe gère tout pour moi
- Je suis commerçant
- Je ne fais pas confiance à l’administration
- Je suis sans papiers
- Je ne me suis pas préalablement inscrit au service

Retour d'expériences sur cet outil
DRIVE SOLU

Des modèles tout fait, des inspirations...
Ton accés est lié à ton adhésion.
CLIQUE ICI pour accéder au driveSi tu cherches un document précis : sers toi de la barre de recherche sur haut page.
Tu peux également consulté le document ci dessous correspondant au sommaire
Elu-e-s, opposition, et pacte pour la transition
- 2020 pendant les élections municipales. J’ai travaillé avec des personnes dans le pays de Gex pour pousser le pacte pour la transition. 32 mesures, des idées. En présence des listes qui se présentaient aux municipales. Le but : les engager sur des mesures pour engager la transition.
- Le pays de Gex c’est 28 communes. Donc faire un événement sur une après-midi pour sensibiliser à ces mesures, lancer des conversations pour savoir lesquelles ont le plus de sens à être déployées
- Invitation de personnes déjà élues, et d’autres qui se présentaient aux élections ; chaque camp présent : oppositions, citoyens, militants, différents bords. Les élus se « tenaient bien » car période électorale . Plein de sujets clivants aborder : parler aussi bien de l’énergie nucléaire, que de la mobilité, du cyclisme, de l’écologie…
- Vu que je suis facilitateur j’ai proposé un processus : faire des cercle samoan pour chaque thématique : 9 cercles. Chaque cercle étant nourri au début par des personnes ressources, des experts. Avec au milieu un cercle de 4 chaises de personnes qui discutent entre elles, et lançent les conversations. En laissant une chaise vide parmi les 4. Si une personne du deuxième cercle voulait participer à la conversation, elle venait s’installer sur la chaise vide, et une des 3 autres personnes devait partir pour toujours laisser une chaise vide. Il y a eu 3 cercles samoan en parallèle, puis à nouveau 3, puis à nouveau 3. Ces cercles étaient séparés par des affichages sur lesquels il y avait les mesures pour le pacte pour la transition. Comme ça les personnes présentes pouvaient mettre des post-its et des gommettes pour voter. C’était comme un espace d’exposition.
- Ça s’est pas mal passé. Personne n’a élevé la voix, les conversations ont été très sereines, même sur le nucléaire alors qu’il y avait des physicien, des pro et des anti nucléaire. Ils ont pu parler ensemble. C’était très satisfaisant.
- Ma boite à outil de facilitation : connaître les outils, aimer les assembler, les reconstruire. Construire quelque chose qui fait sens en fonction du projet ; connaître la magie sous-jacente des outils.
- Anticiper, arriver à me projeter dans ce qui peut se passer : voir le déroulé et ce qui peut se passer, les écueils, les obstacles, ce qui peut partir en vrille -> construire un événement comme un tout, comme un parcours en me demandant qu'est-ce que les personnes vont vivre, quel va être leur état d’esprit, ce qui va les faire basculer dans la frustration.
- Ecoute et force de proposition, j’ai proposé ce truc là et on a construit ensemble, avec le collectif : comment on positionne tout, comment on affiche, on a créé et conçu collectivement l’espace ensemble
- Lâcher prise rapidement sur les résultats : il y a très peu de choses qui sont importantes pour moi ; je ne me dis pas qu’il faut absolument que ça réussisse. Pour moi, c’est de l’expérimentation, le plus important est d’apprendre plus que d’obtenir un résultat. Le partageable, le réutilisable plus que la validité à un instant t ; « cette capacité à en avoir rien à foutre »
- Réseau et audace : oser contacter plein de gens pour intervenir, réseau d’amis, de connaissances, à force de trainer dans des associations, des collectifs. J’ai fait appel à une personne qui travaille pour la gestion de l’eau à Genève, une personne qui s’occupe de l’énergie basse température sur le pays de Gex, une personne qui s’y connaît en logiciels libres, des physiciens. C’était intéressant.
- Confiance. Petit groupe qui me fait confiance et on se fait confiance sur faciliter, un événement assez gros avec des enjeux politiques. On s’est pas posé de question. Enthousiasme collectif.
- Liens et moyens. Les colibris avait accès à une salle sur deux jours une fois par an. Ils nous ont donné accès à la salle des fêtes pour une journée sans rien dépenser.
- Le cadre qu’on a créé. Si on avait fait juste une réunion publique, ça serait parti en vrille, ça n’aurait pas été assez efficace. Une personne aurait pu être énervée, une autre mobiliser la parole. Le cadre créé avec des espaces différents, c’était impossible que quelqu’un prenne le pouvoir sur l’événement, rien qu’avec les paravents, c’était très soutenant. Que les gens puissent changer d’espace si ça leur convenait pas. Ca a été fluide. Que les personnes soient en mode élection, avec une injonction à bien se tenir ; ça a permis de ne pas retourner à la bonne violence des élections municipales
- Transmission. Le travail de toutes les personnes qui facilitent depuis des milliers d’années, pour qu’on n’ait pas besoin de réinventer la roue 25 000 fois.
- Qu’on ressorte avec des trucs plus concrets, que les gens s’engagent à travailler ensemble sur tel sujet en se disant « ça faut vraiment qu’on le fasse, et, qu’on soit élu ou pas, on le fait »
- Qu’on empêche les gens de sortir de la posture de coopération, qu’ils se disent « on a compris que la coopération c’était bien alors on va continuer maintenant »
- Un temps de restitution pour créer le collectif, on n’a pas eu vraiment un temps de plénière à la fin, pour l’étonnement collectif, « on a vécu, on a fait tout ça », un temps pour créer une sorte de résonance entre les apprentissages, conscientiser et appuyer. Ca aurait permis aux gens de se voir les uns les autres de se reconnaître, « on n’est pas dans la même liste mais tu peux apporter des choses, t’es pas con finalement »
- Qu’on arrête avec ces histoires d’élections municipales, ces listes. Qu’est-ce qu’on peut faire avec les personnes qui veulent agir pour le territoire, parce qu’il est temps qu’on s’y mette
Emeline Drouaud Hébert

Je suis une convaincue de la prise en considération de la parole et des besoins et attentes des habitants dans le développement des territoires harmonieux
J'ai 4 enfants, 2 chats et un beau camion.
Un cadre bien défini surtout sur l'investissement temps
Enquête arrêts de bus

- Faire émerger les besoins des habitants
- Collectez en amont la liste des arrêts et les horaires de passage, essayez de vous organiser pour faire plusieurs arrêts par jour
- Allez au premier arrêt de la ligne et demandez à un volontaire de distribuer les questionnaires à ceux qui montent ensuite (ou si vous avez l'autorisation de monter dans le bus, distribuez les vous même)
- Demandez aux jeunes de vous ramener les flyers remplis le soir ou posez une boite à lettre en carton que vous pourrez récupérer ensuite
Retour d'expériences sur cet outil
Envoi d'une frama par Yannick pour organiser un chaos fertile pour travailler sur la méthode v2
Espace de Vie Sociale La Boussole

Essai au Fraysse
Le Territoire
Le Cadre du projet
Description du projet
Mû par une volonté de mettre en place une liste participative sur sa commune, il est à la recherche d'outils pour lancer une dynamique de participation. Il décide de s'inspirer de la méthode Solucracy pour initier une démarche dans son village.
L'idée d'un porte à porte ou d'une réunion d'informations était présente dans la tête d'Alain mais sans forcément en connaitre le but ou l'intention.
Retour d'expérience
Une première session de porte à porte est réalisée mais elle n'a pas forcément été très fructueuse. A part pour connaitre l'identité d'un éventuel candidat aux prochaines municipales.
11 au 19 Juillet 2019 : un deuxième porte à porte motivant et aux réponses cohérentes
Il décide de reprendre son enquête en se basant sur les 4 questions de Solucracy et entre en contact avec une vingtaine de foyers.
Le village étant très étendu et les réponses étant similaires, il préfère stopper l'enquête pour organiser directement une réunion avec les quelques personnes motivées à contribuer.
29 Juillet 2019 : un petit comité et 7 solutions co-crées par les nouveaux habitants
La réunion a lieu avec 4 participants.
Voici le compte rendu brut qu'il nous a envoyé :
Bonjour,
à la réunion de hier, il y avait 4 participants.
Il me semble que c'est important de le souligner, tous des nouveaux au village.
J'ai commencer par expliquer le but, le déroulement de la réunion, les listes participatives et comment j'ai initié le projet par un questionnaire que j'ai rapidement arrêté puisque comme je t'ai dit, les réponses était toujours les mêmes.
Je leur ai proposé de répondre aux 4 questions.
Sans surprises, on a eu à nouveaux les mêmes réponses.
Phase 2, j'ai mis un tas de feuille A4 et des feutres noirs à dispo en proposant d'écrire une idée par feuille.
Nous avons eu 11 feuilles représentant 7 thèmes.
Chacun à ensuite lu la ou les feuilles qu'il a écrit pour expliciter grossièrement l'idée si nécessaire.
Phase 3, avec des feutres rouge, jaune, vert, bleu, nous avons chacun fait une coche sur chaque thème pour signifier l'intérêt trouvé personnellement à la proposition rouge=min /…/ bleu=max
Ce qui a permis de classer les thèmes par score d'intérêt.
Phase 4, nous avons pris les deux thèmes ayant le plus haut score d'intérêt et nous nous sommes séparé en 2 tables de débat. Anecdote, le village étant vraiment petit il a était facile de se déplacer dans les rues pour débattre en grandeur réelle des problématiques traitées.
Phase 5, nous avons exposé au groupe entier les conclusions et les solutions proposées afin que le groupe entier finalise chacun des thèmes.
Il est ressorti que sans la participation active de la mairie, il sera impossible d'acter les deux thèmes traités.
Un rédacteur volontaire pour chaque thème doit maintenant faire un rapport dont nous irons discuter à la mairie.
Le rdv est pris pour le 18 aout.
Les thèmes et les propositions par ordre de score :
1) Embellir la place de l'église pour la rendre plus pittoresque,
- Embellir la place de la mairie (bancs plantes…),
- Améliorer le garement place de l'église,
3) Planter des arbres pour créer des endroits agréables,
- Mettre des bancs dans des endroits agréables pour se rencontrer,
5) aire de jeu pour les enfants,
6) jardins partagés,
7) inviter des gens à jouer aux boules sur la place.
Merci à tous deux de me faire un retour sur les points qui vous plaisent et les améliorations éventuelles.
j'ai proposé d'inviter à titre d'observateurs des habitants des villages voisins
solucracy_bulletin_citoyen0190818.pdf (63.5kB)
- des nouveaux habitants impliqués et la création d’un petit collectif
- des projets imaginés par les habitants
- discussions avec l’élu
- La posture collaborative : penser à ce qu'a déjà fait le maire
- Une application pour valoriser ce qu’on aimerait faire
- Anticiper les objections de l’élu avant d'aller le voir
- pas d’engagement des habitants "historiques", même si des projets faciles à mettre en place
- pas de soutien de l’élu avant les élections
- freins de la part des habitants qui n’ont pas été écoutés
Le projet d'Alain a du sens et nous souhaitons le soutenir autant que possible en mettant à sa disposition tout ce qui pourrait lui faciliter la tâche. Mais cette expérience a mis en lumière une question importante : Qu'est-ce qu'est vraiment un projet Solucracy ? A quel moment considère-t-on que cela ne rentre plus dans le cadre ?
Pour nous, certains critères sont importants : le fait d'offrir à tous les habitants la possibilité de répondre aux questions, ou le fait de mettre les réponses à disposition de tous, en libre. Selon ces critères, le projet d'Alain n'est donc pas un projet Solucracy mais ça ne nous empêche pas de le soutenir et de l'accompagner du mieux qu'on peut dans la limite de nos ressources parce que l'INTENTION est la même et ce qui se passe au Fraysse contribue à remplir la mission de Solucracy : impulser une dynamique de collaboration sur les territoires qui prend soin du tissu social et qui transforme les besoins des habitants en solutions.
Définir les conditions d’un projet Solucracy
Au moment où Alain a lancé son initiative, nous venons tout fraîchement de définir les conditions d’un projet Solucracy, qu’est-ce qui faisait qu’un projet était Solucracy ou non. Elles n’étaient pas encore ancrées comme des convictions personnelles.
Celle que nous a forgé cette expérience est le fait d’aller voir tous les habitants, sans exception, du village ou du quartier à l’échelle d’une ville. Nous sommes convaincus que si nous donnons la même chance à tous les habitants de s’exprimer sur ce dont ils ont besoin pour être mieux dans leur village, alors l’opposition aura moins de place. Tout le monde aura eu l’occasion de dire, et l’argument du “on ne m’a pas écouté” ne tient plus. Il est notamment important de prendre le temps de revenir plusieurs fois sur certaines adresses afin de rencontrer ceux qui sont peu accessibles pour des raisons d'horaires inhabituels.
S’aligner sur nos intentions mutuelles pour la participation citoyenne
Après cette première expérimentation, nous avions décidé avec Alain de repartir depuis le début et de reprendre le porte à porte, avec le collectif citoyen créé, et de s’adresser à tous les habitants.
Et puis, je lui ai posé une question : “quelle est ta véritable intention derrière ce projet ? qu’est-ce que tu cherches à faire ? tu seras content s’il se passe quoi à la fin ?” Sa réponse était finalement différente de l’intention de Solucracy. Il cherchait à s’assurer que les décisions politiques respectent l’avis des habitants de la commune. Il s’agit bien de participation citoyenne, mais il ne s’agit pas de notre compétence. Bien sûr, nous souhaitons que les décisions politiques respectent l’avis des habitants de la commune, mais notre métier est de mobiliser les habitants sur des projets qui ont du sens pour eux, pas d'avoir un pouvoir sur les grandes décisions politiques.
Je lui ai conseillé alors de se réaligner avec le collectif citoyen sur leurs intentions collectives. Pourquoi pas penser à créer un conseil des sages ? A créer eux-mêmes une liste participative ? Finalement, faisons simple et recréons du dialogue : transformons l’ancienne épicerie fermée depuis des années en café associatif pour se rencontrer et porter la voix des habitants.
Être soutenus par les élus pour mettre en oeuvre les projets
Dans le cas du Fraysse, comme dans beaucoup de petites communes, le maire ne souhaite pas se représenter pour les prochaines élections. Alain l’a rencontré, il aime la démarche, est aligné avec les projets proposés mais ne s’investit pas puisque son mandat est bientôt fini. Et on le comprend !
Les deux projets principaux était de végétaliser les rues et de redessiner les places de stationnement dans le coeur du village. Deux projets de la compétence de la mairie qui nécessitaient l’implication des élus et des agents. Sans leur accord, les citoyens ne peuvent s’emparer du sujet.
Et surtout, nous sommes encore dans une culture de la loi et du rapport au pouvoir. Imaginons que l’élu se soit emparé des sujets remontés par le collectif. Peut-être que les autres habitants auraient suivi la décision du maire, qu'ils ont élu et changé leur position face aux projets proposés.
Nous recherchons à recréer les conditions d’un dialogue serein entre élus et citoyens pour qu’ils contribuent ensemble à l’amélioration de leur quotidien. C’était une tentative, riche d’enseignements. C’est le début de quelque chose au Freysse et nous sommes fiers d’y avoir contribué, même si ce n’était pas avec la méthode Solucracy “by the book”.
Lors de la distribution de tracts du jeudi 15 aout, au lieu de simplement mettre les flyers dans les boites comme lors de la distribution précédente, j'ai démarché à 13 h et à 19 h afin de trouver les frayssinols chez eux et de leur parler brièvement du projet avant de leur remettre le tract. J'ai touché pratiquement toutes les maisons du village. La moitié m'ont tout de suite dit savoir de quoi il s'agissait.
J'ai contacté le communauté de commune via "l'espace de vie social" un bureau de la CdC spécialisé. Ils ont dit être très intéressé et on proposé de mettre à ma disposition une page internet lié et de prendre en charge l'impression des flyers.
Est-ce que vous souhaitez que Solucracy ré-adhère à l'Unadel pour 2024 (vote sur Telegram) ? Résultat : NON
Et toi comment tu te sens ?
Déposer ce qui nous préoccupe dans un cadre bienveillant
Il faut compter 2 heures pour vivre l'atelier, et 2 heures pour la formation.
Retour d'expériences sur cet outil
Précision pour l'outil "Déconfiment des émotions"
Evaluation Démarche Participative
- Le respect de leur temps et de leur énergie
- La qualité de l'accompagnement sur les enjeux généraux
- La qualité de l'accompagnement sur les enjeux techniques
- Amélioration de la vision de l'administration de la ville
- Estimation de leur capacité à participer aux décisions d'aménagement de leur ville
- Sentiment d'avoir contribué au projet final
Ils peuvent fournir une évaluation à la fois quantitative et qualitative.
Si vous faites cette évaluation lors de chacune de vos démarches, vous pourrez ainsi constater l'évolution de vos pratiques.
exemple de document excel pour le traitement des données (35.7kB)
Retour d'expériences sur cet outil
Exemple d'ingrédient
Exemple de recette
Fabrique des Colibris pour étape 4

Le lundi matin en plantation est toujours demandé si il existe des suggestions de post.
Trouce ci dessous le lien vers le compte, abonne toi, likes, partage
Faire un don de 40€ à Helloasso tous les ans
Florent Gaudin
Je suis militant climat dans l'association Alternatiba, collectif local de Lyon. J'ai touché au sein de cette association à la gouvernance partagée et à l'intelligence collective. J'ai été salarié de Alternatiba national en tant que coordinateur sur les outils numériques.
Depuis septembre 2022 je me suis mis à temps plein sur mon activité individuelle : comment faire travailler les gens ensemble ?
C'est important pour moi d'arriver à discerner ses propres besoins et savoir les amener au groupe.
J'ai besoin de pouvoir comprendre ce qui se passe actuellement dans le collectif et l’association, en terme d’historique notamment, pour ne pas subir si il y a éventuellement des tensions.
J'ai besoin de comprendre qui a quels rôles aussi, et de savoir où trouver les informations et ce qu’il est possible de faire ou pas, afin de me sentir autonome par la suite.
Formation et accompagnement du C2D dans sa dynamique collective
Le Territoire
Le Cadre du projet
Description du projet
- 1 journée de form'action découverte en présentiel (30-40 pers) sur la dynamique de groupe pour aborder la Facilitation du travail collectif
Objectifs pédagogiques :
- Développer une culture commune dans un groupe pour construire des bases partagées permettant un travail collectif performant et libéré
- Expérimenter des outils favorisant les prises de décision en intelligence collective
- Comprendre et analyser les freins et leviers des dynamiques de groupe
Visio n°1 de suivi : éléments de concepts et d’outils pour savoir coopérer ensemble & comment réaliser des récits narratifs collectifs en autonomie ( 6 à 10 personnes du groupe de travail)
Visio n°2 de suivi : réaliser des récits narratifs collectifs en autonomie ( 6 à 10 personnes du groupe de travail)
Retour d'expérience
- Le livret de formation qui reprend tous les concepts et outils abordé pendant la journée de formation et pendant les 2 visios d'accompagnement, y figure également des ressources en plus
- Les stations de votes qui permettent d'illustrer et de tester en direct les différents modes de décisions présentés
- le tableau des souvenirs proposés pendant le temps d'accueil

Formation gestion des tensions validéeProposition 1 par Yvan Schallenberger (cofondateur de l'Instant Z et de Présence Active : https://presence-active.org/) Accès à une vidéo qu'ils ont fait sur le sujet de 40mnUn questionnaire à distribuer aux membres pour collecter notre rapport aux tensions et à Solucracy pour faire émerger les angles morts et différents cas d'étude.1 ou 2 ou 3 heures d'échange, de décorticage basées sur les cas pratiques pour tirer parti un maximum de son expérience.Tarif :un petit peu pour la mise à dispo de la vidéo et le traitement du questionnaire+ entre 90 et 180CHF = 188€ de l'heure pour le temps collectifA partir de février 2023-> Yannick demande un devis à Yvan, pour 3h de formation
Formation interne collective :Expérimentation de l’outil apprentissage pair à pair et lien avec le mentoratMettre en place un visuel sur les compétences et formations rattachées aux personnes du collectif, visible dans le YeswikiPenser le processus de documentation des formations, format libre à centraliser sur YeswikiConsultation des membres Coeur : Question sur le financement des formateurs par les participants à aborder lors du prochain point coeur
Formation internePlanning de formation validéLes formations peuvent être ouvertes à nos écosystèmes proches de manière libre, avec une priorité faite aux membres Solucracy. Par exemple, avec un système d’inscriptions en deux temps
Formations sur outils internes : On fait les formations sur un petit temps en plantation, on enregistre sur zoom et ensuite on partage la vidéo
Formation sur la gestion des tensions avec Yvan Schallenberger en février 2023 >> Yannick valide la date avec lui et envoie par mail un framadate pour les inscriptions des membres
Frederique Assal

Réenchanteur d'espace public
Provocateur de pouvoir d'agir
Colporteur de bonne humeur
J'aime le voyage lent - rencontrer des gens pour leurs richesses singulières - titiller les esprits - les visites d'idées - susciter l esprit critique - rendre accessible la complexité.
Et surtout tout faire pour développer notre IBRB - indice brut de résilience et de bonheur.
que l on me dise qd j agis pas correctement pour quelqu'un
de l humour- derision
celebration des erreurs
Fred va échanger avec Violette sur la réunion Suivi de projets.
Fred va proposer une note sur la gestion des frais
Gazette participative
- exprimer leurs idées
- créer du lien dans un quartier/une ville
- mieux partager les informations locales
- valoriser les actions des associations locales
- faire ensemble
- Pensez au manque de légitimité de certaines personnes pour contribuer à ce type d’outil : tout le monde n’est pas à l’aise pour exprimer ses idées ou rédiger des textes, certaines personnes auront besoin d’un accompagnement !
- Voyez la première édition comme une édition de test et ajustez le contenu et le format selon les retours des habitants
- Pensez à ne pas trop cadrer le projet de gazette et restez souple pour permettre la co-construction évolutive avec les associations locales, les élus et les habitants. Elle est faite pour évoluer et coller au plus près des besoins et envies des habitants.
- Ne pas s’attendre à ce que la gazette prenne tout de suite : au début comptez sur un petit groupe de personnes pour y contribuer, ensuite laissez la dynamique se faire, de nouvelles personnes vont avoir à coeur d’y participer, mais elles auront besoin de voir déjà un premier exemplaire, de rencontrer les personnes à l’initiative du projet...
Retour d'expériences sur cet outil
Gérer les groupes de travail comme les projets payants sur Telegram, Yannick va basculer les groupes methode V2, collaboration visuelle sur des canaux à part.
Gîte de Léal choisi pour les Soludays !
Grezi : cartographie des acteurs locaux
Identifier facilement les possibilités de synergie entre acteurs
Faciliter la communication entre les acteurs
Identifier facilement les leviers pour renforcer l'écosystème
- Se connecter au territoire
- Accompagner les solutions
- Demander un devis à Adrien
- Réunion de cadrage
- Envoi d'un devis
- 1 mois de délai pour mise en prod
- Après mise en prod, réunion de formation
Retour d'expériences sur cet outil
Acteurs Transition AURA
L'animation de la communauté elle même n'a pas duré par manque d'énergie
La liste de distribution n'est pas utilisée.
Carto acteurs locaux à Combloux
Quartier Levant Les Tattes, Ferney-Voltaire (01210)
Ensuite nous avons créé une liste de distribution email, qui permet à chacun de communiquer sur ses événements auprès de tout l'écosystème
Il y a de nombreuses synergies possibles entre les acteurs.
La liste de distribution permet de lancer facilement des appels à contribution pour la gazette participative
C'est dommage qu'il n'y ait pas de moyen pour chaque acteur de mettre à jour ses informations
Les acteurs eux mêmes ne se sont pas suffisamment approprié l'outil qui est sous utilisé
GT compta et notes de frais à organiser pour poser notre fonctionnement définitif. En attendant, règlement au comptant des frais sur la base de justificatifs ou exceptionnellement achat d'un équivalent par l'asso
Hélène Pauillac

> d'accompagnement des acteurs (collectivités/associations/collectifs/entreprise)
> de facilitation des démarches de groupe pour mieux travailler, collaborer ensemble lors d'un atelier, d'une réunion, d'un séminaire ou sur un projet.
Avec un double cursus en gestion de projet et en communication/journalisme, je suis aujourd'hui consultante et fondatrice de ma société, Bhajana Tisseur de liens. Je mixe les approches pour répondre au mieux aux besoins de mes commanditaires.
Hélène Vuong
Grozny (Tchétchénie) 1995. Je viens d'arriver pour une mission humanitaire prévue pour 6 mois. Je ne parle pas le russe et comme rajouter une langue (l'anglais) au filtre que représente un interprète, je demande à travailler avec unE interprète francophone. Une femme parce que l'expérience du machisme dans ce type de tandem m'a posé des soucis lors d'une expérience précédente... Bref, quelques jours plus tard, je rencontre Elena. Ma zone de responsabilité est au sud du pays et comprend les montagnes. C'est dire que nous allons avoir du temps à passer toutes les deux en voiture pour rejoindre les zones affligées par le conflit ou nous allons travailler. C'est dire aussi que nous disposons de beaucoup de temps pour discuter. Et, là au milieu de champs de ruines, j'ai découvert.... la littérature française, les grand auteurs, romanciers, poètes et autres tribuns, rayonnement de la culture française dans cette zone d'influence de l'ex-URSS très clairement francophile. Grande lectrice mais "traumatisée" par la lecture et l'analyse des classiques au lycée, j'ai toujours fui ces piliers de la culture. Mais là, au milieu de zones déchiquetées, j'avais avec moi une grande littéraire, extraordinaire interprète qui connaissait PAR COEUR des pans entiers d'ouvrages qu'elle me disait, en faisant des références à des situations que nous rencontrions. Par la suite, d'autres interprètes et field off (genre de fixeurs mais pour les humanitaires) russes prenaient du temps en fin de journée pour nous rejoindre et nous passions régulièrement un moment ensemble. J'étais la seule expatriée française dans cette délégation (pas la seule francophone par contre) et la seule expat' dans ce groupe francophile qui discutait un moment, chantait, riait aussi... Après, je n'ai pas eu plus le goût de la littérature classique, et cette mission a certainement été la plus dure que j'ai eu à vivre. Mais grâce à Elena, grâce à cette équipe, grâce aussi à la littérature et la langue, j'ai pu garder un fil de sens et de douceur dans cet univers dévasté et ultra violent.
Ce n'est pas une histoire de fierté que je raconte ici, c'est une histoire de fil tendu par les gens merveilleux auquel j'ai pu me tenir (et ne pas tomber), telle une funambule pendant quelques mois.
- Que la France refasse de la francophonie un lien entre les gens (que parler une langue ne soit plus seulement une question d'utilité mais soit le véritable véhicule de cultures qui permette d'échanger, de se rencontrer, de parler aussi de nos différences)
- Que l'on enseigne la littérature classique e manière beaucoup moins ch.... (je me suis sentie tellement inculture lors de cet épisode)
Hugo et ses amis sont à Grozny
Jeanne Morinière

Journaux locaux
Profiter de leur réseau de distribution
Info perdue au milieu de dizaines d'autres
- Je suis malentendant
- J’habite dans une zone reculée
- Je travaille de nuit
- Je suis en prison
- Je suis en Ehpad
- Je suis sans domicile fixe
- Je suis résident secondaire
- Je ne suis pas inscrit sur les listes électorales
- Je suis à l’école primaire
- Je suis au collège
- Je suis au lycée
- Je n’utilise pas d’outils numériques
- Je ne lis jamais mon courrier
- Je suis de passage sur le territoire
- Je suis uniquement usager du territoire
- Mon ou ma conjointe gère tout pour moi
- Je suis commerçant
- Je ne sors jamais de chez moi
- Je suis sous tutelle
- Je ne fais pas confiance à l’administration
- Je suis sans papiers

Retour d'expériences sur cet outil
Judith Aynès

Judith fait une proposition pour l’évaluation des sources de revenus/financement. Le prévisionnel est à compléter par les membres du coeur en fonction des besoins € par projets.
Kit Projet Commune
-Centraliser les infos liées aux ressources disponibles sur votre commune
-Clarifier vos processus
- Accompagner les solutions
Voici les versions PPTX à éditer :
LIVRET_KIT_Projet_A3.pptx (7.7MB)
A4_kit_projet_Habitant.es.pptx (13.0MB)
Nous vous encourageons à joindre à ce kit : La charte de coopération sereine et le jeu voyage au pays du faire ensemble (cartes à imprimer)
Ce kit a été créé dans le cadre de notre accompagnement de la commune de Damparis, financé par l'ANCT
Retour d'expériences sur cet outil
L'association est prête à porter la réponse à l'appel à communs pour une configuration de Decidim spéciale pour la méthode Solucracy
L'aventure d'un jardin thérapeutique
La création d'un jardin thérapeutique. Ca a commencé par des expériences dans un collectif qui s'appelle l'Essentiel, créé par Géraldine Schmitt, point ressourçant, qui a fait vivre une nouvelle manière d'être en groupe pour échanger, être créatif parce qu'à l'hôpital, tout était en tension, très vertical.
Je décide de créer ce jardin, et je commence par observer puis je crée un compost. Je théâtralise beaucoup cet investissement : je mets des bottes, un vieux jean etc... sans trop savoir pourquoi mais je le fais. Les collègues s'interrogent et je leur explique.
Je ne cherche pas à convaincre mais je fais. La secrétaire me dit : "tu peux pas savoir comme ça me fait du bien quand je te vois dans le jardin".
Je me dis, il se passe quelque chose, et donc avec la stagiaire Psychologue Paulina, on a échangé pour concevoir ce projet et avec l'hôpital a signé une convention avec l'Université pour cadrer cette 2ème année de stage au CMP.
Une fois le projet écrit, on le présente à l'équipe. On le fait dehors, debout, en cercle. Dans ce cercle, il y a les médecins de l'unité et la cheffe de service qui sont là malgré le fait qu'elles soient en conflit ouvert.
Tout le monde dans l'équipe sait que je fais des expériences en IC parce que j'en parle. J'ai vécu le fait que faire et être est beaucoup plus efficient que juste en parler.
Ces outils m'ont amené à réfléchir profondément à ma manière d'être en relation et de communiquer.
J'étais convaincue parce que je m'appuyais sur le Nous extérieur du collectif, il était intériorisé. Quand je faisais ça, ce collectif était avec moi. Une personne du collectif, Vincent, paysagiste est venue pour nommer toutes les espèces de plantes, arbres et arbuses du jardin de l'unité de soins.
Je suis d'une nature assez joueuse, créative, donc ça a ouvert encore quelques chose.
J'indiquais sans trop raconter mais je faisais. Au départ, on m'a pris un peu pour une folle, mais comme ça s'est écrit, structuré avec l'aide de la stagiaire psychologue et une étudiante en architecture qui a fait un super flyer.
J'étais comme messagère de quelque chose que je commençais à comprendre, qui me transformait profondément. Quelqu'un m'a dit : J'ai "ouvert une brèche dans la cage de l'institution qui devient totalisante dans son fonctionnement".
C'était un souffle, comme une nécessité pour l'équipe, pour les patients.
Des lectures. Gilles Clément était aussi un fil conducteur, il dit que le jardin est une question politique.
Mon papa, vieillissant, qui a toujours beaucoup jardiné, près de la terre, donc des temps d'échange avec lui. Et ma soeur, très écolo, qui m'ont donné des graines, des plants.
La validation de notre responsable d'unité qui l'a présenté en CME, de la cheffe de service et la direction pour que ce projet soit accepté.
Ca a décloisonné, on a travaillé avec des salariés non soignants.
- Si je reste dans cet hôpital et que je crée un projet, j'aimerais créer une alliance avec un tiers qui s'occupe de la facilitation. Quand je me présente en tant que soignante, je présente aussi cet angle là
- Qu'il y aie plus de soignants qui s'intéressent à ça. Les médecins sont encore décisionnaires. J'adorerais travailler avec un médecin qui a cette double casquette.
La CNCD - Où tout a commencé :)
Animation de modules auprès de membres de la CNCD
La démarche de publication ouverte à la ville de Brest
Privilégier dans un site initié par une collectivité l’écriture des acteur.ice.s du territoire n’est pas courant. Elle a été mise en oeuvre à partir de 2003 sur a-brest par la délégation "démocratie locale et nouvelle technologies" de la ville de Brest. Elle prolongeait une démarche initiée par les Cercles "Citoyenneté et Nouvelles Technologies" [1]).
Ainsi une culture du partage et de l’écrit public a été encouragée parmi les acteurs associatifs et plusieurs dizaines de sites sous spip et en CC ont vu le jour, une appropriation facilitée par l’accompagnement de l’hébergeur associatif Infini et les ateliers gratuits régulièrement proposés.
C’est dans cette lignée d’une coopération ouverte qu’a été initié en 2009 la première quinzaine Brest en biens communs, porteur d’une politique publique en faveur du développement des communs à Brest et les carnets d’écriture collaborative wiki-brest.
Au fil des années cette culture de la coopération ouverte s’est diffusée avec l’ouverture d’une dizaines de sites de publications ouvertes initiés par la collectivité dans des délégations motivées par la coopération.Même si elle n’a jamais été portée par la ville comme une politique globale, j’ai apprécié qu’elle soit possible et acceptée à Brest par la majorité municipale.
Cette démarche d’écrit public qui perdure aujourd’hui 20 ans après n’a quasiment pas bourgeonné ailleurs malgré des dizaines de présentations locales. (à citer comme autres pas de côté les écrits ouverts du Tilab comme Utilo, Riposte Creative Bretagne, labaccès et Riposte Creative Gironde)
Le site de la ville et de l’agglomération est aussi passé en Creative Commons ce qui en fait une exception dans l’univers des collectivités locales qui interdisent presque toutes par défaut toute réutilisation sous peine de poursuites de ce qui est produit par une collectivité publique par des agents du service public.
- Une envie de coopération ouverte
- le plaisir de partager
- le contournement des zones pathogènes
- l’attention aux initiatives
- le faire ensemble
- un alignement avec une pratique analogue dans le milieu professionnel tel Innovation pédagogique
- une compréhension des communs via Vecam
- des complicités amies via les rencontres comme Autrans, le Forum des usages coopératifs
- les projets coopératifs ouverts Creatif, Animacoop (Laurent Marseault, Jean Mchel Cornu) Une envie de coopération ouverte
- le plaisir de partager
- le contournement des zones pathogènes
- l’attention aux initiatives
- le faire ensemble
- un alignement avec une pratique analogue dans le milieu professionnel tel Innovation pédagogique
- l’apprentissage par le faire ne permet un bilan qu’après
- les 2 formations annuelles à la coopération ouverte https://animacoop.net/animacoop ont fourni un terreau fertile à la coopération mais difficile d’imaginer les faire advenir avant
- la pratique de la coopération ouverte à l’école et dans les formations continues (CNFPT) mais c’est un rêve ...
La Fabrique des Transitions

La formation “Gestion des tensions” aura lieu le 6 février 2023 de 14h à 17h
Lancement d'une expérimentation Miro comme espace commun (Yannick)
La réunion cœur se tient si 4 personnes sur 6 sont présentes minimum.
La réunion plantation est un espace pouvant accueillir les sujets/besoins sortant du périmètre Plantation, et pour les réorienter vers le bon espace... Info à passer en réunion plantation et en newsletter interne.
La revitalisation de bourg- centre : Lamarche
Le Territoire
Le Cadre du projet
Description du projet
Ce programme vise à améliorer les conditions de vie des habitants des petites communes et des territoires alentours, en accompagnant les collectivités dans la transition écologique, sociale et démocratique.
La mission menée par des membres de Solucracy s'inscrit dans le cadre de l'élaboration d'études stratégiques et pré-opérationnelles de la revitalisation, et consiste à :
- Créer une dynamique participative, fédératrice de la démarche globale, reposant sur une animation innovante et tout public. L'animation a pour objectif l'appropriation, voire la co-construction du projet d'attractivité, tout au long de l'étude, et se prolongeant au-delà.
- Favoriser la co-construction des études stratégiques de revitalisation des bourgs-centres de Lamarche et de Monthureux-sur-Saône, en complémentarité du programmes d'actions déhà élaboré sur la commune de Darney.
- récolter des besoins à travers la réalisation d’un porte à porte citoyen.
- cartographier les dynamiques humaines et les services, ressources et besoins des acteurs locaux.
- sensibiliser aux enjeux climatiques planétaires et former des volontaires à l'animation de la fresque du le climat.
- générer des temps et des espaces de cocréation pour que les personnes partagent leur vécu du territoire (phase 1 - diagnostic partagé), construisent l'histoire de leur lieu de vie pour les 20 prochaines années (phase 2- vision attractive et récit collectif), en s'appuyant à la fois sur envies, les besoins, les ressources locales et le contexte global.
- faciliter la définition d'un plan d'actions de revitalisation, traduisant la vision collective en oeuvres communes (phase 3 - plan d'actions)
- documenter et capitaliser l'expérience du projet.
Retour d'expérience
- Une réunion de coordination hebdomadaire avec les chargées de mission et les partenaires : un créneau planifié avec un ordre du jour co-construit, si on n'a pas de besoin, on enlève le créneau.
- Un canal telegram ou autre pour échanger avec l'équipe et se tenir au courant des dernières infos, partager les photos, etc...
Phase 1 Portrait du territoire :
- Le porte à porte : l'accroche porte ; l'affiche du PaP ; la synthèse des résultats
- La cartographie des acteurs locaux : A INTEGRER
- Les outils du temps fort 1 participatif : le rapport d'étonnement servant aussi de fiche tombola ; le support de l'atelier triangle des rôles ;
- Les outils du temps fort 2 participatif : le support d'atelier cadavre exquis ; le support d'atelier portrait chinois ; le support d'atelier maquette interprétation ; le support d'atelier Une du futur ; le déroulé de l'atelier scénario
- Les outils du temps fort 3 participatif : la carte postale du futur ;
La systématisation d'expérience du projet, par Fredérique et Olivier de Solucracy !

- Le fonctionnement collaboratif : avec la super équipe d'Urbicand et avec les chef.fes de projet Petites Villes de Demain (et ce, même si plusieurs personnes ont changé en cours de projet !)
- Le relais pris par le comité citoyen pour contribuer à la dynamisation de la commune grâce au travail de Virginie et le soutien de Mr Roussel et Mme Laurent
- Développer la communication tout autour du projet : cet aspect porté par les communes nous semble très important à soutenir et renforcer, pour la bonne réussite de la démarche. Une mission dédiée à ce volet communication au service de la participation ne serait pas de trop !
- Travailler sur comment favoriser l'appropriation des productions de l'étude par les parties prenantes du projet (les élu.es, les agent.es et les habitant.es) : cela prend beaucoup de temps et de multiples répétitions pour embarquer un minimum de monde.
- Intégrer dans notre offre initiale des propositions pour soutenir la dynamique locale lorsque l'étude est particulièrement longue et que les temps forts de participation sont espacés de plusieurs mois. Ne pas faire retomber le souffle !
- Notre capacité à rebondir et à rester alignés avec l'intention du projet, coûte que coûte !
- Charlène : un projet trés enrichissant, à la fois sur notre fonctionnement en équipe, sur le lien avec les personnes du territoire et de la collectivité, sur l'impact de nos actions et sur les marges d'amélioration que nous avons. J'espère que notre documentation du projet sera à la hauteur pour valoriser tout cela :D
- Yannick : Une véritable aventure, découverte des Vosges, un projet pour aborder les choses de manière systémique, en faisant notre maximum pour intégrer les enjeux globaux (climatiques, économiques, etc...) et prendre des décisions adaptées à la période dans laquelle on vit. Une vrai dynamique collective, fluide, enrichie par nos différences. Mon permier cercle de parole avec un sous préfet, des maires, des conseillers départementaux et régionaux :-)
- William :
La revitalisation de bourg- centre : Monthureux sur Saône
Le Territoire
Le Cadre du projet
Description du projet
Ce programme vise à améliorer les conditions de vie des habitants des petites communes et des territoires alentours, en accompagnant les collectivités dans la transition écologique, sociale et démocratique.
La mission menée par des membres de Solucracy s'inscrit dans le cadre de l'élaboration d'études stratégiques et pré-opérationnelles de la revitalisation, et consiste à :
- Créer une dynamique participative, fédératrice de la démarche globale, reposant sur une animation innovante et tout public. L'animation a pour objectif l'appropriation, voire la co-construction du projet d'attractivité, tout au long de l'étude, et se prolongeant au-delà.
- Favoriser la co-construction des études stratégiques de revitalisation des bourgs-centres de Lamarche et de Monthureux-sur-Saône, en complémentarité du programmes d'actions déhà élaboré sur la commune de Darney.
- récolter des besoins à travers la réalisation d’un porte à porte citoyen.
- cartographier les dynamiques humaines et les services, ressources et besoins des acteurs locaux.
- sensibiliser aux enjeux climatiques planétaires et former des volontaires à l'animation de la fresque du le climat.
- générer des temps et des espaces de cocréation pour que les personnes partagent leur vécu du territoire (phase 1 - diagnostic partagé), construisent l'histoire de leur lieu de vie pour les 20 prochaines années (phase 2- vision attractive et récit collectif), en s'appuyant à la fois sur envies, les besoins, les ressources locales et le contexte global.
- faciliter la définition d'un plan d'actions de revitalisation, traduisant la vision collective en oeuvres communes (phase 3 - plan d'actions)
- documenter et capitaliser l'expérience du projet.
Retour d'expérience
- Une réunion de coordination hebdomadaire avec les chargées de mission et les partenaires : un créneau planifié avec un ordre du jour co-construit, si on n'a pas de besoin, on enlève le créneau.
- Un canal telegram ou autre pour échanger avec l'équipe et se tenir au courant des dernières infos, partager les photos, etc...
Phase 1 Portrait du territoire :
- Le porte à porte : l'accroche porte ; l'affiche du PaP ; la synthèse des résultats
- La cartographie des acteurs locaux : A INTEGRER
- Outils du temps fort 1 participatif : le rapport d'étonnement servant aussi de fiche tombola ; le support de l'atelier triangle des rôles ;
- Les outils du temps fort 2 participatif : le support d'atelier cadavre exquis ; le support d'atelier portrait chinois ; le support d'atelier maquette interprétation ; le support d'atelier Une du futur ; le déroulé de l'atelier scénario
- Les outils du temps fort 3 participatif : La carte postale du future ;
La systématisation d'expérience du projet, par Fredérique et Olivier de Solucracy !

- Le fonctionnement collaboratif : avec la super équipe d'Urbicand et avec les chef.fes de projet Petites Villes de Demain (et ce, même si plusieurs personnes ont changé en cours de projet !)
- Développer la communication tout autour du projet : cet aspect porté par les communes nous semble très important à soutenir et renforcer, pour la bonne réussite de la démarche. Une mission dédiée à ce volet communication au service de la participation ne serait pas de trop !
- Travailler sur comment favoriser l'appropriation des productions de l'étude par les parties prenantes du projet (les élu.es, les agent.es et les habitant.es) : cela prend beaucoup de temps et de multiples répétitions pour embarquer un minimum de monde.
- Intégrer dans notre offre initiale des propositions pour soutenir la dynamique locale lorsque l'étude est particulièrement longue et que les temps forts de participation sont espacés de plusieurs mois. Ne pas faire retomber le souffle !
- Mr Sylvestre, Maire de Monthureux sur Saône, qui s'est investi de plus en plus dans les temps participatifs, et l'energie incroyable qu'il met dans le développement de son territoire
- La difficulté à faire circuler l'information, même sur de petits territoires
- Utiliser une sonnette de vélo (avec le vélo dessous) pour signaler la fin des exercices pendant un temps de copilotage
- Charlène : un projet trés enrichissant, à la fois sur notre fonctionnement en équipe, sur le lien avec les personnes du territoire et de la collectivité, sur l'impact de nos actions et sur les marges d'amélioration que nous avons. J'espère que notre documentation du projet sera à la hauteur pour valoriser tout cela :D
- Yannick : Chaque territoire est différent, le fait de travailler sur 2 communes à quelques kilomètres de distance qui ont des profils complètement différents donne envie de travailler sur le profil psychologique d'une commune. On a fait tout ce qu'on a pu pour trouver la vie sur les territoires et en prendre soin, lui permettre de se relier et de s'épanouir, et je pense qu'on a réussi, grâce à Anne et Virginie. Il est essentiel d'avoir des personnes connectées au territoire, connues des acteurs locaux pour soutenir ce genre de projet.
- William :
La saison de tous les dangers
Expérience ou j'étais responsable d'un bar dans un hotel restaurant au sein d'une association qui faisait beaucoup de choses. En 6 mois, j'ai eu au moins 4 managers de restaurants différents. tous les mois, il y avait un coup de théâtre, des histoires de clans, de manipulation, et il fallait faire tourner tout ça.
J'étais pas professionnel du domaine mais je suis assez fier qu'on aie réussi à faire tourner tout ça avec du matériel un peu vétuste, beaucoup d'heures, et peu de moyens.
Il y avait des oppositions un peu larvés, frontales, jusqu'à ce que le dernier chef me dise, toi je t'ai jamais aimé, tu dégages.
J'étais embauché sur une saison touristique de 6 mois. Ce qui est triste est que la personne qui m'a embauché avait une posture de coopération et n'était pas du métier, et on a abouti à l'inverse un gars du métier qui a verrouillé le truc
Prendre à coeur le rôle qui m'avait été donné.
Essayer d'avoir le plus d'automatismes possibles dans toutes les tâches pour gagner en temps et en énergie.
On était 3-4 salariés sur le lieu et des bénévoles, il y avait un peu toutes les postures : je m'implique le moins possible pour être le moins touché, et d'autres plus dans le sacrifice.
Une posture la plus non jugeante possible sur les gens en eux mêmes, continuer à respecter les gens malgré ce que j'avais pu savoir d'eux. J'étais un de ceux qui a essayé d'alerter sur une tentative de dissidence/putsch. Je trouvais dingue que personne n'aie vu ce qui se tramait, avec des personnalités bizarres qui jouaient un double jeu. La qualité serait la clairvoyance, essayer de trouver des alliés en qui je peux avoir confiance.
Qualité de lâcher prise, quand ça sautait et qu'une nouvelle personne arrivait, je continuais à faire mon boulot en restant centré sur mon rôle.
Profiter des gens bienveillants autour un maximum et du temps passé avec eux.
J'avais des gens fiables sur qui je pouvais compter, des gens de confiance.
J'avais le retour client, qui était souvent positif et qui faisait du bien, gratifiant.
Le fait de se sentir progresser dans sa pratique.
Le fait d'être dans un lieu qui brassait beaucoup de gens, c'était pas en vase clos. Il y avait toute une richesse relationnelle, qui faisait que je n'étais pas que focalisé sur la question du management.
Un cloisonnement des tâches, ce qui se tramait de pourri était dans les cuisines, et pas au niveau du service, j'étais la personne dans le monde visible du restaurant, et pouvoir cloisonner permet de ne pas se laisser complètement pourrir par la situation.
Agir plus tôt pour alerter sur ces personnalités.
Me rapprocher plus tôt de la personne qui était sur le siège éjectable, elle avait toutes les qualités pour rester mais je n'ai pas été assez rapide pour essayer de la protéger : agir vite quand on sent un loup.
M'affirmer plus, mes potentiels et capacités pour sauver une situation et prendre des responsabilités.
Etre plus machiavélique pour contrer les plans du méchant.
Laure Ricard
Je dédie beaucoup de temps et d'énergie à mon développement personnel et spirituel depuis qq années. Je suis célibataire, sans enfant et j'ai 55 ans même si j'ai souvent l'impression d'être une ado. Surtout en ce moment où j'enlève toujours plus les couches qui me séparent de moi.
Je suis curieuse de la rencontre, j'aime la simplicité des échanges. Au début je suis souvent en observation avant de m'engager totalement. J'ai envie de participer à la (re)création du lien entre les humains, leur environnement et avec eux-mêmes, à créer des espaces d'échange et de création intégrant la diversité des points de vue.
J’ai aussi besoin de clarté, c’est important.
Le changement de gouvernance = transition qui nécessite d’être accompagnée : quelle suite pour ce processus ? Temps dédié à la prochaine réunion du 5 décembre avec questions sur Miro.
Le coeur accepte de financer 50% de l'inscription aux journées de la participation 2024, en contrepartie d'une visio de restitution au groupe par les participant-es
Le Coeur a décidé de paye Stéphanie Cante 550€ pour son accompagnement à la définition du modèle économique Solucracy
Le Coeur autorise le collectif qui anime le parcours d'apprentissage à la coopération à utiliser l'asso Solucracy pour héberger les finances associées à ce projet
Le cœur vote de mettre à disposition une enveloppe max de 1000€ pour rembourser les déplacements soludays en mettant l’attention sur le fait que c’est mieux de ne pas tout dépenser et d’avoir une attention sur l’équité des dépenses.
LE DÉFI 10 = CRÉER UNE INVITATION

LE DÉFI 10 = CRÉER UNE INVITATION
Quels éléments rendent l'invitation claire et engageante qui font que ça prenne ?"Quelles infos restent en tête ?
Les questions à se poser : A quoi ressemble une invitation qui me donnerait vraiment envie de venir ? Comment est-elle transmise ? Pour qui elle ne serait pas évocatrice ?
LE DÉFI 10 = CRÉER UNE INVITATION
Quels éléments rendent l'invitation claire et engageante qui font que ça prenne ?"Quelles infos restent en tête ?
Les questions à se poser : A quoi ressemble une invitation qui me donnerait vraiment envie de venir ? Comment est-elle transmise ? Pour qui elle ne serait pas évocatrice ?
Intention : Augmenter l'engagement et la participation des citoyens dans les projets communautaires.
Inviter les autres à participer, c’est comme organiser une fête où tout le monde veut venir. Faites-en sorte que votre invitation soit irrésistible et engageante. "Si votre invitation donne envie de réserver sa soirée sans hésiter, vous avez tout bon !"
LE DÉFI 11 = CRÉER UN CADRE DE COM Respectueuse
LE DÉFI 11 = CRÉER UN CADRE DE COM Respectueuse
Questions à se poser :
Quelles règles de communication on pose pour que ce soit clair pour tous.tes ? Tout en respectant les différentes manières de communiquer de chacun.
LE DÉFI 11 = CRÉER UN CADRE DE COM Respectueuse
Questions à se poser :
Quelles règles de communication on pose pour que ce soit clair pour tous.tes ? Tout en respectant les différentes manières de communiquer de chacun.
Intention : Assurer un dialogue ouvert et constructif, même lors de désaccords ou de conflits.
Établir des règles d’interaction, c’est comme tracer des lignes sur un terrain de sport. Chacun sait où il peut aller et comment jouer sans bousculer les autres. "Avec des règles claires, même les débats les plus animés ressemblent à une partie de foot amicale où tout le monde connaît les règles du jeu."
LE DÉFI 12 = COMMUNIQUER RESPECTUEUSEMENT À PLUSIEURS
Quelle technique de distribution de parole est pertinente pour ce moment, cette décision, cette réunion ?
Intention : Assurer un dialogue ouvert et constructif, même lors de désaccords ou de conflits.
Distribuer la parole, c’est veiller à ce que chacun ait sa chance de s’exprimer. C’est comme être un chef d’orchestre qui s’assure que chaque instrument a son solo. "Si vous maîtrisez l’art de donner la parole, vous pouvez transformer une cacophonie en une belle symphonie de voix."
Voici différentes possibilités :
- Tour de table : une personne parle, dit quand elle a terminé et la personne suivante prend la suite
- Parole au centre : la personne qui souhaite parler dit "je prends" comme si elle prenait un baton de parole, et dit "je laisse" quand elle a terminé.
- Distributeur de parole : une personne note les mains levées au fur et à mesure et donne la parole aux personnes qui l'ont demandées dans l'ordre.
- Distribution de parole auto-gérée : Je lève un doigt si je suis le premier à demander la parole, 2 doigts si une autre personne a déjà un doigt levé, 3 si le 2 est déjà pris, etc... La personne qui a le moins de doigts levés parle en première.
- Pop corn : prises de parole courtes, qui fusent, une phrase avec une idée maximum. Beaucoup utilisé dans les sessions d'idéation.
Pour que tout le monde puisse s'exprimer et partager un maximum, on divisera parfois le groupe en binômes ou en petits groupes
LE DÉFI 13 = COMMUNIQUER DANS UN MONDE OÙ CHACUN A SON POINT DE VUE

LE DÉFI 13 = COMMUNIQUER DANS UN MONDE OÙ CHACUN A SON POINT DE VUE
Si j'ai envie de juger cette personne, quelle question puis-je lui poser pour mieux comprendre son point de vue ? Est-ce que je suis curieux ou est-ce que j'essaye de convaincre ?
LE DÉFI 13 = COMMUNIQUER DANS UN MONDE OÙ CHACUN A SON POINT DE VUE
Si j'ai envie de juger cette personne, quelle question puis-je lui poser pour mieux comprendre son point de vue ? Est-ce que je suis curieux ou est-ce que j'essaye de convaincre ?
Intention : Assurer un dialogue ouvert et constructif, même lors de désaccords ou de conflits.
Comprendre la différence demande de l'observation, de faire l'exercice de prise de recul plusieurs fois avant de "ne plus plonger dans le jugement de l'autre et de la différence", et donc du temps.
Composer avec les différences des autres commence par un travail d'identification des différences que nous expérimentons lors de différents contextes en nous-même, et de leur acceptation.
Ensuite viendra la capacité de voir chez l'autre cette différence, de s'y intéresser et d'interroger.
Atelier enregistré : Des personnes de l'extrême gauche à l'extrême droite se mettent d'accord sur une liste d'actions sur un sujet clivant
LE DÉFI 14 = POSER UNE INTENTION CLAIRE

LE DÉFI 14 = POSER UNE INTENTION CLAIRE
Questions à se poser :
Si tout se passe bien, qu'est-ce qu'on a à la fin ? Et si ça se passe encore mieux que prévu ?
Pourquoi on décide de passer du temps et de l'énergie à faire ça ?
LE DÉFI 14 = POSER UNE INTENTION CLAIRE
Questions à se poser :
Si tout se passe bien, qu'est-ce qu'on a à la fin ? Et si ça se passe encore mieux que prévu ?
Pourquoi on décide de passer du temps et de l'énergie à faire ça ?
Intention : Donner une direction et un sens clairs aux actions du groupe, évitant ainsi la confusion et les malentendus.
Poser une intention claire, c’est comme utiliser un GPS pour votre projet. Tout le monde sait où on va et comment y arriver. "Sans intention claire, on risque de finir dans un cul-de-sac... ou pire, dans une réunion sans fin !"
Une intention bien définie sert de boussole, orientant chaque décision et action vers un objectif précis. Elle permet de clarifier les attentes, de se motiver et de créer une vision commune. "Une fois qu'on est tourné dans la bonne direction, il ne reste plus qu'à avancer" Proverbe Bouddhiste.
LE DÉFI 15 = CRÉER UN PROCESSUS DE TRAVAIL SIMPLE
LE DÉFI 15 = CRÉER UN PROCESSUS DE TRAVAIL SIMPLE
LE DÉFI 15 = CRÉER UN PROCESSUS DE TRAVAIL SIMPLE
Intention : Simplifier les processus pour maximiser l'efficacité et l'inclusion de tous les participants.
Organiser un moment à plusieurs, c’est comme planifier une recette en plusieurs étapes. Chaque phase est essentielle pour arriver à un résultat délicieux et satisfaisant. "Avec une bonne organisation, même un projet complexe peut être aussi simple qu’une recette de gâteau au chocolat."
LE DÉFI 16 = OUVERTURE / CLOTURE

LE DÉFI 16 = OUVERTURE / CLOTURE
Clôture avec un compliment : Terminez chaque réunion ou activité en faisant un tour de table où chacun dit ce qu'il retient de ce moment.
LE DÉFI 16 = OUVERTURE / CLOTURE
Clôture avec un compliment : Terminez chaque réunion ou activité en faisant un tour de table où chacun dit ce qu'il retient de ce moment.
Intention: Simplifier les processus pour maximiser l'efficacité et l'inclusion de tous les participants.
Ouverture/clôture L’ouverture et la clôture, ce sont comme les portes d’une maison : elles accueillent et disent au revoir. Bien débuter et finir une réunion donne le ton et laisse une impression positive. "Une bonne ouverture attire l’attention comme une bande-annonce de film, et une bonne clôture laisse tout le monde impatient pour la suite."
- Avec quoi je viens ?
- Quelles sont mes intentions pour cette réunion ?
- Je serais content si quoi ?
- Citez une chose que vous avez appris ces derniers jours
- Citez une chose qui vous a émerveillé ces derniers jours
En fermeture :
- Avec quoi je repars ?
- Quelles actions je vais faire pour la prochaine fois ?
- Si vous êtes beaucoup : un mot pour décrire ce que je viens de vivre
- Qu'est-ce que je peux dire pour nourrir et soutenir les actions des autres ?
LE DÉFI 17 = ÉMERGENCE / IDÉATION
LE DÉFI 17 = ÉMERGENCE / IDÉATION
En quoi votre compréhension du problème initial a-t-elle évolué ? Comment analysez-vous maintenant les solutions déjà essayées ? Quelles nouvelles idées ou envies cela vous donne-t-il pour la suite ?
LE DÉFI 17 = ÉMERGENCE / IDÉATION
En quoi votre compréhension du problème initial a-t-elle évolué ? Comment analysez-vous maintenant les solutions déjà essayées ? Quelles nouvelles idées ou envies cela vous donne-t-il pour la suite ?
Intention : Simplifier les processus pour maximiser l'efficacité et l'inclusion de tous les participants.
Divergence/idéation La phase de divergence, c’est le moment où toutes les idées sont les bienvenues, même les plus folles. C’est comme un brainstorming où l’on libère sa créativité. "Imaginez que vous êtes en train de récolter des étoiles : plus vous en attrapez, plus le ciel devient lumineux."
Outils :
LE DÉFI 18 = CONVERGENCE

LE DÉFI 18 = CONVERGENCE
Et / ou
Top 3 : En famille, choisissez ensemble les trois idées les plus réalisables et pertinentes parmi celles proposées, et planifiez comment les mettre en œuvre.
LE DÉFI 18 = CONVERGENCE
Et / ou
Top 3 : En famille, choisissez ensemble les trois idées les plus réalisables et pertinentes parmi celles proposées, et planifiez comment les mettre en œuvre.
Objectif : Que chacun puisse vivre avec le résultat consenti
Après l'émergence, il faut converger, c’est-à-dire trier les idées pour se concentrer sur les plus pertinentes. C’est comme passer un tamis pour garder les pépites d’or. "Quand vous convergez, vous transformez un océan d’idées en un ruisseau clair et précis."
La phase de convergence intervient à la fin d'une réunion de groupe pour parvenir à une conclusion commune. Elle peut se produire après l'émergence de plusieurs propositions, d'une seule proposition ou en l'absence de proposition.
La gestion par consentement : une vidéo pour la vivre
LE DÉFI 19 = GÉRER LES TENSIONS

LE DÉFI 19 = GÉRER LES TENSIONS
Les sentiments et points de vue des personnes impliquées.Proposer une solution constructive pour gérer la tension.
Comment cette solution favorise-t-elle une meilleure communication et compréhension ?
Est-elle utilisable pour résoudre des tensions similaires?
LE DÉFI 19 = GÉRER LES TENSIONS
Les sentiments et points de vue des personnes impliquées.Proposer une solution constructive pour gérer la tension.
Comment cette solution favorise-t-elle une meilleure communication et compréhension ?
Est-elle utilisable pour résoudre des tensions similaires?
Intention : Maintenir un climat de travail harmonieux et productif, même face à des désaccords.
Gérer les Tensions : Étapes Clés pour Transformer les Conflits en Collaboration
Les tensions peuvent surgir dans n'importe quel contexte : au sein de la famille, au bureau, ou dans un groupe citoyen. Qu'il s'agisse d'un "bonjour" un peu agressif ou d'une mésentente plus profonde, il est essentiel de savoir comment apaiser les tensions et trouver des solutions. Voici comment transformer un conflit en collaboration harmonieuse et maintenir un esprit d'équipe fort et positif.
1. Être à l’Écoute pour Anticiper les Conflits
Écoute active et présence :
Pour anticiper les tensions, il est crucial d’être à l’écoute et présent. Que ce soit en famille, au travail, ou dans une association, votre présence régulière aide à identifier les signes avant-coureurs de conflits. Soyez attentif à la communication verbale et non verbale : ton de voix, expressions faciales, gestes... Prenez le temps de discuter individuellement avec les membres pour comprendre leur ressenti et leurs préoccupations.
Entretien régulier :
Organisez des entretiens individuels réguliers pour discuter du quotidien, des interactions avec les autres, et des éventuelles tensions ressenties. Soyez attentif aux signes de malaise : hésitations, regards fuyants, gestes répétitifs. Demandez également si des tensions sont perçues dans le groupe.
2. Connaître Chaque Point de Vue
Rencontres individuelles :
Lorsqu'une tension est identifiée, rencontrez chaque partie prenante séparément dans un cadre informel pour désamorcer le conflit et libérer la parole. Demandez-leur de raconter les faits sans interruption ni jugement. Écoutez avec empathie et interrogez leurs émotions et sentiments.
Recueillir des points de vue :
En procédant ainsi, vous ne prenez pas parti et permettez à chacun de s’exprimer. Vous identifierez rapidement les causes du conflit et pourrez parfois constater qu'il s'agit simplement d’un malentendu ou d’un problème de communication.
3. Comprendre la Cause du Conflit
Identification des causes :
Analysez les points de vue recueillis pour identifier la nature du conflit : relationnel (communication, gestion des émotions, personnalités) ou organisationnel (objectifs, responsabilités, clarté des rôles).
Qu’est-ce qui a déclenché la tension ?
Quels sont les sentiments des parties impliquées ?
Comment chaque personne envisage-t-elle la suite de la collaboration ?
4. Jouer le Rôle du Médiateur
Réunir les parties :
Réunissez les parties impliquées dans un cadre propice à la discussion, formel ou informel. En tant que médiateur, gérez le temps de parole, reformulez les propos pour validation, et maintenez un ton calme et apaisé.
Rappels et règles :
Rappelez les raisons de la réunion et imposez des règles de communication : ne pas interrompre, écouter activement, se mettre à la place de l’autre avec empathie.
Encourager l’expression :
Encouragez les participants à exprimer leurs émotions et à verbaliser leur ressenti. Utilisez des questions pour aider à clarifier les malentendus :
Qu’est-ce qui vous a contrarié ?
Quelle attitude a perturbé votre équilibre ?
Qu’aimeriez-vous voir changer pour éviter cette situation à l’avenir ?
5. Trouver un Accord pour Maintenir l’Équilibre
6. Suivre l’Évolution du Conflit
Suivi régulier :
Faites un suivi régulier des parties concernées pour évaluer l’évolution des relations et des tensions. Organisez des points individuels et collectifs pour discuter des progrès et ajuster les stratégies si nécessaire.
Rapprochement progressif :
Si une neutralisation a été nécessaire, envisagez un rapprochement progressif en les impliquant dans des projets communs pour renforcer leur collaboration.
7. Anticiper les Futures Tensions
Renforcement de la cohésion :
Favorisez les échanges constants et valorisez l’entraide, la solidarité, et la bienveillance. Organisez des moments conviviaux pour renforcer les liens personnels entre les membres du groupe.
Formez les membres à la communication positive et à la compréhension des différents modes de communication. Encouragez la tolérance et la bienveillance pour mieux composer avec les différences de chacun.
Le jeu de la réunion

- Accompagner les solutions
- Ouverture
- Constituer une équipe locale
Retour d'expériences sur cet outil
Le rôle a pour mission de présenter une proposition sur l’utilisation de l’argent de l’asso et de l’acceptation de nouveaux membres ou pas au Coeur
Les réunions coeur ont maintenant lieu le lundi de 11h30 à 12h30, une décision coeur nécessite 4 membres de l'association, et doit être renseignée sur le wiki puis partagée sur le sujet Telegram dédié
Le stade de la Maladière à Dijon
Le Territoire
Le Cadre du projet
Description du projet
Le stade de la Maladière, 12000 m2 en plein coeur de la ville, est dédié au sport en accès libre et est très utilisé par les Dijonnais.
La ville de Dijon souhaite le réaménager, notamment suite à la demande il y a quelques années de jeunes Dijonnais pour un city stade.
Afin de proposer un projet ambitieux et adapté, la Ville a souhaité intégrer la population dans la définition du projet, et notamment en phase programme.
Pour le commanditaire, il était important que le stade de la Maladière soit encore plus fréquenté et réponde aux envies des dijonnais. Pour cela, la ville porte la volonté d'élargir les usages dans la mesure du possible pour toutes tranches d’âge, et donner envie aux gens qui n’en font pas encore de pratiquer le sport, tout en conservant ce qui en fait déjà un lieu d’activité fréquenté.
La concertation menée visait à définir le cahier des charges du futur lieu, en partant des usages, des besoins et des envies des Dijonnais.
L'intention était de s’appuyer sur l’expertise d’usage des habitants pour concevoir un lieu adapté à leur vie et à leurs envies, qui les motivera dans la pratique de leurs activités ludiques et sportives.
La démarche s'articulait en cinq étapes :
- Phase 1 - Echelle du quartier : Résidence territoriale de 10jours ; Conception et animation d’une journée participative et festive ; Enquête auprès des acteurs du quartier ; Recueil des ressentis sur la démarche ; Récolte des avis sur le stade actuel, des besoins et des envies.
- Phase 2 - Echelle de Dijon - Enquête de consultation élargie sur le stade actuel, sur les besoins et les envies des Dijonnais.
- Phase 3 - Animation d’un atelier participatif pour co-construire le cahier des charges du futur lieu à travers des enjeux programmatiques définis par les usagers. Atelier 1 : des résultats d'enquête au rêve collectif
- Phase 4 - Animation de deux ateliers participatifs pour co-construire des propositions et sélectionner les meilleures options pour le futur lieu. Atelier 2 : du rêve au scénarios potentiels ; Atelier 1 : des scénarios au projet
Retour d'expérience
- Nous avons pensé la démarche participative avec un fil conducteur sur l'idée de "Passage de témoin". Chaque phase de la démarche permettait d'alimenter la suivante, en permettant aux participant.es de s'approprier les éléments et les productions existants.
- Grâce aux talents de Frédérique Assal de Pôles en Pomme, nous avons pu créer une identité visuelle autour du projet et des rendus graphiques, pour renforcer cette idée de fil continu et pour faciliter l'approriation des résultats d'enquêtes par le plus grand nombre.
Livrable Phase 2 -enquête élargie : Livrable Phase2
Données brutes anonymisées : donnees_brutes_anonymisees.xlsx (0.2MB)
Livrable Atelier 1 - enjeux programme : CR_ATELIER_1
Livrable Atelier 2 - maquettages :CR_ATELIER_2
Livrable Atelier 3 - proposition :CR_ATELIER_3
Questionnaire d'évaluation finale : Questionnaire évaluation Participation auprès des participants

- 10 jours de résidence à la rencontre des acteurs et riverains du quartier.
- 1 journée festive avec au moment fort 135 personnes présentes.
- 1 enquête recevant 750 réponses, dont 300 d'usagers réguliers du stade.
- 3 ateliers participatifs :
- partir des besoins et des envies pour construire le rêve collectif et définir les enjeux à défendre ;
- fabriquer des scénarios possibles pour le futur stade grâce au maquettage ;
- comprendre et bonnifier la proposition des paysagistes, pensée à partir de tous les éléments récoltés.
- 6 Enjeux à défendre : multi-usages ; multi-sport ; calme ; nature ; accessibilité ; sécurité.
- 3 scénarios maquettés par les participant.es
- 1 proposition coconstruite pour permettre d'engager les études de conception.
- 5 propositions concrètes faites à la ville et à la maîtrise d'oeuvre pour poursuivre la dméarche participative en phase études et travaux.
- Yannick : Ca a été pour moi un projet très apprenant, qui m'a permis de mieux appréhender la pression que crée les processus d'une grosse collectivité pour ses agents et de me rassurer sur le fait que notre posture de coopération est solide. Le fait de travailler avec des architectes paysagistes nous a aussi permis de lier nos outils à une véritable mise en oeuvre concrète. Ce projet m'a montré aussi que rien n'est jamais gagné, une seule personne peut, avec quelques paroles maladroites ou par son attitude, amocher la confiance entre la collectivité et les habitants.
- Frédérique : Enthousiasmant, motivant de par son côté apprenant.Ce projet concret m'a permis d'appliquer (tester) mes convictions en terme d'importance du "climat" pour favoriser l'intelligence collective, et qu'utiliser la collaboration visuelle comme ancrage mémorial était un plus pour permettre à chaque partie prenante de se sentir inclus et donc légitime dans un projet citoyen qui le concerne de près ou de loin. Ce projet m'a conforté dans nos valeurs de coopération, en effet tel des funambules, notre posture a su grâce au prendre soin, l'envie de grandir ensemble et l'authenticité, conserver l'équilibre parfois délicat nous permettant de conserver notre ligne fédératrice que la coopération permet de réaliser ensemble des choses plus grandes qui paraissent parfois voir souvent inaccessible.
- Charlène : J'ai apprécié intervenir sur une démarche de participation liée à un projet d'urbanisme opérationnel. Nous étions au coeur des interactions entre habitants, équipe de maîtrise d'oeuvre, élus et agents de la ville, avec notre posture de tiers neutre que nous avons tenté de maintenir tant bien que mal tout du long. Je crois que ce projet a permis de créer quelques espaces d'échanges et de coconstruction entre les parties prenantes, au service du futur équipement public et de la vie de quartier de la Maladière. L'équilibre entre les intentions et les enjeux de chacun reste délicat à trouver, et je souhaite au futur lieu d'être aussi riche que les envies et les besoins exprimés par toutes et tous lors de la démarche !
Lettre adressée personnellement
- Je suis malentendant
- J’habite dans une zone reculée
- Je travaille de nuit
- Je suis résident secondaire
- Je ne suis pas inscrit sur les listes électorales
- Je suis à l’école primaire
- Je suis au collège
- Je suis au lycée
- Je suis commerçant
- Je ne sors jamais de chez moi
- Je ne fais pas confiance à l’administration
- Je ne me suis pas préalablement inscrit au service

Retour d'expériences sur cet outil

Connecte toi à notre compte, like, réagis, partage...
Chaque lundi en plantation tu peux faire des suggestions de post...Astuce :
si tu mets à jour ton profil en mentionnant ton poste à Solucracy, cela apparaîtra.Ln - Organiser un prochain temps collectif pour discuter de la suite de la Gestion des tensions/conflits au sein de Solu, suite à la formation sur la gestion des conflits du lun 6/2 (Yannick), en s'inspirant des ressources de Presence Active (Charlene), en intégrant le schema / discussions déjà amorcés (Circé et Fred)
Ludovic MAMDY

Je vis à Blois depuis 3 ans mais j'ai vécu dans beaucoup d'endroits différents (depuis l'ouest, jusqu'au Massif Central :-)) aux Pyrénées ou en Provence.
Depuis 5 ans, formateur-consultant, j’interviens auprès de Collectivités, de Tiers Lieux, de collectifs d'entrepreneur.euses de trois façons :
- sensibilisation et formation aux enjeux, stratégies et solutions pratiques pour une résilience agricole et alimentaire à l'échelle territoriale vers des publics variés et mixés autant que faire se peut (élu.es, agent.es, citoyen.nes, étudiant.es, lycéen.nes). J'adore monter des ateliers collaboratifs tournés vers l’action en m'adaptant aux besoins et de préférence à plusieurs (fresques agri’alim, projections-débats et conférences sur la résilience alimentaire, formation-action d'élu.es, rencontres de garantie participative agriculteurs consommateurs sur les fermes...).
- accompagnement stratégique alimentaire et agricole pour les collectivités (c’est ce que je fais le plus aujourd’hui et ce qui “met du beurre dans les épinards”), via des Projets Alimentaires de Territoire ou des Plans Climat. Dans ce cadre, je propose aussi les dispositifs de sensibilisation formation cités au-dessus. En plus, je réalise des diagnostics territoriaux agri-alimentaires et j'accompagne la création d’outils économiques (AMAP, marchés, magasins collectifs, groupements d’employeurs, étude marchés…)
- rédaction et coordination de documents de capitalisation de pratiques, articles de presse à base d’enquête, guides pratiques et méthodologiques, ou études (sur l’installation agricole, la transmission de fermes ou la stratégie commerciale de proximité).
Lydia Thiérus

Mahdi Ben Abdallah
Il aime décortiquer les choses et apporter un avis critique qui prends en compte les inattendus, la gestion des risques, la mobilisation de personnes en bienveillance et motivation. Il aime bien aider à mettre en place des projets, des routines, pour que les personnes concerné.e.s prennent les choses en mains et qu'iels s'y sentent bien
Sans jugement
Sans opposition
Accueil de la différence des gens et des idées
Ecoute
Communication
Transparence"

Email :
C'est pour ça qu'il est important d'avoir quelques règles de bonne conduite :- 1. Répondre à tous uniquement si votre réponse est intéressante pour tout le monde
- 2. Bien cibler les personnes qui doivent recevoir le message, n'utiliser les listes de distribution que lorsque c'est nécessaire
- 3. Etre très précis dans l'objet du mail
Pour faciliter la communication, nous avons plusieurs listes de distribution :
accompagnateurs-solucracy[at]googlegroups.com
membres[at]solucracy.org
Manuel de coopération en milieu hostile

C'est ici !
- Accompagner les solutions
- Constituer une équipe locale
Retour d'expériences sur cet outil
Manuel de coopération en milieu hostile
Mayot & Toussaint, paysagistes concepteurs

Méthode V2 : Chaos fertile le 6/12 à 15h
Méthode V2Temps type Chaos fertile pour définir plan d’actions en décembreYannick demande à Fred qui accepteTravail en asynchrone début 2023 Charlène garante du suivi
Mieux vivre ensemble à Commana
- Etape 1 : "prendre connaissance du terrain, constituer une équipe locale et faire remonter les envies" : 3 temps d’immersions où 2 coordinateurs se rendent sur place pour découvrir la commune, les acteurs clés, comprendre le contexte, identifier les enjeux et la dynamique participative, constituer une équipe d’habitants bénévoles et faire remonter les envies des habitants (via un porte-à-porte). A partir des résultats du porte-à-porte (des envies donc), un programme d’ateliers qui aborderont ces envies sera établi.
- Etape 2 : le "chantier collectif" : pendant 10 jours, une dizaine de bénévoles de l'association Courte-échelles va venir animer et proposer des ateliers qui permettent de passer des idées d'envies évoquées suite aux résultats du porte-à-porte à des actions concrètes portées par les habitants avec l'aide des bénévoles de l'association courte-échelle.
- Etape 3 : "évenement de clôture " : on fait le bilan et on décide ensemble quelle suite à donner après la résidence) (2 coordinateurs + jusque 3 bénévoles possibles).
L'organisation du porte-à-porte :
- constitution d'une équipe d'alliés au fur et à mesure des temps d'immersion (une base de données de 29 contacts a été établie)
- formation au porte-à-porte auprès des alliés (2H - 24 participants)
- atelier de co-construction des questions à mettre sur l'accroche-porte (2h - une dizaine de participants). Pour ce faire, nous avions au préalable envoyé un questionnaire aux élus concernant les thèmes qu'ils voyaient aborder dans une démarche de concertation citoyenne. Nous sommes partis de cette base pour identifier les thèmatiques qui pouvaient rassembler les habitants où tous et toutes pouvaient s'identifier. 5 thématiques sont ressorties (mobilité, activité, service, lien social, cadre de vie). Sur ces 5 thématiques, la consigne était de déterminer une question (courte, mots simples, large) par thématique qui allait figurer sur l'accroche-porte. Les 5 questions identifiées sont :
- "Que souhaitez-vous pour améliorer vos déplacements quotidiens ?"
- "Quel(s) service(s) répondraient à vos besoins à Commana ?"
- "Quelle(s) activité(s) (de 0 à 99 ans) aimeriez-vous faire à Commana ?"
- "D'après vous, comment développer les relations entre les habitants ?"
- "Que proposeriez-vous pour améliorer le cadre de vie à commana ?"
Une semaine après la dépose, la collecte s'est organisée : RDV donné à 9h à la mairie pour un rappel des consignes pour récupérer les accroche-portes, les binomes (les mêmes que ceux de la dépose + des nouveaux), se sont répartis les secteurs (les mêmes que pour la dépose) puis sont partis faire leur secteur. Deux personnes (une le matin et une l'après-midi) étaient en charge de rester à la mairie pour réceptioner au fil de l'eau les accroche-portes récupérés et d'envoyer les binomes rentrés vers d'autres secteurs. Chaque binome remplissait le nombre d'accroche-porte récupéré ainsi que la durée passée à faire la collecte sur son secteur sur une feuille de suivi dédiée. Repas partagé pour le midi (pause déjeuner de 1h30 pour ne pas perdre la dynamique sur un temps trop long). A la fin de la journée, il était prévu à 17h30 un temps de bilan (nombre d'accroche-portes récupérés, + ressenti + ce qui a bien marché et moins bien marché sur l'ensemble de la méthode + pistes d'amélioration) Et à 18h buffet-apéro préparé par une habitante (ancienne cuisinière), offert par l'association Courte-échelle.
EN CHIFFRE :
Pour la dépose : 22 bénévoles soit 11 binômes - 506 accroche-portes déposés - plus de 12h30 (soit plus d'une heure par binôme)
Pour la collecte : 21 bénévoles - soit 11 binômes - 106 accroche-portes récupérés le jour même (soit près de 20% taux de réponses) et 188 au total après 5 jours de délai (nous avons laissé la possibiité de déposer l'accroche-pote en mairie encore pendant 5 jours après le jour de la collecte) soit un taux de réponses de 37% - 38H au total pour la collecte soit près de 4h par binôme
- bonne organisation
- la motivation du groupe
- une équipe formidable
- on a eu des retours positifs, des "félicitation" , "belle initiative"
- un bel accueil, bienveillant, toujours correct
- une équipe très nombreuse !
- les habitants ont bien pensé à pincer l'accroche-porte dans leur porte pour ne pas qu'il s'envole
- a permis d'aller au contact
- la forme de l'accroche-porte ne tient pas sur la poignée
- des villages ont été oubliés lors de la dépose
Pour la collecte :
- beaucoup de gens n'ont pas joué le jeu de remettre l'accroche-porte sur la poignée
- aller sonner chez les gens un samedi à 10h c'est trop tôt ! on en a réveillé certain.e.s
- Les questions n'étaient pas très claires, trop large pour certains qui n'arrivaient pas à s'y retrouver
l'accroche-porte :
La question "Que proposeriez-vous pour améliorer le cadre de vie à commana ?" n'a pas été comprise. Les habitants n'ont pas compris qu'il leu était demandé ce que EUX pouvait proposer pour améliorer le cadre de vie. Ils l'ont compris comme " ce qu'il faudrait pour améliorer le cadre de vie"
- faire un angle plus "aigue" de l'accroche-porte pour qu'il se fixe mieux à la poignée
- En cas de pluie, mettre l'acroche-porte dans la boite au lettres plutôt que le laisser sur la poignée et dans ce cas aposer un stickers sur la boite aux lettres indiquant que l'accroche-porte a été mis dans la boîte aux lettres
- indiquer sur l'accroche-porte un lien pour répondre directement en ligne
- annoncer le jour J au mégaphone que des habitants vont venir passer récupérer les accroche-portes
- Mettre des affiches dans les villages passants (ex à côtés des containers poubelles)
- allonger le délai entre la dépose et la collecte (laisser plutôt une dizaine de jours)
MIRO

- Pour gérer la gouvernance de Solucracy : CLIQUE ICI pour rejoindre le board correspondant
- Modèle pour animer et rédiger une proposition CLIQUE ICI pour rejoindre le board correspondant
Si tu souhaites créer un nouveau board possible en te créant un compte gratuit. Si pour un besoin interne à Solucracy contact Rôle IT (Yannick, Florent)
Modèle juridique :Faire une visio avec NPSConsulting pour indiquer qu’on ne prend pas l’accompagnement à ce stade, et que l’on souhaite lever les doutes sur le côté fiscal (confirmer ou non besoin de fiscaliser l’association et contrôl fiscal)Budget disponible : quelques centaines d’euros (autour de 500€)Modèle éco :Sur le % en participation consciente : validation sur le % libre où chaque entrepreneur.se contribue à l’association sur ses missionspartager le principe pendant l’AGen discuter avec son équipe projet concernant le budget du projet, mais décision individuelle sur le donrappeler le principe une fois/an (cadeau de Noël)Sur la co-rémunération : pas de besoin du groupe -> on annule Pour aller chercher des financements de projets : indépendance des entrepreneurs sur leur manière de fonctionner (marchés publics, appel à projets, appels aux collectivités…)ajouter des heures sur nos offres pour la documentation (on demande à une personne de Solucracy extérieure au projet qu’on rémunère)appels à projet : à voir selon les envies des membres, puis validation du coeurporte ouverte possible en partenariat avec une autre association
Modules découvertes CNCD
Le Territoire
Le Cadre du projet
Description du projet
L'enjeu principal identifié était d'encapaciter plusieurs membres des instances de participation, pour qu’ils et elles puissent faciliter l’engagement de l’ensemble des membres dans la durée.
À la fois dans la volonté de mettre en capacité les citoyen.nes pour transformer leur mode de vie, de construire des relations de qualité et surtout de faire ensemble en coopérant au service de la métamorphose des territoires.
Nous avons conçu et animé un parcours apprenant, pour y faire découvrir aux participant.es des clefs permettant de favoriser l'engagement citoyen et la coopération au sein des conseils de développement.
Les clefs que nous avons développées dans ce parcours sont :
- La valorisation des individualités au sein du groupe
- La construction d'une identité commune
- L'adoption d'un état d'esprit coopératif
- L'utilisation de méthodes collaboratives
- Le partage de la gouvernance
Les objectifs visés pour les participants étaient de pouvoir :
- Expliquer ce qu’est l’intelligence collective et la coopération et en quoi elles sont bénéfiques
pour une instance participative et ses membres.
- Développer une posture coopérative, basée sur écoute, confiance, bienveillance, co-construction.
- Faire évoluer l’animation et le fonctionnement des instances avec cette nouvelle posture.
12 personnes de 6 conseils de développement membres de la CNCD ont pu participer à ce parcours de à 4 modules, de mars à juin 2022.
Un suivi sur l'appropriation et la mobilisation des éléments acquis a été ensuite proposé aux six instances : des membres de Solucracy ont ainsi accompagné la préparation et/ou observé une séance de certaines instances, et fait des retours aux participants.
Retour d'expérience
- Le recueil des attentes et des envies des participant.es en amont de l'élaboration des modules (entretien individuel de 20 à 30mins par participant.e).
- La définition des objectifs et du processus pédagogique, avec l'appui d'une personne experte (un grand merci à Nadine Bagué pour cela !).
- Un temps d'alignement de l'équipe projet au début de la démarche, sur ce qu'on veut faire et comment (idéation sur le processus global).
- Nos réunions de coordination projet commençant par un point "météo/besoins/tensions".
- L'utilisation du support padlet pour animer les modules de manière interactive et mettre facilement des ressources à disposition des participant.es
- La préparation et l'animation des modules en binôme différent à chaque module, avec une personne qui assure la continuité avec le module précédent.
- Le dernier module carte blanche, avec contenu adapté à la demande.
- L'évaluation à chaud et à froid par les participant.es.
- La proposition d'un accompagnement post-modules pour mise en oeuvre au sein des instances. - La diffusion de mails auprès des participant.esg au long du parcours : mail de départ avec toutes les dates du parcours et le lien de connexion unique ; mail post-module pour récap et rappel date du module suivant ; mails de rappel 2 jours avant module ; mail post-parcours avec récap des ressources et lien d'évaluation.
Les visuels utilisés :SOLUCRACY__Modules_apprentissage__Supports_visuels.pdf (1.9MB)
A venir : les déroulés détaillés d'animation :)

- Un groupe de 12 personnes de 6 Conseil de développement différents mobilisés, la majorité ayant participée à au moins la moitié des modules.
- Un parcours de 4 modules d'apprentissage autour de l'engagement et la coopération, dédié aux instances de participation citoyenne.
- Un fonctionnement d'équipe projet fluide après un premier temps d'ajustement nécessaire.
- Une belle dynamique de groupe qui se crée avec un noyau de participant.es et l'envie de partager et d'apprendre ensemble.
- Un lien de confiance et enrichissant avec la CNCD.
- Le développement d'un nouvel outil libre Solucracy !
- Nous avons appris de cette expérience, et pour les prochaines fois gardons en tête de :
- Prendre un peu plus de temps pour l'alignement initial de l'équipe projet et la construction du fil rouge du processus avant répartition des modules.
- Intégrer plus de temps de coordination au budget projet.
- Prévoir un temps en équipe complète avec le commanditaire, et éviter que ce lien repose uniquement sur une personne.
- Aller au plus simple dans le contenu, ne pas utiliser trop d'outils.
- Donner plus de visibilité et clarifier les intentions des accompagnements post-modules (nous sommes intervenus dans 3 CODEV sur les 6).
- Donner encore plus de place aux participants pour qu'ils animent eux-mêmes durant les modules.
- Se raccrocher à plus de théories/recherches/résultats de communauté apprenante sur ces sujets.
Lydia :
Hélène :
Charlène : Une trés belle expérience de co-construction, de partage de pratiques et de transmission :)
Newsletter
- Je suis malentendant
- J’habite dans une zone reculée
- Je travaille de nuit
- Je suis en prison
- Je suis en Ehpad
- Je suis sans domicile fixe
- Je suis résident secondaire
- Je ne suis pas inscrit sur les listes électorales
- Je suis à l’école primaire
- Je suis au collège
- Je suis au lycée
- Je ne lis jamais mon courrier
- Je suis de passage sur le territoire
- Je suis uniquement usager du territoire
- Mon ou ma conjointe gère tout pour moi
- Je suis commerçant
- Je ne sors jamais de chez moi
- Je suis sous tutelle
- Je ne fais pas confiance à l’administration
- Je suis sans papiers

Retour d'expériences sur cet outil
Nous allons déclarer les reçus fiscaux envoyés pour se mettre en conformité avec la loi, Yannick fait la démarche
Nous avons ajouté une ligne de temps dans notre matrice pour prioriser selon le temps que chaque sujet prend dans la réunion coeur
Nous prenons la décision de ne pas faire la démarche de demande de rescrit fiscal
Occurrence des réunions cœur qui passe à toutes les deux semaines.
Ok pour mettre en pause les projets Nous : compétences + mentoringDev projets : boite à questions + GT CAF / PVD / SoluclimatPour tous les projets en pause, besoin de bien clôturer le travail et de rendre visible au groupe l’état d’avancement.C’est OK de voir que les énergies sont fluctuantes, priorité aux projets où il reste de l’énergie.Porte de check sur l’année sur nos rôles pendant les Soludays et entre avec le coeur-> Discussion après la réunion collective sur la réévaluation de la gouvernance et des rôles-> Yannick prépare et envoie un mail récap Soludays
Ok pour ré-Adhérer à BBZ pour 2024 pour la somme de 100€ ? (vote sur Télégram)
Ok pour ré-adhésion à Démocratie Ouverte en 2024
On déménage le nouveau fonctionnement au milieu du Miro
On ne relance pas les nouvelles personnes à qui on a proposé d’adhérer à l’association (Daniel R, Mai-lien, Mélanie P)
Organisation d’un temps de positionnement éthique sur la notion de “Co-rémunération” au sein de Solucracy (nouveau modèle économique)
Organiser Noel c'est aussi coopérer !
Dans ma famille (comme dans beaucoup d'autres !), la femme la plus âgée invite la famille pour Noël : un grand repas, des cadeaux (spoiler alerte : le père Noël est une femme !), voire de l'hébergement sur plusieurs jours. Et quand la femme la plus âgée est trop fatiguée pour le faire c'est sa fille qui prend le relais.
Ma grand-mère a assumé cette charge sans la questionner jusqu'à ses 80 ans.
Puis ma mère s'en ait chargé. Autre génération, autre rapport au don de soi ! Elle a râlé mais elle l'a fait. Puis d'année en année elle râlait de plus en plus tôt dans l'année, elle réussissait à formuler des demandes d'aide.
Entre mon travail sur la coopération, mes lectures féministes et mon amour pour ma mère, je ne pouvais rester sourde à ces demandes !
J'ai pu affiner avec ma mère les tâches stressantes, pesantes : en particulier la logistique en amont de Noël et aussi la répartition des tâches pendant notre séjour chez elle.
Comme nous n'habitons pas toustes dans la même région et que ma mère avait besoin de traces écrites, j'ai créé un wiki (https://quincaillere.org/noel). On y trouve :
- une liste des tâches et qui s'y colle (ça nous a forcé·es à lister et à répartir, à clarifier ce qui était implicite )
- un pad par personne pour faire sa liste de cadeaux (trouver des idées c'est du boulot aussi !)
- un formulaire pour cocher ce qu'on commande individuellement chez le traiteur et donc in fine une liste claire pour passer la commande avec les articles et les quantités
- un calendrier pour préciser qui vient quand
- compétences autour de la coopération : entendre le besoin, partager les responsabilités ...
- sensibilité féministe
- compétence technique YesWiki
- assumer la tension entre l'outil numérique et la convivialité : mettre du numérique aussi peu que possible, autant que nécessaire
- oser utiliser mes compétences pro dans un contexte familiale
Noël revient tous les ans donc on réutilise ce wiki. On peut le questionner, l'améliorer, voir les fonctions les plus utilisées.
L'évolution des mentalités qui nous a poussé à faire évoluer ce que ma grand-mère avait fait jusque là.
Plusieurs membres de ma famille s'intéressent de près à l'informatique : c'était ludique pour eux et ça a aidé l'adoption du wiki.
- interviewer ma grand-mère sur ce que ça lui a couté / apporté d'organiser Noël toute seule toutes ces années
- vérifier si ma mère, qui fonctionne beaucoup avec des papiers, complète voire copie le wiki sur papier. et voir si c'est ok pour elle.
- demander aux hommes si cette expérience a déclenché des prises de conscience
Outil de messagerie numérique
- Je suis malentendant
- J’habite dans une zone reculée
- Je travaille de nuit
- Je suis en Ehpad
- Je suis sans domicile fixe
- Je suis résident secondaire
- Je ne suis pas inscrit sur les listes électorales
- Je suis à l’école primaire
- Je suis au collège
- Je suis au lycée
- Je ne lis jamais mon courrier
- Je suis de passage sur le territoire
- Je suis uniquement usager du territoire
- Mon ou ma conjointe gère tout pour moi
- Je suis commerçant
- Je ne sors jamais de chez moi
- Je suis sous tutelle
- Je ne fais pas confiance à l’administration
- Je suis sans papiers

Retour d'expériences sur cet outil
Page Facebook
Permet de créer des événements
traduction automatique
Les données sont utilisées pour du marketing
- Je ne parle pas français
- Je suis malentendant
- J’habite dans une zone reculée
- Je travaille de nuit
- Je suis en prison
- Je suis en Ehpad
- Je suis sans domicile fixe
- Je suis résident secondaire
- Je ne suis pas inscrit sur les listes électorales
- Je suis à l’école primaire
- Je suis au collège
- Je suis au lycée
- Je ne lis jamais mon courrier
- Je suis de passage sur le territoire
- Je suis uniquement usager du territoire
- Mon ou ma conjointe gère tout pour moi
- Je suis commerçant
- Je ne sors jamais de chez moi
- Je suis sous tutelle
- Je ne fais pas confiance à l’administration
- Je suis sans papiers

Retour d'expériences sur cet outil
Panneau d'affichage papier
- Je suis malentendant
- Je travaille de nuit
- Je suis sans domicile fixe
- Je ne suis pas inscrit sur les listes électorales
- Je suis à l’école primaire
- Je suis au collège
- Je suis au lycée
- Je n’utilise pas d’outils numériques
- Je ne lis jamais mon courrier
- Je suis de passage sur le territoire
- Je suis uniquement usager du territoire
- Mon ou ma conjointe gère tout pour moi
- Je suis commerçant
- Je suis sous tutelle
- Je ne fais pas confiance à l’administration
- Je suis sans papiers
- Je ne me suis pas préalablement inscrit au service

Retour d'expériences sur cet outil
Panneau numérique
- Je suis malentendant
- Je travaille de nuit
- Je ne suis pas inscrit sur les listes électorales
- Je suis à l’école primaire
- Je suis au collège
- Je suis au lycée
- Je n’utilise pas d’outils numériques
- Je ne lis jamais mon courrier
- Je suis de passage sur le territoire
- Je suis uniquement usager du territoire
- Mon ou ma conjointe gère tout pour moi
- Je suis commerçant
- Je suis sous tutelle
- Je ne fais pas confiance à l’administration
- Je suis sans papiers
- Je ne me suis pas préalablement inscrit au service

Retour d'expériences sur cet outil
Parcours - Favoriser l'engagement et la coopération dans les instances de participation

Ces modules permettent de faire découvrir aux citoyens des clefs pour favoriser l'engagement et la coopération au sein des instances, comme :
- La valorisation des individualités au sein du groupe
- La construction d'une identité commune
- L'adoption d'un état d'esprit coopératif
- L'utilisation de méthodes collaboratives
- Le partage de la gouvernance
Les objectifs visés pour les participants sont de pouvoir :
- Expliquer ce qu’est l’intelligence collective et la coopération et en quoi elles sont bénéfiques
pour une instance participative et ses membres.
- Développer une posture coopérative, basée sur écoute, confiance, bienveillance, co-construction.
- Faire évoluer l’animation et le fonctionnement des instances avec cette nouvelle posture.

- Ouverture
- Constituer une équipe locale
- Les padlets types des modules, à dupliquer : MODULES DE DECOUVERTE
- Les déroulés type des modules : SOLUCRACYPARCOURSDEROULETYPEMODULES.xlsx (0.2MB)
- Les visuels utilisés dans les modules : Visuels sous CANVA à dupliquer
Retour d'expériences sur cet outil
La CNCD - Où tout a commencé :)
Animation de modules auprès de membres de la CNCD
Pezilla Olivier

En parallèle, j'ai poursuivi mon activité en crèche, et avec une école Montessori pendant 2 ans. Cette dernière expérience m'a permis de consolider mon approche et mes relations aux gens et aux parents. Cela m'a aussi aidé pour mieux visualiser les représentations.
Avec Fred, on a eu l'opportunité de collaborer sur le RNIT, puis j'ai participé au projet sur Dijon avec des membres de Solucracy. Ma réflexion aujourd'hui c'est vraiment d'aller plus loin. Je vais d'ailleurs commencer une formation avec Joris pour compléter mes connaissances comme facilitateur et être plus à l'aise sur ma posture.
Depuis 2 ans et demi, j'ai également lancé un projet de vie collectif avec la ferme des fromentaux (Haute-Loire).C'est une démarche qui est importante à mes yeux pour mieux travailler ensemble. J'y apprends nombre d'outils. Apprendre à vivre avec le collectif, c'est crucial pour moi = je recherche le sens et la cohérence. J'ai aussi lancé la construction de ma maison, une yourte, avec ma compagne, agricultrice, qui vend des plantes et des fleurs comestibles.
Pour me sentir bien, j'ai besoin de tolérance et de remise en question pour bousculer et être bousculé aussi.
Philippe Garcin

Les éléments chimiques qui me composent ont 14 milliard d'années !!
J'ai 3 enfants (en 2023 : 29,27,7). Déconstructions en cours pour retrouver quelque chose d'authentique, des élans que je ressentais, mais que je ne suivais pas (cohabitation homo economicus avec le reste du vivant, les communs comme alternative à la propriété individuelle).
Professionnellement, je viens de l'économie traditionnelle (création d'entreprises). Fortement ancré dans l'entrepreunariat social. Créateur de structures et accompagnement des dirigeants. éveil aux enjeux climat / changement de civilisation depuis 2018.
Actuellement bénévole à la CEC Bourgogne-Franche-Comté (où on travaille en gouvernance partagée), salarié du Centsept à Lyon (Innovation sociale et coopération), co-président de Le-Lichen.org et membre d'Oxalis sous la marque "In Hominé".
Pratiquer / expérimenter / s'interroger.
Se connaître et prendre des habitudes de travail.
Pierre Magdinier
(1 et 4 ans)
Étude de géographie / aménagement sur la ville et environnement
Expérience pro
- Accompagnement de propriétaires privés au montage de programmes de réhabilitation
(La Réunion puis Lyon)
- Maitrise d’œuvre sociale (lien entre les habitants et le chantier de réhabilitation qui les
touche) : entre collectivités/acteurs sociaux de l’habitat/habitants
- 2013 : indépendant. Expérience de travail en collectifs
- 2021 : Oxalis / Vie to B, en CESA depuis 1 an. Collectif « Graine d’usages » : Assistance en
Maitrise d’Usages.
Réussir à m’y retrouver : comprendre ce qui se passe, comment ça se passe.
Est-ce un réseau de gens proches qui collaborent au coup par coup, ou un collectif qui mutualise du boulot.
PLANTATION CHAQUE LUNDI
Comme vous le savez, une des valeurs de Solucracy est de grandir ensemble, pour soi et pour les autres.
Du coup, on a mis en place une réunion hebdomadaire dédiée à la plantation de Solucracy. On y parle aussi des marchés publics, des opportunités pour lesquels on souhaite organiser une réponse.Elle a lieu le lundi de 10h30 à 12h30 .
Trouves ci dessous ;
- le lien pour nous rejoindre !
- le lien vers l'Ordre du Jour Collaboratif : "Plantation" sur lequel tu peux ajouter des points quand tu le souhaites. Ce support permet également d'avoir un déroulé précis de ce temps
- le lien vers un guide dédié
Si vous souhaitez signaler une opportunité, il vous suffit de remplir [ce formulaire]
(https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSdIaRPtrciK0hKSmxrWd4lazrqtx-055DstYcXNm6wnRPEaNQ/viewform){.newtab} et on pourra en discuter en réunion Plantation. Ou si c'est pressé, on enverra un mail à tout le monde avant.
PLUI Haut Jura St Claude
Le Territoire
Le Cadre du projet
Description du projet
Retour d'expérience
Enquête auprès des élus communaux, export framaform (22.1kB)
Gogocarto (document de configuration à renommer en .json au lieu de .txt) : Carto collaborative Gogocarto (45.3kB)
Données Brutes Enquête HJSC
Restitution enquête
Restitution des ateliers PADD - 10-11 Octobre 2024 (3.8MB)
Podcast Solucracy : pas prioritaire, on lâche pour l’instant -> dans le nuage de feu pour réappropriation par les nouveaux membres du coeur à l'avenirAgréments de Formation : on s’appuie sur des structures externesRefection site internet : plutôt basculer sur le wiki, pas besoin de demander à un prestataire pour le refaire, trop tôtAnimation réseaux sociaux : Yannick continue à un post par semaine gratuitement
Pôles en pomme

Un collectif de personnes, d'expériences, de savoirs faire et être. Une pépinière d'actions et de réflexions bouturables à souhait, pour réenchanter l'espace public, provoquer du pouvoir d'agir et colporter la bonne humeur...
Pôles en pomme se donne pour objectif général d’accompagner les citoyens vers une meilleure compréhension du monde qui nous entoure, afin de renforcer leurs capacités à s’engager individuellement et collectivement dans des alternatives porteuses de changement social et dans le but de mieux vivre ensemble.
Porte à porte
-Faire vivre un moment d'écoute
-Communiquer les informations importantes
-Obtenir une vision riche du territoire
- Faire émerger les besoins des habitants
- Référez-vous à la méthode pour avoir plus d'informations
- Modèle d'accroche porte à copier et éditer sur Canva et à envoyer à l'imprimeur : Vérifiez bien avec votre imprimeur que le format lui convient AVANT de commencer à le modifier :-)
- Document modèle pour traiter les réponses
- Par exemple, pour un porte à porte sur 400 foyers en maisons individuelles, il faut compter environ 35h. Si vous avez une équipe de 10 personnes, ça fait 3,5h par personne (sans compter l'apéro), donc vous pouvez le faire en une demie journée.
- Pendant le porte à porte, s'ils n'ont pas rempli l'accroche porte, 2 possibilités : Soit le remplir avec eux, soit leur demander de le remplir et le mettre sur leur poignée de porte pour qu'on passe le récupérer 10mn plus tard
- Bien noter les emails en MAJUSCULES pour que ça soit lisible
Retour d'expériences sur cet outil
Damparis
La dépose pendant la journée en résidence, on aurait pu morceler mais on a tout fait d'un coup
Le faire avec les élus et les coacher sur la posture d'écoute par la même occasion
Une petite question "vous aimez vivre à Damparis: un peu, beaucoup, à la folie, pas du tout"
Le vent et la pluie sont les enemis de l'accroche porte
On en a mis beaucoup sur les boites aux lettres plutôt que sur les poignées de porte
Commencer les questions sur les accroches porte par du négatif (cesser)
Mieux vivre ensemble à Commana
- Etape 1 : "prendre connaissance du terrain, constituer une équipe locale et faire remonter les envies" : 3 temps d’immersions où 2 coordinateurs se rendent sur place pour découvrir la commune, les acteurs clés, comprendre le contexte, identifier les enjeux et la dynamique participative, constituer une équipe d’habitants bénévoles et faire remonter les envies des habitants (via un porte-à-porte). A partir des résultats du porte-à-porte (des envies donc), un programme d’ateliers qui aborderont ces envies sera établi.
- Etape 2 : le "chantier collectif" : pendant 10 jours, une dizaine de bénévoles de l'association Courte-échelles va venir animer et proposer des ateliers qui permettent de passer des idées d'envies évoquées suite aux résultats du porte-à-porte à des actions concrètes portées par les habitants avec l'aide des bénévoles de l'association courte-échelle.
- Etape 3 : "évenement de clôture " : on fait le bilan et on décide ensemble quelle suite à donner après la résidence) (2 coordinateurs + jusque 3 bénévoles possibles).
L'organisation du porte-à-porte :
- constitution d'une équipe d'alliés au fur et à mesure des temps d'immersion (une base de données de 29 contacts a été établie)
- formation au porte-à-porte auprès des alliés (2H - 24 participants)
- atelier de co-construction des questions à mettre sur l'accroche-porte (2h - une dizaine de participants). Pour ce faire, nous avions au préalable envoyé un questionnaire aux élus concernant les thèmes qu'ils voyaient aborder dans une démarche de concertation citoyenne. Nous sommes partis de cette base pour identifier les thèmatiques qui pouvaient rassembler les habitants où tous et toutes pouvaient s'identifier. 5 thématiques sont ressorties (mobilité, activité, service, lien social, cadre de vie). Sur ces 5 thématiques, la consigne était de déterminer une question (courte, mots simples, large) par thématique qui allait figurer sur l'accroche-porte. Les 5 questions identifiées sont :
- "Que souhaitez-vous pour améliorer vos déplacements quotidiens ?"
- "Quel(s) service(s) répondraient à vos besoins à Commana ?"
- "Quelle(s) activité(s) (de 0 à 99 ans) aimeriez-vous faire à Commana ?"
- "D'après vous, comment développer les relations entre les habitants ?"
- "Que proposeriez-vous pour améliorer le cadre de vie à commana ?"
Une semaine après la dépose, la collecte s'est organisée : RDV donné à 9h à la mairie pour un rappel des consignes pour récupérer les accroche-portes, les binomes (les mêmes que ceux de la dépose + des nouveaux), se sont répartis les secteurs (les mêmes que pour la dépose) puis sont partis faire leur secteur. Deux personnes (une le matin et une l'après-midi) étaient en charge de rester à la mairie pour réceptioner au fil de l'eau les accroche-portes récupérés et d'envoyer les binomes rentrés vers d'autres secteurs. Chaque binome remplissait le nombre d'accroche-porte récupéré ainsi que la durée passée à faire la collecte sur son secteur sur une feuille de suivi dédiée. Repas partagé pour le midi (pause déjeuner de 1h30 pour ne pas perdre la dynamique sur un temps trop long). A la fin de la journée, il était prévu à 17h30 un temps de bilan (nombre d'accroche-portes récupérés, + ressenti + ce qui a bien marché et moins bien marché sur l'ensemble de la méthode + pistes d'amélioration) Et à 18h buffet-apéro préparé par une habitante (ancienne cuisinière), offert par l'association Courte-échelle.
EN CHIFFRE :
Pour la dépose : 22 bénévoles soit 11 binômes - 506 accroche-portes déposés - plus de 12h30 (soit plus d'une heure par binôme)
Pour la collecte : 21 bénévoles - soit 11 binômes - 106 accroche-portes récupérés le jour même (soit près de 20% taux de réponses) et 188 au total après 5 jours de délai (nous avons laissé la possibiité de déposer l'accroche-pote en mairie encore pendant 5 jours après le jour de la collecte) soit un taux de réponses de 37% - 38H au total pour la collecte soit près de 4h par binôme
- bonne organisation
- la motivation du groupe
- une équipe formidable
- on a eu des retours positifs, des "félicitation" , "belle initiative"
- un bel accueil, bienveillant, toujours correct
- une équipe très nombreuse !
- les habitants ont bien pensé à pincer l'accroche-porte dans leur porte pour ne pas qu'il s'envole
- a permis d'aller au contact
- la forme de l'accroche-porte ne tient pas sur la poignée
- des villages ont été oubliés lors de la dépose
Pour la collecte :
- beaucoup de gens n'ont pas joué le jeu de remettre l'accroche-porte sur la poignée
- aller sonner chez les gens un samedi à 10h c'est trop tôt ! on en a réveillé certain.e.s
- Les questions n'étaient pas très claires, trop large pour certains qui n'arrivaient pas à s'y retrouver
l'accroche-porte :
La question "Que proposeriez-vous pour améliorer le cadre de vie à commana ?" n'a pas été comprise. Les habitants n'ont pas compris qu'il leu était demandé ce que EUX pouvait proposer pour améliorer le cadre de vie. Ils l'ont compris comme " ce qu'il faudrait pour améliorer le cadre de vie"
- faire un angle plus "aigue" de l'accroche-porte pour qu'il se fixe mieux à la poignée
- En cas de pluie, mettre l'acroche-porte dans la boite au lettres plutôt que le laisser sur la poignée et dans ce cas aposer un stickers sur la boite aux lettres indiquant que l'accroche-porte a été mis dans la boîte aux lettres
- indiquer sur l'accroche-porte un lien pour répondre directement en ligne
- annoncer le jour J au mégaphone que des habitants vont venir passer récupérer les accroche-portes
- Mettre des affiches dans les villages passants (ex à côtés des containers poubelles)
- allonger le délai entre la dépose et la collecte (laisser plutôt une dizaine de jours)
Porte à porte à Ferney
- Il faudrait une manière de restituer autrement que juste en partageant dans les boites aux lettres. Pour la création de la synthèse, proposer un gabarit qui reprend les 3 réponses qui sont remontées le plus pour chaque question et pour chacun des points douloureux, interroger les institutions et acteurs locaux sur ce qui existe , a été essayé, et ce qui est en projet. Trouver quelles phrases vont remettre les gens en mouvement sur le sujet Juste donner les résultats ne provoque pas assez de mouvement, en donnant plus d'infos sur ce qui est possible, ce qui a raté et pourquoi etc... ceux qui avaient des positions du type "De toute façon, rien se passe" ou "la solution est simple, il le font pas parce qu'ils foutent rien" vont mettre leur vision de la situation à jour
Porte à porte à Ferney
- Il faudrait une manière de restituer autrement que juste en partageant dans les boites aux lettres. Pour la création de la synthèse, proposer un gabarit qui reprend les 3 réponses qui sont remontées le plus pour chaque question et pour chacun des points douloureux, interroger les institutions et acteurs locaux sur ce qui existe , a été essayé, et ce qui est en projet. Trouver quelles phrases vont remettre les gens en mouvement sur le sujet Juste donner les résultats ne provoque pas assez de mouvement, en donnant plus d'infos sur ce qui est possible, ce qui a raté et pourquoi etc... ceux qui avaient des positions du type "De toute façon, rien se passe" ou "la solution est simple, il le font pas parce qu'ils foutent rien" vont mettre leur vision de la situation à jour
Précision pour l'outil "Déconfiment des émotions"
PRINCIPE 0

Cette phase est importante pour toi et toute l'équipe. Elle te servira à définir comment vous souhaitez fonctionner ensemble, prendre vos décisions, votre vision, les limites à poser et à avoir. Bref, toutes les conversations utiles AVANT que le projet ne soit chargé en enjeux.
PRINCIPE 1

L'endroit où tu vas intervenir ne t'a pas attendu pour faire sa vie. Une multitude d'initiatives, de projets, de tentatives sont déjà en cours. La méthode que nous proposons est prévue pour t'insérer dans cet écosystème, y trouver ta place et savoir comment te rendre utile.
PRINCIPE 1.5

PRINCIPE 2

C'est le moment de la chasse au trésor. Il n'appartient qu'à toi et ton équipe de redoubler de créativité pour aller chercher le non-dit, le besoin qui n'a pas osé s'exprimer jusqu'ici, le manque qui souffre tout seul chez lui de ne pas être reconnu.
PRINCIPE 3

Ici, c'est important de faire appel à une personne qui maitrise la facilitation. Avec elle, vous pourrez créer un espace de convivialité, faciliter le partage de la parole et convoquer l'intelligence et la créativité du groupe.
PRINCIPE 4

Si tout a bien fonctionné dans les étapes précédentes, tu as maintenant quelques projets et actions, et des gens qui se sont positionnés pour les déployer. Mais, tu le sais, le chemin est encore parsemé d'embûches pour tout groupe d'humains qui cherchent à faire des choses ensemble.
PRINCIPE 5

Priorisation de nos travaux = temps dédié à prévoir sur les Soludays.Visibilité sur les travaux en coursPositionnement stratégique : mise à jour des prioritésEvaluation des temps de contribution volontaireLien avec la co-rémunération
Processus de création de Synthèse
prochaine newsletter externe : Circé cherche un binôme pour la prochaine, lien pour interview elusYannick va former Circé et son binôme
Programme de formations internes
Projet Low Tech
Le Territoire
Le Cadre du projet
Description du projet
Retour d'expérience
Projet Pilote
Le Territoire
Le Cadre du projet
Description du projet
Léaz est un village d’un peu plus de 700 habitants (380 boites aux lettres). Il est séparé en 3 hameaux : Grésin, Léaz et Longeray , distants chacun de plusieurs kilomètres et rejoints par une route départementale très fréquentée. L’école, la mairie et la bibliothèque sont toutes les trois sur Léaz. Chaque hameau possède un restaurant bar, bien que l’activité de celui de Longeray soit très limitée.
Retour d'expérience
Les flyers se perdent dans les boites aux lettres avec les pubs = pas idéal
Il est important de bien faire le lien avec l'administration de la commune sur la suite des projets, pour les aider à gérer cette nouvelle énergie et à l'accueillir correctement. ici nous ne l'avons pas fait, le collectif citoyen a été frustré, a monté une liste participative aux élections municipales et repris la mairie.

24 participants à l'atelier : 13 projets
Le porte à porte
Uniquement questions appréciatives
accompagnement de la commune sur le lien avec les groupes projets
Faire le porte à porte avec une équipe locale
Proposition 1 gestion des tensions : une formation collective externe basée sur un processus de gestion des tensions déjà construit, partagée ensuite dans un module d’intégration pour les autres membres du collectif.> Chaque membre du cœur revient avec des intervenants externes potentiels début septembre.
Proposition 2 gestion des tensions :Les différents espaces pour exprimer les tensions sont définis.> Définition d’un processus d'accueil et gestion des tensions.
QPV Levant Les Tattes 2019-2020
Le Territoire
Le Cadre du projet
Description du projet
Retour d'expérience
QPV Levant Les Tattes 2021
Le Territoire
Le Cadre du projet
Description du projet
Retour d'expérience
QPV Levant Les Tattes 2022
Le Territoire
Le Cadre du projet
Description du projet
Retour d'expérience
Ceci a consisté en plusieurs activités :
Un nouveau porte à porte
Nous avons souhaité varier un petit peu les questions en essayant de faire émerger également les projets personnels et en évaluant le niveau de bien-être sur le quartier. Vous trouverez les réponses dans le document ci-dessous.
Nous avons également fait un travail beaucoup plus approfondi avec la ville, l'EVS et Dynacité avant de distribuer la synthèse. L'intention était de déjà communiquer les pistes ou les projets en cours pour répondre aux besoins mentionnés. Cela nous a forcé à faire un travail de pédagogie très intéressant, nous offrant une vision beaucoup plus claire des processus de décision internes.
Les résultats du porte à porte ont été exposés dans les locaux de l'EVS pour que les élus, guidés par l'équipe de la Boussole, puissent en prendre connaissance, et poser leurs commentaires et propositions.
Nous avons ensuite organisé 2 réunions pour trier les propositions, catégoriser ce qui était en cours, terminé, ou juste pas possible, tout en justifiant les choix, ce qui a généré des conversations intéressantes sur les problématiques diverses.
Une frustration malgré tout est de n'avoir pas déployé assez d'énergie sur la restitution physique des résultats. Ils ont été transmis dans les boites aux lettres, mais nous pensons que ce n'est pas suffisant à l'appropriation.
Des animations en soirée
Nous avions prévu 5 soirées apéros sur le quartier. Malheureusement, il n'y a quasiment pas eu de participants à ces événements, à part les représentants les plus motivés de quelques associations locales.
Si c'était à refaire, nous nous appuyerions sur les thématiques apportées par les habitants, avec des affiches ciblées, qui font envie, plutôt qu'une communication trop généraliste.
Une journée d'animation du quartier,un diagnostic en marchant et une carte sensible
Le diagnostic en marchant a été très intéressant et a permis d'aborder les problématiques soulevées par le porte à porte avec tous les acteurs, mettant en évidence quelques leviers d'actions. Nous avions installé quelques panneaux de teasing sur les lieux à visiter, malheureusement, nous les avons posés seulement le jour même.
Une erreur de débutant : nous avions planifié l'événement sur le premier jour du Ramadan ce qui a fortement impacté le nombre de participants.... Sans compter qu'il s'est mis à neiger, le 2 Avril nous forçant à nous retrancher dans la salle des fêtes, beaucoup moins en vue qu'au milieu du quartier. Yannick a fait le tour du quartier avec un mégaphone pour inviter tout le monde mais ça n'a pas eu beaucoup d'effet.
Toutes les associations partenaires exposaient leur activité sur un stand et nous avions imprimé une photo satellite du quartier, interrogeant les gens sur ce qui leur plaisait, leurs endroits favoris, etc... qui a servi de support aux conversations entre les participants.
La prochaine fois, nous prévoieront une date de repli, pour garder l'événement à l'extérieur, dans un endroit visible et aménageront mieux l'espace en réfléchissant à des éléments de déco plus fouillés pour le rendre plus accueillant.
Nous mettrons également plus d'énergie sur la communication en amont.
Annonce diagnostic en marchant
De nouvelles éditions de la gazette
Encore 2 éditions de la gazette. il est important de ne pas baisser les bras, même si la dynamique prend du temps à se mettre en place et de bien penser à travailler autant avec les associations que les habitants, qui ont besoin de partager leurs informations et actualités.
Qu’est-ce qu’on a appris cette année avec ce projet ?
Judith : Questionner plutôt que juger, derrière les comportements des individus, il y a des raisons. Si j’ai un jugement sur l’autre, je dois prendre l’habitude de questionner pourquoi il fonctionne comme ça.
Travailler sur l’animation de quartier, c’est quasiment faire du travail social.
Yannick : On peut avoir autant de gens compétents et pleins de bonne volonté qu’on veut, si les processus et l’organisation n’est pas à leur service, ils vont se retrouver coincés dans leur action.
Toute initiative citoyenne doit être traitée comme si c’était la chose la plus précieuse parce qu’on peut pas juste les inventer ou les fabriquer à partir de rien.
Une seule interaction irrespectueuse peut détruire des mois de travail
Les administrations doivent libérer du temps pour les agents territoriaux et leur faire confiance sur leur capacité à faire leur travail.
Et bonne nouvelle !
notre mission est reconduite sur 2023 ! Avec cette fois-ci, 2 questions auxquelles nous devront répondre :
Comment faire pour que les habitants s'autorisent à faire preuve d'initiative ?
Comment faire pour que les administrations accueillent et soutiennent ces initiatives ?
Bilan du projet
Synthèse du porte à porte
QPV Levant Les Tattes 2023
Le Territoire
Le Cadre du projet
Description du projet
Pour cette dernière année du programme Politique de la ville, il est important pour vous d’autonomiser vos structures pour un service de proximité efficace et respectueux des habitants.
Vous avez exprimé le besoin d’avoir une vision commune pour savoir vers quoi vous allez, sur quels sujets vous pouvez apporter de vraies réponses (posture de co-construction, notamment avec les services) et sur ceux pour lesquels vous n’avez pas la main/ou êtes en difficulté pour répondre, vous aimeriez avoir des éléments de langage bienveillants (ni violents, ni condescendants)
Vous vous demandez comment vous réapproprier la question du travail obligatoire de chacune de vos structures de proximité avec les habitants.
Vous souhaitez mieux communiquer sur les projets réalisés et à venir, avec une relation de confiance réciproque et plus d’interactions avec les habitants.
Il est important pour vous de bien définir les contours et règles du jeu dès le départ pour ne pas créer d’incertitudes ou générer le sentiment de ne pas être écoutés
Retour d'expérience
- Faire un fichier unique pour les contacts : si on veut prendre soin de la relation et ne pas sursolliciter les gens, c'est important qu'on aie une trace des moments où on les a rencontrés et qu'on les tienne au courant
- Préparer un visuel simple des étapes de la démarche pour tout le monde puisse se situer
- Trouver une question à poser, se promener avec un paperboard et amener les gens à en discuter est une excellente manière de rencontrer pleins de gens et de lancer les conversations

- Yannick : Projet très très difficile, mais très très apprenant. C'est ma 4ème année et je ne pourrais malheureusement pas dire que ça a été un succès. Il symbolise pour moi toute la difficulté à faire bouger les administrations, les services sociaux, etc... Un peu l'impression d'avoir généré de faux espoirs, rapidement déçus.
un président = élu , directeur général = fonctionnaire
Plus d'infos : https://www.emploi-collectivites.fr/cdg-centre-departemental-gestion-blog-territorial
Quartier Levant Les Tattes, Ferney-Voltaire (01210)
Ensuite nous avons créé une liste de distribution email, qui permet à chacun de communiquer sur ses événements auprès de tout l'écosystème
Il y a de nombreuses synergies possibles entre les acteurs.
La liste de distribution permet de lancer facilement des appels à contribution pour la gazette participative
C'est dommage qu'il n'y ait pas de moyen pour chaque acteur de mettre à jour ses informations
Les acteurs eux mêmes ne se sont pas suffisamment approprié l'outil qui est sous utilisé
Nous vous proposons de regarder les sites des structures qui les recensent (et qui les mettent à jour !)
Il existe 3 réseaux de collectivités actrices sur ce sujet :
- https://www.frequencecommune.fr/ressources/cartographie
- https://www.labodemocratieouverte.org/reseau/
- https://www.deciderensemble.com/page/975003-trophees-de-la-participation-et-de-la-concertation
Il y a aussi des structures qui les accompagnent :
- https://www.etat-desprit.fr/references
- http://donativo.fr/recits/
- https://opensourcepolitics.eu/references-clients/
- https://www.cap-collectif.com/realisation
- https://www.id-city.fr/civic-tech/references-collectivites-mairies-entreprise-institutions/
Les conseils de quartier
Historique : les conseils de quartier sont créés par la loi Vaillant du 27 février, sur la démocratie de proximitéC'est obligatoire pour qui ? Les communes de plus de 80.000 habitants doivent créer un ou plusieurs conseils de quartier dont la mission est de développer la participation citoyenne. Le conseil de quartier est une instance municipale obligatoire selon le nombre d'habitants de la commune, et consultative.
Comment ça se passe un conseil de quartier ? Les modalités de ces conseils (dénomination, composition, fonctionnement, compétences et périmètre) sont fixées par le conseil municipal. Les conseils de quartiers disposent d’un budget de fonctionnement et d’un budget d’investissement.
Quel impact sur la prise de décision ? Le conseil de quartier a un rôle d’avis et de proposition. C’est un lieu d’information, de débats et de réflexions sur la vie de quartier. Les membres réfléchissent sur les projets de la Ville (aménagement du territoire, urbanisme, vivre ensemble) et sur des sujets à leur propre initiative, sur lesquels ils pourront donner leur avis (avis annexé à la délibération municipale).
Qui se retrouve dedans ? Les conseils de quartier se composent :
- d'élus municipaux
- de personnalités représentatives des associations
- des habitants
Le mode de désignation dépend des communes : appel au volontariat, désignation par tirage au sort.
Quelles sont leurs limites ? Dans les faits, pas vraiment des instances de démocratie participative, mais des lieux de consultation et de dépôt de doléances. Ils sont perçus comme des espaces où il ne se passe pas grand chose, où les personnes se plaignent et où peu d'actions concrètes sont réalisées. C'est souvent un espace où on retrouve des personnes avec un capital social élevé, plutôt des retraités.
Un exemple de conseil de quartier différent ? A Nantes, le conseil de quartier a été remplacé en assemblée générale de quartier : avec 50/100 participants, dans un hall d’entrée, avec de la garde d’enfants le samedi matin, invitation dans les boîtes aux lettres, idée de rencontre plutôt que de conseils, 2 fois par an avec des groupes de travail entre, et un ordre de jour demandé en amont.
Les conseils citoyens - Politique de la Ville
Historique : en Politique de la ville, qui concerne les quartiers dits prioritaires, les conseils citoyens sont rendus obligatoires par la loi de programmation pour la ville et la cohésion urbaine du 21 février 2014.A quoi servent-ils ? Les conseils citoyens Quartiers Politiques de la Ville (QPV) ont pour objectif la participation directe et active des citoyens vivant dans ces quartiers. Ces collectifs d’habitants et d’acteurs du quartiers (associations, commerçants, professions libérales…) permettent la création et la réalisation de projets ou d’actions pour améliorer la vie du quartier.
Quelle composition ? Chaque conseil citoyen QPV se compose d’un collège d’habitants et d’un collège de représentants d’associations et d’acteurs locaux.Le conseil se compose d’habitants tirés au sort, dans le respect de la parité, et de représentants des associations et acteurs locaux. Sans nombre minimum ou maximum, la préconisation se trouve entre 15 et 50 membres. Le conseil dispose d'un budget de ressources logistiques dédiées.
Les conseils de développement
C'est obligatoire pour qui ? Les intercommunalités de plus de 20 000 habitants doivent être dotés d'un conseil de développement créé par délibération (article L5211-10-1 du code général des collectivités territorials).Quelle modalité d'organisation ? Le conseil de développement s'organise librement, l'intercommunalité lui attribue des moyens de fonctionnement. Toutes les modalités de fonctionnement (nombre de membres, organisations locales représentées, mise en place de collèges...) sont déterminés à la création du conseil de développement et peuvent évoluer dans le temps.
Qu'est-ce qu'on y fait ? Le conseil de développement conduit ses travaux sur saisine de l’intercommunalité ou par auto-saisine. Il peut proposer à la collectivité tout sujet qui lui semble refléter une attente de la population. Le conseil de développement intervient donc sur toute question liée au territoire, avec les prérogatives suivantes :
- Contribuer à l’élaboration, à la révision, au suivi et à l’évaluation du projet de territoire
- Emettre des avis sur les documents de prospective et de planification
- Contribuer à la conception et l’évaluation des politiques locales, notamment de développement durable
- D'autres compétences comme : Animer le débat public sur le territoire ; Partager des connaissances et valoriser l’expertise ; Animer des réseaux d’acteurs sur le territoire ; - Promouvoir le territoire, Sensibiliser et mobiliser la population ; Porter des actions et projets ; expérimenter des initiatives collectives ; Produire une expertise d’usage ; Valoriser les initiatives et projets citoyens....
Quelle composition ? Le conseil de développement est constitué de membres bénévoles, et doit avoir une composition paritaire et équilibrée en termes de classes d’âges. Sa composition peut associer des "représentants des milieux économiques, sociaux, culturels, éducatifs, scientifiques, environnementaux et associatifs". Les conseillers communautaires ne peuvent pas être membres de l'instance.
Les commissions consultatives
Des services publics locauxElle est obligatoire dans les communes de plus de 10 000 habitants. Afin d’associer davantage les citoyens à la gestion des services publics communaux, il a été prévu la création d’une commission consultative compétente pour un ou plusieurs services publics locaux exploités en régie dotées de l’autonomie financière ou dans le cadre d’une convention de gestion déléguée.
Cette commission comprend des membres du conseil municipal, désignés dans le respect du principe de la représentation proportionnelle, et des représentants d’associations locales nommés par le conseil municipal.
Sur tout problème d’intérêt communal
Dans les communes de 5 000 habitants et plus, il y a obligation de créer une commission communale pour l'accessibilité aux personnes handicapées
Quels frais on rembourse et à quelle hauteur ?Pour tout engagement de frais (Soludays ; participations salons/rencontres ; action ciblée ; groupe projet…)Demande à faire et à valider en cœur avec motivation.dont SOLUDAYS (rencontres des membres adhérents)Soludays 2022 : à la hauteur des dépenses réelles des membres.Soludays futures : logement ; courses nourriture et boissons ; déplacements (train seconde classe ou location de voiture, dans la limite d’un forfait de € par personne). Demande exceptionnelle à faire et valider en coeur avec motivation.
Questionner chaque année si on garde les outils auxquels on est abonnés (à la fin de chaque abonnement)
Rapport d'étonnement

- Sur une face : un visuel détaillant la démarche participative, pour informer les participant.es. Il peut s'agir du déroulé d'un évènement, du programme d'un atelier ou encore des grandes étapes d'un processus complet de participation.
- Sur l'autre face : des questions permettant aux participants de s'interroger pour prendre du recul sur le moment vécu, voire impulser du mouvement ou du changement chez chacun.e. Des questions comme :
"Qu'est ce qui m'a le plus étonné ?"
"Qu'est ce que ça a changé chez moi ?"
"Comment je me sens après avoir vécu ça?"
"Qu'est ce que ça m'a donné envie de faire ?"
"Maintenant que je sais tout cela, quel sera mon prochain pas ?"
Rapport d'étonnement Atelier 1 Maladière à Dijon Visuel page 1 par Frédérique Assal de Pôles en Pomme
Rapport d'étonnement Tombola à Monthureux-sur-Saône Visuel et picto par Charlène Delevacq d'Urbicand
Format librement inspiré de L'étonnant rapport d'étonnement détonant
- utilisées de manière anonyme puis affichées lors de l'atelier, afin de rendre visibles les réflexions des participant.es et être utilisées pour nourrir la démarche collective.
- laissées aux participant.es comme support d'informations et ancrage mémoriel de l'évènement.
- un moyen de récupérer les coordonnées des particant.es en les demandant explicitement sur le support.
- des sortes de tickets de tombola permettant un tirage au sort à la fin de l'évènement (= levier de mobilisation pour favoriser la participation)
Retour d'expériences sur cet outil
Réalisation d’un bilan perso/collectif et d’un temps d’échanges avant l’AG 2022.Pour réunion coeur du 12/09 : valider la slide trame de bilan(Yannick)
Redynamiser une vieille association
C'est parce qu'il n'y avait pas de coopération que j'ai été introduit dans l'association pour mettre en place une gouvernance partagée, une association créée il y a 35 ans par trois personnes qui la dirigeaient toujours, en autocratie.
3 activités principales : fédérer les adhérents, former les professionnels et communiquer sur ce qu'ils font.
Au bout d'un moment, les membres ont dit : vous vous fatiguez, il faut du nouveau.
Une nouvelle coprésidente jeune arrive, essaye de définir un projet plus adapté à la société actuelle et mettre en place une gouvernance partagée.
Les 3 fondateurices ont eu une certaine résistance à laisser la place à ça. J'ai été mandaté pour les aider à définir une vision et une mission à 5 ans et une gouvernance partagée. A chaque réunion, l'un ou l'autre des cofondateurs venait et foutait le bordel en faisant des appartés en allant boire le café au milieu, etc...
A la 2 ou 3 eme réunion, j'ai dit à la présidente que je ne pouvais plus. J'avais créé le cadre et les accords de groupe avaient été définis. Et en fait les cofondateurs ne comprenaient pas ce que je leur disais, c'était la culture jusqu'ici et ils ne comprenaient pas.
Ce qui s'est passé c'est qu'une coalition s'est créée entre 3 membres du bureau qui fonctionnent maintenant en collégiale, et qui ont travaillé en sous main avec les fondateurs pour les remplacer. On a essayé de leur trouver des missions sur lesquelles ils puissent avancer mais ça n'a pas marché.
Pendant l'assemblée générale, des gens se sont levés pour donner leur sentiment sur ce dysfonctionnement et le fait que c'était le moment de changer.
Ca a frustré les fondateurs, et un des fondateurs est parti. On a essayé aussi de ne plus les inviter aux réunions.
- J'ai recadré un des fondateurs à plusieurs reprises en l'invitant le moins brutalement possible à se recentrer ou à sortir mais elle ne comprenait pas.
- La créativité dans les idées à mettre en oeuvre pour régler le problème, on a essayé plein de trucs et on rigolait.
- Capacité à créer des alliances, entre les 3 personnes nouvellement élues pour qu'elles s'articulent en dehors des réunions et se tiennent ferme.
- Il aurait fallu prendre le temps de discuter en tête à tête avec les fondateurs.
- Les accords de groupe qu'ils avaient crées étaient soutenants, plusieurs fois dans les réunions, ça permettait de s'y raccrocher même si ça repartait très vite en roue libre.
- Le principal financeur a dit qu'il allait réduire son financement de 30% sur l'année suivante, et le vice président de ce financeur était un vrai soutien moral pour la présidence : invitation à se consacrer à l'essentiel (argent et labellisation). C'est toute une histoire d'ambassadeurs internes et externes.
- Prise de conscience que la mise en place de Qualiopi allait fortement les impacter = pression sur le système
- Constat de la présidente : 400h passées sur son rôle en 2023 et elle était épuisée, elle voulait partager les tâches internes et les projets avec les autres : nécessité d'embarquer les 150 adhérentes
- Il aurait fallu prendre le temps de discuter en tête à tête avec les fondateurs.
- Souvent les définitions des mots clés n'ont pas été faites en début de projet et c'est source de conflits. Donc la prochaine fois, je le ferais en début de projet
- Les observer en dehors de leur accompagnement avec moi pour détecter les failles et les forces, et revenir ensuite pour débriefer avec eux.
Référent.es/radios de quartier
Sera limité aux personnes connues par la référente
- Je ne sais pas lire/écrire
- Je suis malentendant
- Je suis non voyant
- Je ne suis pas inscrit sur les listes électorales
- Je suis à l’école primaire
- Je suis au collège
- Je suis au lycée
- Je n’utilise pas d’outils numériques
- Je ne lis jamais mon courrier
- Je suis commerçant
- Je ne sors jamais de chez moi
- Je suis sous tutelle
- Je ne fais pas confiance à l’administration
- Je suis sans papiers
- Je ne me suis pas préalablement inscrit au service

Retour d'expériences sur cet outil
Rendre visible ce qui est vital pour l’asso : nos valeurs (règles du nous) ; les redevabilités des membres (documentation des projets ; prendre soin et gestion des tensions) = kit >> Circé + Fred (en utilisant doc intégration)Expliciter les garants essentiels dans l’asso et les besoins liés : comptabilité en binôme ; outils numériques ; admin dont orga AG ; cadre juridique ; intégration des nouveaux membres (entourer les post-its sur le Miro)Des temps Coeur ritualisés et ouverts à tous les membres : 1x par mois avec date rappelée dans canal télégram + mails membres >> Charlène + Fred et Ln (en relecture)Des règles pour le bon fonctionnement du coeur : redonner le contexte du sujet amené et le besoin pour le coeur ; nombre minimum de 4 pour prendre des décisions ; posture observation et décision ; durée du coeur >> Charlène + Fred et Ln (en relecture)Rendre visible les infos des projets sur MiroSe fixer un délai pour expérimenter : 3 à 6 mois (attention sur les "bonnes" conditions d’expérimentations)Information des membres sur tout ça pour continuité après AG
Résidence à Damparis
Les habitant.es ont bien repéré le camping car
Faire un temps de débrief le soir et un réunion de "on fait quoi" le matin
Essayer de faire quelque chose de trop structuré pour la collecte de données
Un peu trop long : 15 jours d'affilée, c'est difficile à gérer
Oublier de terminer nos réunions par qui fait quoi quand
Avoir une conversation sur l'expression des besoins hors temps de travail et la nécessité pour le groupe de les prendre en compte : créer un mode d'emploi pour chaque personne (faut pas me parler avant 9h le matin, etc...)
Créer des courtes capsules vidéo, témoignages de la résidence
Faire un porte à porte en même temps, et utiliser uniquement le camping car pour discuter en profondeur, de manière informelle, sans pression.
Résidence territoriale de Courte-Echelle à Commana
Le Territoire
Le Cadre du projet
Description du projet
- Etape 1 : "prendre connaissance du terrain, constituer une équipe locale et faire remonter les envies" : 3 temps d’immersions où 2 coordinateurs se rendent sur place pour découvrir la commune, les acteurs clés, comprendre le contexte, identifier les enjeux et la dynamique participative, constituer une équipe d’habitants bénévoles (les "alliés" et faire remonter les envies des habitants (via un porte-à-porte). Contrairement à la méthode classique proposée par Solucracy pour définir les questions (la méthode préconise de commencer par 2 questions qui abordent ce qu'apprécient les personnes dans leur commune/quartier pour mettre la personne dans une psoture plutôt positive). Ici nous avons proposé aux alliés de choisir les 5 questions qui allaient être posées au reste de la population. Pour ce faire, un questionnaire avait été proposé en amont à destination des membres du conseil municipal pour leur demander quels sont les sujets qu'ils verraient bien être abordés dans un format de concertation. Nous avons ensuite soumis leurs réponses aux alliés qui sont venus compléter la liste des sujets à aborder pendant le porte-à-porte. La consigne donnée était de formuler des questions qui pouvaient concerner toute la population et non cibler une partie, des questions courtes et positives avec un vocabulaire simple. Après avoir fait le porte-à-porte avec les alliés et recueilli les envies, les avoir retranscrites avec l'aide de certains alliés sur un fichier Excel, la synthèse des résultats a été présentée en réunion publique puis diffusée dans le bulletin municipal afin que tous les habitants aient connaissance des résultats. Ensuite, nous avons demandé aux habitants suite aux résulats du porte-à-porte, de nous indiquer quels sujets ils voulaient qu'on aborde pour aboutir à des actions via des bulloteries et nous avons demandé aux alliés suite à ces réponses de choisir les thématiques qui allaient être abordées pendant la semaine d'ateliers participatifs menés par les animateurs de Courte-échelle (la bulloterie de la résidence) et celles dont ils jugaient qu'ils pouvaient eux-mêmes prendre en charge et lancer un appel à volontaires (bulloterie des habitants). Ensuite un programme d'ateliers a été définis constituant le "chantier collectif".
- Etape 2 : le "chantier collectif" : pendant 10 jours, une dizaine de bénévoles de l'association Courte-échelle vient animer et proposer des ateliers qui permettent de passer des idées d'envies évoquées suite aux résultats du porte-à-porte à des actions concrêtes portées par les habitants avec l'aide des bénévoles de l'association courte-échelle. Nous avons aussi tenu une permanence afin de pouvoir proposer des temps d'échanges aux passants curieux.ses qui étaient accueillis avec des cookies préparés soigneusement par les animateurs
- Etape 3 : "évenement de clôture " : on fait le bilan et on décide ensemble quelle suite à donner après la résidence
Retour d'expérience
- la présentation croisée : par 2, une personne se présente à l'autre et l'autre l'écoute ; puis inversement et en groupe chacun présente l'autre personne avec qui il/elle était. Un excellent moyen de mettre en pratique l'écoute active !Les personnes se sont rendue compte qu’elles avaient plein de points communs.
- le porte-à-porte of course ! qui a permis de rencontrer directement des personnes et de faire une action concrête ensemble
- le visionnage de films anciens sur l'histoire de vie de la commune qui rassemble à tous les coups les habitants peu importe les clivages.
- Faire un court-reportage à partir d'interviews d'habitants : un excellent moyen de valoriser les habitants
- La bulloterie qui est un format original et ludique pour mettre en lien les personnes qui souhaitent s'investir sur un sujet en proposant des niveaux d'engagement adaptés
- proposer des buffets partagés en fin d'atelier pour apporter un moment de convivialité et où des échanges informels peuvent se créer
- une synthèse des résultats du porte-à-porte a été présentée lors d'une réunion publique. Nous en avons profité pour donner la parole aux élus et associations présentes afin qu'ils.elles puissent présenter leurs projets/activités en cours et à venir
- des panneaux explicatifs de la résidence ont été affichés lors de la journée de clôture
- une cartographie participative des produits que l'on peut trouver dans un rayon de 100 km autour de Commana (suite au défi repas locavore)
- lors de la journée de restitution, nous avons affiché tous les livrables qui ont été produits suite aux ateliers participatifs pendant la semaine de résidence (les résultats du porte-à-porte ; les dessins réalisés auprès des enfants pour receuillir leurs envies sur Commana ; une cartographie participative pour recueillir les demandes et offres de trajets pour développer le covoiturage ; les dessins illustrant les propositions de végétalisation sur un tronçon d'une rue ; les idées pour un commana idéal en 2030 ; la cartographie participative des produits locaux)
- la cartographie participative illustrant l'écosystème de Commana
- 36 habitants mobilisés "les alliés"
- 9 ateliers participatifs réalisés
- 506 accroche-portes déposés en 12h30
- 188 accroche-portes remplis
- Près de 80 personnes ayant participé à nos ateliers
- 28 jours d'intervention passés sur place
- 5 foyers ont hébergé le binome de coordination sur les 3 temps d'immersion
- le porte-à-porte pour aller à la rencontre des personnes et recueillir directement leur besoin
- les temps d'immersion chez l'habitant pour créer un lien de confiance
- avoir proposé aux associations locales de tenir la buvette pour les intégrer dans les temps de convivialité
- avoir préparé en amont le planning et la liste des repas pour l'équipe résidente pendant la semaine de résidence afin de gagner du temps de gestion sur place et aussi d'avoir certains repas pris en charge (par la cantine ou l'hebergeur nous a bien soulagé)
- avoir prévu des temps off dans le planning pour l'équipe résidente pour ne pas être épuisé et permettre des temps informels en dehors des sujets de la résidence
- le flash info en début de chaque matiné pour être au courant de qui doit faire quoi pour la journée
- avoir prévu un temps de discussion dans un format montante/descendante par 2 pour avoir au moins un moment ou chacun peut se découvrir
- les modes d'emploi de chaque membre de l'équipe résidente qui ont été partagés oralement au début de la semaine de résidence au sein de l'équipe. Cela a permis de rendre visible les habitudes des uns et des autres dans leur quotidien afin d'éviter de faire émerger des éventuelles tensions
- avoir proposé des formats variés (film, balade, avec les enfants et les ainés, repas participatifs,...)
- les projections de films anciens sur la commune et sur des portraits d'habitants qui permet de réunir les habitants sur des sujets communs
- les réunions (1h) tous les 15 jours avec le commanditaire pour faire un suivi régulier des avancées
- un apéro en début de mission avec les élus pour casser la glace et faire connaissance
- avoir co-construit les ateliers avec les alliés cela a permis de leur donner de la légitimité et de la place pour s'intégrer dans la démarche
- leur avoir demandé leur avis et contribution sur les éléments de communication
- avoir demandé aux habitants de prêter des affaires pour décorer la permanence
- faire des posts réguliers sur facebook
- avoir contacté des acteurs extérieurs pour la préparation des ateliers, ça a permis de faire connaitre la résidence en dehors de Commana
- avoir fait un listing qui centralise tous les contacts des alliés et autres acteurs qui ont été recensés au fil de la résidence
- avoir un contact presse qui a relayé toute la démarche dans la presse. ça nous a permis de bien nous faire connaitre et de tenir informé les habitants des prochains RDV de la résidence
- Faire une boucle sms (par whatsapp). Ca marche plutôt bien en milieu rural
- faire un planning des tâches ménagères à faire pendant la semaine (ex : prépa repas midi, vaisselle midi, prépa repas soir, vaisselle soir, rangement salle commune, nettoyage douche, ...) et qui veut inscrit son nom en veillant à une participation équitable
- trouver des créneaux horaires de point info collectif qui conviennent à tous sans exception
- avoir un procédé qui fonctionne réellement sur l'expression des tensions et leur gestion. avis mitigé sur le process de la boite à gougoutte : a t-elle permis véritablement une parole libérée, sans jugement et par tous ? et quid de ce qui est fait après ?
- prendre de quoi écrire quand on fait la discussion montante/descendante en binome car ce qui en sort est très riche à chaque fois et permettrait de traiter des sujets évoqués par la suite
- faire le temps de chaudoudoux plutôt en fin de semaine, après s'être toutes et tous apprivoisé.e.s
- caler en amont dans le planning des temps off par personne pour éviter que les personnes s'épuisent
- Se faire des retours chacun sur nos pratiques
- Préparer au plus possible les choses en amont pour éviter de se retrouver avec un planning de préparation surchargé pendant la résidence ne permettant pas d'avoir des temps de repos perso
- Organiser un week-end en amont avec l'équipe résidente pour faciliter la co-construction des ateliers et du programme
- faire l'atelier qui peut attirer le plus de monde au tout début : repas locavore ou soirée ciné-témoignage, avec les enfants , ça fait de la pub pour la suite.
- faut-il adapter le nb d'ateliers au nombre d'habitants et à la disposition de la commune ? Cette année 9 ateliers pour 1000habitants. faut-il tomber à 7 ?
- ne pas exposer les oeuvres réalisées pendant la soirée de fin de chantier mais seulement pendant la journée de clôture pour éviter d'afficher 2 fois la même chose.
- se faire des feedbacks sur les ateliers (ce que je fais bien, ce que je pourrai changer) pour progresser dans l'expérience et se soutenir
- préparer des ateliers qui peuvent être animés par d'autres avec un brief
- Faire une présentation des projets aux habitants en début de chantier collectif
- Pouvoir participer aux ateliers des autres !
- Mettre en place une permanence seulement si le local est central et visible et s'il y a des ateliers fil rouge ?
- Simplifier les horaires de la permanence
- Visibiliser dans les ateliers itinérants la possibilité de les rejoindre en cours (pancarte)
- Prolonger les "après-ateliers" en temps convival, apéro/repas partagé
- Accueillir aux ateliers en mettant un scotch avec prénom + symbole (élu, allié, habitant, voisin, asso,..)
- Arpenter la commune aux heures de pointe (12h ; 18h-19h)
- Avoir une caravane amménagée :-)
- Etre plus dehors
- Sacraliser le midi (= résident) ; le soir (=commune)
- organiser un week-end en amont sur la commune pour que les résidents se rencontrent mais aussi pour qu'ils rencontrent les alliés.
- que tout le monde fasse le porte-à-porte pour créer un lien d'attachement et d'intérêt à la commune de la part de tous les bénévoles
- Respecter la même charte graphique pour tous les documents de communication
- Avoir quelqu'un dédié à la com qui poste régulièrement des photos et restitue sur facebook
- Ajouter la carte des lieux de RDV
- Tracter aux marchés locaux ?
- faire un boitage en amont du chantier ?
- avoir 1 ou 2 banderoles qui se voient de loin : 1 en bord de route et 1 pour la permanence.
- Enrichir l'affichage de la permanence (présentation des ateliers, trombinoscope, carte des ressources, équipe/habitant (photo de soi plus jeune...)
- avoir des tabliers plus visibles ou un vêtement courte-échelle ?
- Trouver le juste équilibre dans les précisions indiquées dans le programme pour éviter de donner des infos erronées
- Avoir un.e référent.e comm'/horaires/lieux pour que l'on ne donne pas des infos logistiques différentes aux allié.e.s et habitant.e.s
- faire des posts de rappel sur facebook, la veille des ateliers et publier en live des photos de l'atelier et peu de temps après la restitution
- Rappeler à chaque événement que l'on est bénévole
- Remettre en questionnement le lieu approprié pour une permanence , remplacer la permanence par un stand tenu à la sortie des écoles ?
- prévoir plus de temps entre la présentation du porte à porte et le chantier collectif (3 mois ?)
- faire la résidence à un autre moment, autre que pendant la période où il y a déjà plein d'événements et où l'activité pro/agri n'est pas favorable (période de rush), ça s'est ressenti sur la participation. des alliés qu'on a pas vus pendant le chantier
- intégrer beaucoup plus en amont l'équipe bénévole
- Mieux définir les types de bénévolats, organiser un temps informel pour se rencontrer, sur le territoire si possible pour se sentir engager envers la population et être plus que 10 lors de ce premier WE pour pouvoir se désengager si besoin.
- Trouver un autre terme que "résidence" qui ne parle pas nécessairement aux citoyens, par exemple : festival citoyen ?
- la projection de films anciens a attiré beaucoup de monde ! car c'était sur des sujets rassembleurs
- on se sent plus légitime pour proposer des choses (parole d'une alliée)
- avoir pu retranscrire des accroche-portes en amont par des alliés-élus ça a permis de se rendre compte (pour eux) des attentes, du coup dans le prochain bulletin municipal on va développer davantage l'existant, faire un A3 qui recense tout ce qui se passe sur Commana et qui sera affiché dans la commune, sur le site internet de la mairie et sur panneau pocket et aussi faire un article dans le prochain bulletin municipal sur la synthèse de la résidence
- après la clôture beaucoup nous ont dit qu'ils regrettaient de ne pas avoir pu (plus) participer aux ateliers car ça leur a semblé trop bien ce qui s'est fait pendant la résidence
- On s'est rendu compte que les gens ne passent jamais au centre bourg
- le marché pourrait être un fil rouge pour tisser des liens
- Il y a eu une belle écoute pendant la soirée de présentation des résultats du porte-à-porte
- le porte-à-porte a mobilisé de nouvelles personnes et a permis d'apprendre des choses
- ca a permis de connaitre les envies et besoins
- ca a permis de faire évoluer les choses, de donner un coup d'accélération aux projets et de concrétiser des envies et besoins (article sur le covoiturage à venir, le marché qui a été étendu)
- les ateliers ont permis de faire venir des nouveaux habitants qu'on ne voyait pas
- on a fait des belles rencontres
- le centre d'animation local est partant pour poursuivre la dynamique de la résidence
- la présence de l'assocation Courte-échelle a permis d'apporter de la crédibilité
- pour la prochaine fois : prévoir un binome élu/habitant par atelier pour assurer le suivi
Résidence territoriale de Pôles en Pomme

Vivre le territoire
- Se connecter au territoire
- Faire émerger les besoins des habitants
Retour d'expériences sur cet outil
Résidence à Damparis
Les habitant.es ont bien repéré le camping car
Faire un temps de débrief le soir et un réunion de "on fait quoi" le matin
Essayer de faire quelque chose de trop structuré pour la collecte de données
Un peu trop long : 15 jours d'affilée, c'est difficile à gérer
Oublier de terminer nos réunions par qui fait quoi quand
Avoir une conversation sur l'expression des besoins hors temps de travail et la nécessité pour le groupe de les prendre en compte : créer un mode d'emploi pour chaque personne (faut pas me parler avant 9h le matin, etc...)
Créer des courtes capsules vidéo, témoignages de la résidence
Faire un porte à porte en même temps, et utiliser uniquement le camping car pour discuter en profondeur, de manière informelle, sans pression.
Résidence territoriale du REACT à Cunlhat
Le Territoire
Le Cadre du projet
Description du projet
la semaine de résidence (10 jours) : identifier les envies et besoins des habitants via le porte-à-porte (collecte, analyse et présentation des résultats), animer des conférences et ateliers participatifs sur les enjeux et le devenir de la commune
restitution (2 jours) : présentation de l'ensemble des œuvres produites et célébration de la démarche dans une ambiance festive
Retour d'expérience
7 groupes de travail ont émergé suite aux résultats du porte-à-porte
1 reportage filmé restituant le déroulé de la résidence et présentant des histoires d'habitants
12 animations réalisées (conférence sur les maires et la transition écologique, jeu de rôles, criée publique de mots doux, 3 fresque de sensibilisation aux enjeux écologiques animées à l'école, près de 30 personnes interviewées chez elles ou en micro-trottoir...)
une mise à connaissance des compétences territoriales et communales auprès des habitants
Ce qui vous a marqué dans cette résidence ? "Le dynamisme de l'équipe, votre écoute, votre adaptabilité, vos sourires, la richesse des propositions..."
Selon vous, qu'est-ce qui n'a pas fonctionné dans cette résidence ? "On aurait aimé plus de participation mais nos campagnes sont dures à faire bouger. Conférence, animation, jeux ont du mal à rassembler par contre l'idée des accroches porte permet de s'exprimer sans bouger et peut susciter l'envie d'aller plus loin dans la participation."
Qu'est-ce que cette résidence a apporté à la commune et aux habitant.e.s ? "du lien, des rencontres,la possibilité à chacun de s'exprimer et d'être écouté, la prise en compte de certaines problématiques"
Un dernier mot, une remarque ? "Merci à vous, c'est bien que des gens se bougent pour les petits bleds."
Retrouvons-nous en famille
Comment faire pour que mes enfants reviennent me voir à la maison ?
Voici la question que ma mère m'a posée en 2011, avec beaucoup d'émotions.
J'ai 2 frères et sœurs du côté de ma mère. Et pendant un moment on ne venait plus la voir, ou peu souvent.
Maman veut qu'on revienne à la maison. Y'a plein de trucs qui clochent dans sa maison, et dans notre relation.
Est-ce qu'elle est prête à encaisser ça ?
Je lui ai demandé si elle était prête à tout. Je lui ai dit que des choses n'allaient pas lui plaire.
Elle m'a dit ok.
J'ai appelé mon frère et ma sœur. Ielles ont dit ok. Et on a trouvé une date pour se réunir.
On s'est retrouvé avec nos conjoint-es chez ma mère, et on a discuté tou-te-s ensemble.
On s'est posé la question d' "une maison qui serait accueillante et qui nous donnerait envie de venir" en mode cercle de parole.
Ce qui a émergé : une maison épurée (moins d'objets), claire, qui ait du charme, accueillante pour nous, qu'elle ait de l'oxygène. Derrière tout ça, il y avait des choses comme "on considère que la maison est sale", "il y a des objets de ma mère partout", "ils barrent la lumière", "on se sent pas chez nous".
Ma mère, après avoir entendu tout le monde, s'est un peu défendue.
Ça lui a pris un peu de temps pour accueillir, redescendre.
Et puis elle s'y est faite.
On est passé de pièce en pièce en l'accompagnant. On a remisé une bonne partie de ses objets à l'atelier, peintures, livres, babioles.
C'était dur pour elle. Des choix pas évidents à faire.
Mes frères et sœurs et leurs conjoints sont partis acheter des trucs chez Emmaüs et Ikea.
On a fait le ménage tous ensemble. On a installé les nouveaux achats.
Ça a été un succès : on est revenu la voir plus souvent. Sa demande a été satisfaite.
- La provocation et l'audace pour aller chercher la priorité et l'intention coeur : qu'est-ce que tu veux vraiment vraiment vraiment ?
- La facilitation.
- Faire appel à l'amour. C'était ma famille, donc il y avait de l'amour, pas au sein de moi mais à un endroit entre nous. Un endroit extérieur à moi et extérieur aux personnes.
- Tenir mon rôle, sur le moment j'étais d'abord facilitatrice, avant d'être la fille de ma mère.
- Que mes frères et soeurs et nos conjoint-es jouent le jeu. Que tout le monde soit partant. Volontariat de chacun-e.
- De la patience. Parfois il y a besoin de temps pour que les choses décantent. Le respect du rythme du projet. Le projet a un rythme et on ne peut pas aller plus vite.
- Pour que ça se passe encore mieux la prochaine fois :
-- Que ce soit ma mère qui invite ses enfants, et qui dise elle-même "c'est nourrissant pour moi de vous avoir dans ma vie, qu'est-ce que je peux faire pour vous retrouver plus souvent ?", qu'elle puisse elle-même prendre en charge ses besoins.
-- Souhait personnel : que dans chaque famille, on arrive à avoir assez de recul pour se dire qu'il existe des solutions gagnant-gagnant-gagnant et qu'on va la trouver ensemble.
RÉUNION COEUR 3ème lundi du mois
Un espace ouvert à tous les membres souhaitant contribuer aux décisions de l’association. Venez en tant qu’observateur ou contributeur :)
Un nombre minimum de 4 personnes est nécessaire pour prendre des décisions.Prendre systématiquement note des décisions dans le cahier des décisions du Coeur
- Pour permettre aux membres de s’impliquer dans l’association, en écoutant et en respectant les disponibilités et les envies de chacune et de chacun.
- Pour réfléchir, proposer des idées, décider et s’organiser collectivement au service de notre raison d’être et de notre mission.
- Pour prendre les décisions stratégiques importantes pour la vie de l'association, qui ne peuvent être prises si nous ne sommes pas au moins 4 membres présents. C'est là qu'on va choisir comment distribuer les budgets, quels projets seront financés et qui représente légalement l'association…
- Pour s’amuser, expérimenter et apprendre continuellement et autrement ensemble !
- Parce qu’il n’y a pas que des choses rigolotes à faire et que plus on est nombreux à porter la charge, plus c’est facile.
Comment ?
Quelques principes de bon fonctionnement :- Poser et respecter le cadre : début et fin à l’heure ; gestion de la parole ; écoute active…
- En début de séance : rappeler le déroulé général et le processus suivi pour traiter les sujets.

Réunion publique
Elle est à la fois une vitrine des actions engagées, un miroir pour le travail de ses équipes et un pilier de la relation avec ses habitant.es.
- Vitrine des actions engagées
- Un miroir pour le travail de ses équipes
- Un pilier de la relation avec les habitants
- La possibilité de partager et clarifier une proposition
- Elle devient parfois l'espace d'expression de frustrations difficiles à gérer sans les bons outils
- Elle ne permet pas à tout le monde de participer (créneau horaire, format descendant, etc..)
- Définir le cadre et les intentions de la réunion, en fonction des besoins identifiés, qu'il s'agisse notamment d'analyser collectivement une situation, de coconstruire des idées ou de recueillir des avis sur un projet.
- Organiser l'événement de manière efficace, en adressant les préalables nécessaires à son bon déroulement, du calendrier à la logistique, en passant par la localisation et la préparation du lieu.
- Mettre en place une communication inclusive et motivante, de l'invitation à la restitution de l'événement, pour favoriser la mobilisation de la communauté locale.
- Animer la réunion en créant un environnement propice à des interactions positives et constructives entre les participant.es, dans le but de stimuler l'action collective.
- Fournir des documents de restitution clairs et synthétiques, qui mettent en valeur le travail accompli lors de la réunion et permettent à un large public de s'approprier les résultats.
- Je ne sais pas lire/écrire
- Je suis non voyant
- J’habite dans une zone reculée
- Je ne suis pas inscrit sur les listes électorales
- Je suis à l’école primaire
- Je suis au collège
- Je suis au lycée
- Je n’utilise pas d’outils numériques
- Je ne lis jamais mon courrier

Retour d'expériences sur cet outil
Réunion Publique à la Solucracy
- Définir le cadre et les intentions de la réunion, en fonction des besoins identifiés, qu'il s'agisse notamment d'analyser collectivement une situation, de coconstruire des idées ou de recueillir des avis sur un projet.
- Organiser l'événement de manière efficace, en adressant les préalables nécessaires à son bon déroulement, du calendrier à la logistique, en passant par la localisation et la préparation du lieu.
- Mettre en place une communication inclusive et motivante, de l'invitation à la restitution de l'événement, pour favoriser la mobilisation de la communauté locale.
- Animer la réunion en créant un environnement propice à des interactions positives et constructives entre les participant.es, dans le but de stimuler l'action collective.
- Fournir des documents de restitution clairs et synthétiques, qui mettent en valeur le travail accompli lors de la réunion et permettent à un large public de s'approprier les résultats.
Les participant.es sont en attente d'information, il peut être utile de partager toutes les informations utiles en début de réunion pour détendre et répondre à cette attente.
Retour d'expériences sur cet outil
Rêver Lunas Demain
Le Territoire
Le Cadre du projet
Description du projet
Sollicitation de Pôles en pomme qui nous contacte.
Proposition du projet à la mairie à condition d’être neutre, portée par des associations externes. (Solucracy / Pôles en pomme)
Suite du projet de chaufferie à condition que les habitants en ont besoin ou envie, intégration de ce projet parmi d’autres idées citoyennes.
Retour d'expérience

54 avaient déjà remplis le questionnaire (44%)
69 ont été remplis avec des personnes (56%)
Nombre de personnes impliquées :
5 personnes engagées de Pôles en Pomme et Solucracy
13 habitants et habitantes : Jean-Noel, René, Catherine, Magali, Stéphanie, Rémi, Marie, Jean-Mathieu, Carole, Olivia et sa fille, Miguel, Bernadette
Utiliser l’outil Canva pour la synthèse des besoins (première utilisation pour la synthèse, nous recommandons vivement son utilisation, facile, collaboratif, et avec des résultats efficaces avec peu de compétences graphiques)
Organiser des moments conviviaux avec les habitants
Être dans une posture d’écoute auprès de chaque personne
Ce qui est sûr, c’est que nous avons beaucoup appris de cette expérience.
Revitalisation d'une place publique
Le Territoire
Le Cadre du projet
Description du projet
- Un atelier de concertation (21 mars 2024)
- Un projet pédagogique avec les élèves des écoles et collèges mitoyens de la place.
Dans les deux cas, le livrable consistait dans des propositions hiérarchisées d'usages pour la place (Que voulez-vous que la place soit devenue en 2040 ?") et une mise en espaces de ces propositions (dessins sur des fonds de carte de la place).
Retour d'expérience
Pour le projet pédagogique : implication des directeurices et proviseurs des établissements, puis appel à des professeurs volontaires (histoire/géo, français, arts plastiques, éducation civique, SVT). Campagne d'affichage dans les établissements. Délai de production : 1 mois (avril 24).
Pour le projet péda : des affichettes de mobilisation.

Pour le projet péda : ...
Les projets rompent fortement avec la réalité actuelle de la place (parking).
Rôle Partenariat Fonctionnement à adopter pour toute demande de membres -Partenariats externesRien a été créé à ce jour car peu d'énergie à y consacrer pour Lydia et Ln -> pas d'obligationDemande concrète par Circé -> quel fct sur cette demande ? demande au groupe ?PROCHAINES ETAPESDiscussion Lydia/Judith pour MAJ sur son implicationMise en place d'un fonctionnement temporaire : "Rapporteur.euse de projet/idée se charge de faire circuler au sein du collectif les sollicitations si les ressources et énergies sont présentes.Si aucune énergie ne souhaite/n'a le temps de faire circuler les infos/sollicitations, laisser de côté et reproposer plus tard, ou pas."Important que si certains sujets sont importants et que si personne n'est dispo, l'amener au coeur
Sauviat
Le Territoire
Le Cadre du projet
Description du projet
Retour d'expérience
SCOT Valant PCAET
Le Territoire
Le Cadre du projet
Description du projet
Retour d'expérience
Site internet
Très passif
- Je suis malentendant
- Je suis non voyant
- J’habite dans une zone reculée
- Je travaille de nuit
- Je suis en prison
- Je suis en Ehpad
- Je suis sans domicile fixe
- Je suis résident secondaire
- Je ne suis pas inscrit sur les listes électorales
- Je suis à l’école primaire
- Je suis au collège
- Je suis au lycée
- Je ne lis jamais mon courrier
- Je suis de passage sur le territoire
- Je suis uniquement usager du territoire
- Mon ou ma conjointe gère tout pour moi
- Je suis commerçant
- Je ne sors jamais de chez moi
- Je suis sous tutelle
- Je ne fais pas confiance à l’administration
- Je suis sans papiers
- Je ne me suis pas préalablement inscrit au service

Retour d'expériences sur cet outil
Soluclimat
Retour d'expériences sur cet outil
SOLUDAYS 2025
Du lundi 5 mai à midi, au mercredi 7 mai vers 16h30 !!
Alors, dis-le nous en complétant le tableau en lien ci dessous (onglet Participants)
Promis, le programme sera convivial, insensé, créatif, ludique, participatif, rigolo, contributif, tropchargémaisç'estpasgrave, incitatif ...
C'est ça "vivre en Solucracy" !

Soludays de Janvier : Le coeur va relancer par mail (Circé).
Soutenir les jeunes de Combloux / Création d'une association de commerçants
Le Territoire
Le Cadre du projet
Description du projet
- Préparer une Pump Track Party 2022,
- Essayer de structurer quelque chose (réseau, événement, …) avec les jeunes qui s’expriment dans diverses activités potentiellement lucratives (skate, nail art, textile, jeux, dessin …),
- Commencer à préparer avec les jeunes la transformation d’un lieu aujourd’hui réservé au périscolaire en un lieu pour la jeunesse comblorane.
Nous tâtonnons dans nos démarches et l’accompagnement que vous aviez proposé nous correspondait que ce soit dans votre approche en proximité, simple et conviviale mais aussi dans l’atteinte du but avec une capacité à rebondir pour ne pas abandonner malgré les freins que nous avions rencontré.”
Retour d'expérience
0 jeunes ont répondu à l'appel pour se faire accompagner
- La posture de la mairie et des élus : C'est assez rare de travailler avec une commune qui a une telle posture d'ouverture et d'accueil des besoins,proactive, réellement au service des acteurs locaux, sans cesse en quête du prochain projet pour améliorer la qualité de la vie sur le territoire. Julie rebondit au quart de tour sur les opportunités, c'est extrêmement énergisant.
- Travailler en gestion par consentement sur chaque article de statuts de l'association a permis d'être efficace et de les valider très rapidement.
- Apéro dinatoire : Les gens ont plus discuté que travaillé mais ils avaient peut-être besoin de déposer des choses avant et de se rencontrer plus. Heureusement, les 3 sessions suivantes ont été très productives, et l'apéro n'a pas empêché le travail.
- Essayer de structurer les activités des jeunes en mode projet n'a pas semblé adapté. C'était un essai, mais à force de discuter avec eux, on s'est rendus qu'il fallait aussi leur laisser un peu de temps sans adultes pour faire leur vie.
Travailler avec des ados est un public différent :
- Ce n'est pas la même manière de communiquer, de faire, de structurer
- Pour la prochaine fois, il serait important d'avoir des ados dans l'équipe de construction de projet (aller chercher les experts)
Stéphane Caillaud
St Malo Intra-muros
Le Territoire
Le Cadre du projet
Description du projet
Retour d'expérience
Suppression du compte Facebook
Sur les sujets à traiter ensemble : indiquer sur le Miro les sujets + prioriser préciser le besoin et le résultat attendus venir avec les éléments nécessaires au coeur pour traiter le sujet (propositions, budget…) préciser le moyen utilisé pour arriver au résultat faire reformuler le sujet/besoin/résultat/moyen par quelqu’un avant de le traiter
TÉLÉGRAM

COMMUNICATION ASYNCHRONE =
Je dépose un message et on va m'envoyer une réponse plus tardAvantage :
Réponses relativement rapideInconvénient :
Beaucoup d'informations, et tout le monde ne l'utilise pasIl y a ensuite les groupes dédiés aux projets, et ceux dédiés à des cercles de travail dans l'association. Vous trouverez toutes les infos en rejoignant le groupe membres Solucracy si cela vous dit :)
Clique ci dessous pour :
- Télécharger l'application installable sur téléphone et ordinateur.
Tester à nouveau Miro pour l’animation de réunion avant Validation. LN va remplacer la cible par une matrice Urgent/important
Tips pour porte à porte
Bien noter les emails en MAJUSCULES pour que ça soit lisible
Tout coût rattaché aux documents de communication externe est pris en charge par SolucracyLes personnes qui participent à des événements essayent de se faire inviter en priorité mais si ce n’est pas possible, la personne peut faire une demande de budget au coeurFred crée une fiche “budget” simple pour faciliter le processus (qu’on pourrait aussi utiliser pour des projets internes)
Triangle Attentes Elus/Citoyens/Acteurs
- Imaginer des solutions collectivement
Attentes_Elus_citoyens_Acteurs_locaux.pdf (0.2MB)
Retour d'expériences sur cet outil
Ulysse Blau

Un compte PADLET illimité a été créé par YannickUn compte CANVA partenaires + un compte CANVA gratuit (5 comptes mais 10 pour nous parce qu’on avait 5 comptes déjà achetés) a été créé par Yannick
Une résidence Idyllique ou presque
Dans le cadre d'une mission que j'ai repris, d'assistance à maîtrise d'usage. Une résidence neuve d'une soixantaine de logements construite à Villeurbanne. Un promoteur qui remporte un appel à projets et monte une équipe.
A Villeurbanne, la municipalité a envie de questionner l'implication des gens au delà de leur sphère privée et donc il a été décidé de construire un bâtiment et d'accompagner les futurs habitants à le prendre en main. C'est un milieu où il y a beaucoup d'acteurs qui ont tous leur petite partition à jouer. Le chef d'orchestre est le promoteur qui fait l'intermédiaire avec la banque et les autres, assez peu dans une posture de coopération.
On a été plusieurs à intervenir, chacun à notre tour, et je suis arrivé après une collègue. Contexte pas évident, pas de dynamique de coopération dans l'équipe projet. Se voir et se connaître est une des premières conditions à coopérer et là ça n'existait pas.
La mission comme je l'ai reprise était : Le bâtiment est livré et maintenant on va travailler avec les gens. Mais la coopération n'a pas été pensée avec l'architecte, les paysagistes, etc... Ce qui a fonctionné c'est qu'il y a vraiment eu une partie des habitants qui s'est impliqué dans le truc. 60 logements dont une vingtaine géré par un bailleur social, une vingtaine par des investisseurs, et une vingtaine pour y habiter.
A chaque réunion, les propriétaires occupants étaient là et ça a pas mal pris. Ils se sont rencontrés, et se connaître est devenu un aspect positif du projet (se retrouver, devenir amis).
La résidence dans sa globalité est géré de manière à ce qu'ils ont pu résoudre les problèmes de base , et ils sont allés plus loin à améliorer les espaces communs pour que tous puissent vivre un peu mieux (local vélo commun, cabane à outils commune). Une sorte de coopération entre eux avec un cercle cœur et des cercles thématiques. Et les gens sont assez contents. Ca prend soin d'eux et de leur cadre de vie.
A nuancer, parce qu'on a pas réussi à impliquer les locataires plus que ça.
Persévérance, volonté que ça fonctionne. Si j'avais fait juste ce pour quoi j'étais payé, on ne serait pas allé jusque là : dévouement. Bossé gratuit sur les 6 derniers mois.
Les outils qu'on utilise au quotidien : conditions à réunir pour qu'un groupe arrive à se mettre en mouvement.
Connaissance diffuse de l'habitat, des copropriétés et des enjeux autour. On n'a pas fait ce qui avait été prévu à l'origine, plein de choses qui se sont passées et on était dans l'ajustement permanent
- Le contexte : des gens qui étaient déjà dans cette dynamique là , s'impliquer pour faire des choses qui vont au delà de leur intérêt particulier. On a fait la même chose de la même manière dans d'autres endroits sans que ça fonctionne.
Quand c'est un petit noyau et pas une seule personne qui essaye d'avancer ça fonctionne mieux
- L'autre raison est que c'était assez simple : pas de grandes idées parachutées là dedans, pas de concepts hors sol qui auraient pu empêcher l'appropriation : Des salles partagées, des terrasses partagées, une chambre d'amis. Dans d'autres cas, c'était voulu par les collectivités, construits par les architectes, et l'AMU doit aider l'appropriation et dans ces cas là, les habitants ne s'en occupent pas et ça devient plus une charge.
- Un budget participatif mis en place qui a permis aux gens d'aller plus loin, de réfléchir à leur cadre de vie et des groupes de travail qui se sont montés.
- Qu'une communauté de projet se forme en amont avec toutes les parties prenantes, pas juste moi et les habitants. Souvent on laisse les acteurs bosser dans leur coin et on ne n'implique pas les habitants. Y a des architectes, des paysagistes, un bailleur social que j'ai jamais rencontrés.
- Ca aurait été cool d'être un peu plus ambitieux, d'aller un peu plus loin. Il faut penser : on fait le minimum, et si tout va bien, on se donne la possibilité de faire plus. Si on part tout de suite sur un truc complexe, c'est contreproductif. Réussir à penser comment le projet peut répondre aux besoins principaux.
- Ne pas bosser tout seul, j'étais seul sur les animations et à connaitre les gens et ce qu'on fait.
Un nouveau fonctionnement a été défini pour le traitement des infos :Les nouveaux sujets (vert, la plante) = création de nouveaux post-itsLes sujets pour nourrir le feu (marron, le bois) = sujets Les sujets au frais (bleu, le froid) = sujets en attente long-termeLes sujets finalisés (noir, les cendres) = sujets traités et terminés dans la réunion coeurLe feu de parole (comme un cercle de parole autour du feu) = sujets abordés pendant la réunion coeur
Urbicand

Valérie Normand

Professionnellement, j’ai travaillé pendant 15 ans dans le monde associatif (insertion professionnelle, accès aux droits, accès à l’alimentation…) : montage de projet, responsable de structure, essentiellement en Seine Saint Denis. j’ai aussi créé une entreprise d’insertion avec une amie pendant 5 ans.
Arrivée en 2013 à Montreuil où terreau militant très fort. Création d’une épicerie solidaire en mode gouvernance partagée. Travail avec ATD Quart Monde pour m’accompagner sur cette mise en place
Ça m’a beaucoup fait bougé perso et pro→ ressenti besoin de me former → DU Intelligence Collective 2018/19. J’en ai profité pour quitter l’association où j’étais salariée car perte de sens à mon goût.
J’ai rejoint le lab d’innovation à Pôle emploi : design et facilitation de sessions d’intelligence collective avec des chercheurs d’emploi, des partenaires, des agents. ça m’a permis de m'aguerrir dans mes pratiques. Puis travail en collectivité dans la coopération entre structures de lutte contre la pauvreté, changement de municipalité donc départ en 2021.
Pause en marchant sur chemin de Compostelle durant 2 mois
A mon retour, proposition d’une amie de la promo du DU pour m’installer en auto-entrepreneur. Statut pas idéal mais pas trouvé de CAE proche de chez moi. Je ne conduis pas donc la question du transport en banlieue est toujours un problème? En tous cas c’est mon excuse en ce moment
J' anime des séminaires de travails collaboratifs et j’accompagne des assos sur le montage de projet (je place de l’IC ou pas dans ces cas là)
Je travaille essentiellement avec des associations et collectivités car ça fait 25 ans que je ne veux plus travailler dans le privé, choix assumé.
J’ai l’impression qu’on vient me chercher pour donner du sens dans un système qui perd son sens
Les projets servent-ils à faire tenir les systèmes ou pas?
En réflexion sur ce dilemme
J' ai besoin de pouvoir naviguer et ne pas être réduite à une seule communauté. Besoin des liens hors Solu, j’aime pas les vases clos.
Validation de la création d’un fonds de financement pour projets ruraux, modalités d’utilisation à définir.
Violette Ruppanner

Le nombre 3 semble m'accompagner: j'ai étudié 3 fois (économie politique à l'UNIL, management de la technologie à l'EPFL et un MBA à Michigan State University aux Etats-Unis). J'ai travaillé pour les 3 secteurs public, privé et à but non-lucratif. Et j'ai vécu ailleurs qu'en Suisse 3 fois: en Chine (Nanjing), au Vietnam (Hanoï) et aux Etats-Unis (Lansing, MI).
Depuis un certain nombre d'années, je m'engage beaucoup dans la vie associative (pour en nommer que quelques unes: Organisation of Women in International Trade, Buvette de la Valencienne, collaboratio helvetica, MOD-Elle). J'aime la randonnée, bien manger et boire et aussi un peu cuisiner, et lire des histoires bien racontées.
Je suis une personne orientée vers l’action : besoin que l’on réalise des choses. Je ressens de la frustration si les brainstormings ne mènent nulle part. J'ai besoin d’avancées, de résultats concrets. Au niveau des autres : si on s’engage on va jusqu’au bout ou si on lâche on le dit plutôt que de disparaître sans l’annoncer. Une certaine exigence : nature perfectionniste. Parfois, j’ai un souci avec les autres personnes si les choses ne sont pas assez explicites. Mais bon « je me suis améliorée ».
Voyage au pays du faire ensemble
- Accompagner les solutions
- Ouverture
Retour d'expériences sur cet outil
William Gras
Yannick (IT) prend un compte illimité pour Padlet à 99,99€ par an. Fred montre les différents usages de Padlet en plantation aux membres pour qu’ils puissent s’en servir aussi. Elle sera enregistrée puis partagée.
Yannick crée un compte “partenaires extérieurs” sur Canva pour permettre à des associations amies de se connecter ponctuellement
Yannick envoie un email aux personnes qui n’ont pas ré-adhéré pour dire au revoir + liens au cas où ils souhaiteraient garder le contact. Judith va recontacter Martin et Anicée
Yannick Laignel

Yannick va adhérer aux associations suivantes pour Solucracy : Unadel, Bleu Blanc Zèbre, Bardane, Démocratie Ouverte, Pôles en pomme , avancer l’argent pour l’adhésion et sera remboursé ensuite
Yannick va fermer les Sujets GT et créer des canaux
YESWIKI

CLIQUE ICI POUR en découvrir plus sur les sites Yeswiki
Clique ci dessous pour une visite guidée de notre site
ZOOM

Commentaires